Nouveau combat entre les millitaires FARDC et quelques groupe des hommes armé identifié aux rébélles étrangers a été singalé Vendredi 03/06/2016! Les détonations des armes lourdes et légères ont été entendues à ABIALOSE à l'Est d'Eringeti dans, le groupement Bambuba-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau, Térritoire de Beni en Province du Nord-Kivu. Tout a commencé à 15 heures 45 minutes lorsqu'un groupe des rébelles est voulaient déstabilisé sans succès une position des éléments FARDC. Pour le moment la situation est redevenue relativement calme après la fuite des rébélles dans leurs bastion situé, au font des montages des Virunga à partir des quels ils mènent une serie d' attaques contre, des Villages, Localités et d' Aglomérations. Nous n'avons pas jusque là le bilan de ces affrontements.
Au cours des 24 derniers mois, les attaques contre les civils ont fait plus de 1000 victimes à nos jours dans la région de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Les autorités congolaises accusent les Forces Démocratiques Alliées (ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Or cela n’est pas si simple: des éléments de preuve suggèrent en effet l’implication de certains éléments de l’armée congolaise et des liens potentiels avec des réseaux de contrebande. S’il ne fait aucun doute que les ADF sont responsables d’un certain nombre de meurtres, de viols et de recrutement d’enfants, un rapportpublié récemment par le Groupe d’étude sur le Congo a remis en cause cette version officielle.
Fausses accusations
Les leaders politiques locaux décrivent l’organisation rebelle comme une «milice islamiste» et mettent l’accent sur les liens qu’elle entretient avec les réseaux extrémistes de la région, notamment avec Al-Shabab en Somalie et au Kenya. «Ce qui se passe à Beni aujourd’hui n’est pas différent de ce que l’on voit au Nigéria – où vous avez Boko Haram», a dit Jules Kasereka, le maire de Beni.
Certains leaders de la société civile et groupes de défense des droits de l’homme croient toutefois que les autorités exagèrent délibérément le rôle des ADF dans les attaques commises contre les civils. «Il est très difficile d’affirmer que les ADF sont responsables d’une attaque en particulier», a dit Michel Musafiri, chercheur auprès d’un groupe de défense des droits de l’homme dans la région de Beni. «Jusqu’à présent, seuls quelques rares attaquants ont été identifiés. Lorsque les autorités ont affirmé que les combattants étaient des membres des ADF, il est souvent apparu par la suite que ce n’était pas le cas», a-t-il ajouté.
Qui est responsable?
La fréquence des violences – qui se sont produites sur un vaste territoire – et le fait que certains des attaquants parlaient le kinyarwanda – une langue qui n’est généralement pas parlée dans cette région de la RDC – laissent supposer que de multiples groupes armés originaires d’une vaste région géographique sont impliqués.
«Les ADF ne sont pas réellement ce que les gens croient qu’ils sont», a dit Jason Stearns, le principal auteur du rapport. «Ce n’est pas une organisation islamiste étrangère, mais une milice profondément enracinée dans la société locale qui entretient des liens avec des acteurs politiques et économiques. S’il est vrai que les ADF sont responsables de la majeure partie des massacres, il est clair que d’autres groupes, comme des soldats congolais, sont également impliqués».
«En plus des commandants qui appartiennent strictement aux ADF, certains membres des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), des anciens [rebelles] du Rassemblement congolais pour la démocratie—Kisangani/Mouvement de libération (RCD–K/ML), ainsi que des membres des milices communautaires sont aussi intervenus dans les attaques contre la population civile», conclut le rapport.
Certains officiers ont dit qu’on leur avait offert jusqu’à 250 dollars pour chaque personne tuée, mais ils n’ont pas voulu révéler de noms. Dans certains cas, les soldats des FARDC sont arrivés dans les villages un ou deux jours avant le début des massacres. Dégâts matériels et humains importants
Cette région située au nord du territoire de Beni connaît d’importants dégâts matériels et humains depuis que les groupes armés notamment les ADF ont investi la contrée. Près de 1000 personnes dont trois prêtres catholiques, ont été enlevées depuis plusieurs mois par ces rebelles qualifies de terroristes par les Etats-Unis. La population ne s’hasardait plus dans les champs et les enfants ne se rendaient plus à l’école de peur d’être enlevés par ces rebelles ougandais.
Partagée entre l’espoir et la hantise de voir la paix et la sécurité être restaurées dans cette région meurtrie, les conducteurs des motos taxi ne savaient plus circuler pour faire traverser la route qui conduit vers la frontière ougandaise. Même les commerçants du coin avaient stoppés leur exportation et importation de certains articles de première consommation. Les chrétiens catholiques et d’autres confessions craignaient de se rendre dans leurs paroisses surtout que leurs trois prêtres kidnappés le 19 octobre 2012 à 21heures, ne sont jamais revenu. Le seul rescapé de cet enlèvement, le père Joseph Katekomundu, profite de l’initiative des Fardc à traquer les rebelles pour inviter les paroissiens de Oicha , à quatre kilomètres de Mbau, d’accompagner l’opération les FARDC par des prières afin qu’elle soit un succès contre le mal.
Le porte-parole des FARDC, le général Léon Kasonga lance plusieurs messages écrits et radiodiffusés pour rassurer toutes les couches de la population du territoire de Beni que «la victoire est certaine». Message relayé par le Général Etumba dans sa déclaration : « rassurez-vous, La victoire est dans le camp de notre patrie, la RDCongo.
Fausses accusations
Les leaders politiques locaux décrivent l’organisation rebelle comme une «milice islamiste» et mettent l’accent sur les liens qu’elle entretient avec les réseaux extrémistes de la région, notamment avec Al-Shabab en Somalie et au Kenya. «Ce qui se passe à Beni aujourd’hui n’est pas différent de ce que l’on voit au Nigéria – où vous avez Boko Haram», a dit Jules Kasereka, le maire de Beni.
Certains leaders de la société civile et groupes de défense des droits de l’homme croient toutefois que les autorités exagèrent délibérément le rôle des ADF dans les attaques commises contre les civils. «Il est très difficile d’affirmer que les ADF sont responsables d’une attaque en particulier», a dit Michel Musafiri, chercheur auprès d’un groupe de défense des droits de l’homme dans la région de Beni. «Jusqu’à présent, seuls quelques rares attaquants ont été identifiés. Lorsque les autorités ont affirmé que les combattants étaient des membres des ADF, il est souvent apparu par la suite que ce n’était pas le cas», a-t-il ajouté.
Qui est responsable?
La fréquence des violences – qui se sont produites sur un vaste territoire – et le fait que certains des attaquants parlaient le kinyarwanda – une langue qui n’est généralement pas parlée dans cette région de la RDC – laissent supposer que de multiples groupes armés originaires d’une vaste région géographique sont impliqués.
«Les ADF ne sont pas réellement ce que les gens croient qu’ils sont», a dit Jason Stearns, le principal auteur du rapport. «Ce n’est pas une organisation islamiste étrangère, mais une milice profondément enracinée dans la société locale qui entretient des liens avec des acteurs politiques et économiques. S’il est vrai que les ADF sont responsables de la majeure partie des massacres, il est clair que d’autres groupes, comme des soldats congolais, sont également impliqués».
«En plus des commandants qui appartiennent strictement aux ADF, certains membres des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), des anciens [rebelles] du Rassemblement congolais pour la démocratie—Kisangani/Mouvement de libération (RCD–K/ML), ainsi que des membres des milices communautaires sont aussi intervenus dans les attaques contre la population civile», conclut le rapport.
Certains officiers ont dit qu’on leur avait offert jusqu’à 250 dollars pour chaque personne tuée, mais ils n’ont pas voulu révéler de noms. Dans certains cas, les soldats des FARDC sont arrivés dans les villages un ou deux jours avant le début des massacres. Dégâts matériels et humains importants
Cette région située au nord du territoire de Beni connaît d’importants dégâts matériels et humains depuis que les groupes armés notamment les ADF ont investi la contrée. Près de 1000 personnes dont trois prêtres catholiques, ont été enlevées depuis plusieurs mois par ces rebelles qualifies de terroristes par les Etats-Unis. La population ne s’hasardait plus dans les champs et les enfants ne se rendaient plus à l’école de peur d’être enlevés par ces rebelles ougandais.
Partagée entre l’espoir et la hantise de voir la paix et la sécurité être restaurées dans cette région meurtrie, les conducteurs des motos taxi ne savaient plus circuler pour faire traverser la route qui conduit vers la frontière ougandaise. Même les commerçants du coin avaient stoppés leur exportation et importation de certains articles de première consommation. Les chrétiens catholiques et d’autres confessions craignaient de se rendre dans leurs paroisses surtout que leurs trois prêtres kidnappés le 19 octobre 2012 à 21heures, ne sont jamais revenu. Le seul rescapé de cet enlèvement, le père Joseph Katekomundu, profite de l’initiative des Fardc à traquer les rebelles pour inviter les paroissiens de Oicha , à quatre kilomètres de Mbau, d’accompagner l’opération les FARDC par des prières afin qu’elle soit un succès contre le mal.
Le porte-parole des FARDC, le général Léon Kasonga lance plusieurs messages écrits et radiodiffusés pour rassurer toutes les couches de la population du territoire de Beni que «la victoire est certaine». Message relayé par le Général Etumba dans sa déclaration : « rassurez-vous, La victoire est dans le camp de notre patrie, la RDCongo.
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