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Affichage des articles du mai 6, 2017

Au cours d'une accalmie dela situation sécuritaire qui s'observe ce dernier temp dans la région de Beni en République Démocratique du Congo, la voix d'une ONG de défense des droits International, se leve à partir de Bruxelles la capital dela Belgique, qui demande au gouvernement, et la monusco, de mieux sécuriser, la population victimes des massacres, dans région de Beni, situé, dans la partie Est dela Républlique Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu : Selon le communiqué parvenu à ACTUALITE.CD, la marche partira du square de Meeûs et aura pour destination l’ambassade de la RDC, «où Amnesty International remettra les quelques 19 000 signatures récoltées en Belgique d’une pétition demandant notamment à l’armée congolaise et la mission de l’ONU de mieux protéger les citoyens de la région de Beni » : D’après les chiffres compilés et présentés par Amnesty international, depuis 2014, plus de 700 personnes ont été tuées« dans des massacres qui ont vu les assaillants se livrer au meurtre, au viol et à l’incendie d’habitations. Certains civils ont été brûlés vifs ou tués à coups de machette. Les accusations visent le groupe rebelle ougandais ADF, mais plusieurs témoignages mettent en cause d’autres groupes armés et des soldats congolais » :

Amnesty International, en collaboration avec et une délégation de la diaspora congolaise, organise ce dimanche 7 mai à 12h une marche funèbre symbolique à Bruxelles (Belgique) «pour dénoncer la violence meurtrière que, subissent les habitants de Beni et de sa région». Les autorités congolaises et la Mission de l’ONU en RDC (Monusco), chargée de neutraliser les quelques dizaines de groupes armés encore en activité dans l’est du pays, en imputent la responsabilité aux rebelles ougandais musulmans des Forces démocratiques alliées (ADF). Avant cela, la Monusco s’était inquiétée, fin mai 2016, d’une "recrudescence des tueries" dans la zone. Dans un entretien avec l’AFP, un officier supérieur étranger familier de l’Est du pays, déplorait récemment "le manque de volonté politique" de ramener l’ordre dans cette région meurtrie par la violence des conflits armés depuis plus de vingt cinq ans. L’ONG demande également l’implication des autorités belges et de la communauté int

Microsoft transforme ses serveurs en « machines virtuelles » Microsoft Edge devient plus sécurisé avec une machine virtuelle ! Le mode ultra sécurisé que Microsoft propose dès aujourd'hui à ses clients Entreprise s'appelleWindows Defender Application Guard. Son mode de fonctionnement est comparable à celui d'une « machine virtuelle ». La « machine virtuelle » est une solution très utilisée dans les grandes entreprises. Elle consiste à acheter une unité centrale unique mais très puissante. Les ordinateurs sur lesquels travaillent les collaborateurs sont, quant à eux, peu puissants, et pour cause : ils servent uniquement pour l'affichage et la saisie, tous les calculs étant réalisés par l'ordinateur central. De ce fait, non seulement l'entreprise réalise des économies sur le matériel, mais comme le seul ordinateur relié à l'extérieur (via Internet) est l'ordinateur central, les virus et autres malwares n'ont qu'une seule porte d'entrée, ce qui rend la surveillance et la protection beaucoup plus aisées :

Microsoft vous informe que, Edge est plus sûr que Firefox et Chrome Internet Explorer : 340 millions d'internautes utiliseront bientôt une version obsolète ; Pendant de nombreuses années, le navigateur de Microsoft a été des moqueries des internautes les plus exigeants. De nombreuses blagues circulaient, pour montrer du doigt la lenteur, les crashes et les lacunes du navigateur. Cela s'est particulièrement accéléré avec l'arrivée des navigateurs Firefox et Chrome. Depuis peu, Microsoft a décidé de proposer un nouveau navigateur, Edge, qui se veut beaucoup plus moderne. N'hésitez pas à développer, expliquer votre ou vos choix dans les commentaires. Vous pouvez également mentionner d'autres dessins qui ne figurent pas dans la liste. Dans une semaine, Microsoft stoppera le support des anciennes versions de son navigateur Internet Explorer. Au mois de novembre, Microsoft rappelait que les entreprises ont jusqu'au12 janvier 2016pour installer la version la plus réc

Concernant, l'Insécurité de plus en plus, grandissante en Territoire de Lubero en République Démocratique du Congo ce dernier temp ; La Coordination territoriale de la Société civile, Forces vives de Lubero, met en éveil la Communauté tant, nationale qu’internationale que le Territoire de Lubero, plus particulièrement les Chefferies des Batangi, Bamate, Baswagha et le Secteur des Bapere ainsi que, les agglomérations de Kanyabayonga, Kayna, Kirumba, Njiapanda et Manguredjipa, continue, à faire face à une insécurité grandissante causant la mort, le déplacement massif des populations civiles innocentes, les enlèvements et kidnappings suivis des demandes des rançons, les viols, les arrestations arbitraires, la paupérisation de la population, la déscolarisation, etc... Plusieurs groupements sont touchés par cette insécurité, nous avons cité les groupements Musindi, Itala, Tama, Luenge, Utwe, Mbulie, Manzia, Muhola, Mwenye, Bapukara, Bapaitumba et Batike, soit 12 groupements sur les 22 groupements formant le Territoire de Lubero :

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 03/COORD/SOCIV/T.L/2017 : Les derniers événements malheureux sont survenus, au courant du mois d’avril 2017 écoulé, soit dans un intervalle de 30 jours, ont endeuillés successivement les agglomérations de Kanyabayonga, Kayna, Katanga, Vuyinga, Mayba, Kirumba, Kasugho, Alimbongo, etc. - A Kanyabayonga (Groupement Itala, Chefferie des Batangi), un taximan de moto a été tué par coups de balles devant la porte de sa maison à 20h15’ en date du 3 avril 2017 au quartier Buololi ; - A Kayna (Groupement Musindi, Chefferie des Batangi), un chauffeur de véhicule marque Fuso a été tué par coups de ballse sur le tronçonKinyondoentre Kayna et Kanyabayonga en date du 5 avril 2017 vers 19h45’ ; - Dans le village de Katanga (Groupement Manzia, Chefferie des Baswagha), cinq personnes tuées et trois femmes violées en date du 11 avril 2017 par des éléments du groupe Mai-mai NDC occupant cette zone. Trente autres personnes ont été enlevées et emportées en brousse et