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Affichage des articles du mai 10, 2017

Après la sortie du gouvernement de Tsibala, des réactions viennent partout de part et d'autres, dans le monde entier : Dans une déclarati on faite ce mercred i 10 mai 2017, à partir du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, ONG CEPADHO de défense de droits de l’homme qualifie cet acte « d’injusti ce » de la part du nouveau premier ministre Bruno Tshibala. « Notre structur e considèr e d’injusti ce le fait pour le nouveau premier ministre de priver une place de choix à la société civile et aux femmes dans son exécutif, alors que leur implicat ion s’avère très indispen sable au regard des enjeux et des défis du moment » Le Centre d’Etude pour la Promoti on de la Paix, la Démocr atie et les Droits de l’Homm e (CEPADH O) note avec grande déceptio n la relégati on de la société civile et les Femmes à une place de figurati on comme dans le gouvern ement du premier ministre sortant, Samy Badiban ga :

Le nouveau Gouvernement Tshibala : les femmes et la société civile ne font que de la figuration (CEPADHO). Le Centre d’Etude pour la Promotion de la Paix, la Démocratie et les Droits de l’Homme (CEPADHO) note avec grande déception la relégation de la société civile et... Bruno Tshibala : le chantier économie La publication du gouvernement du Premier ministre Bruno Tshibala devrait mettre un terme aux négociations, accélérer le processus électoral et stabiliser la situation économique. Néanmoins, rien n’est moins sûr. POLITICO.CD fait le point pour vous. Pour le CEPADH O, le gouvernement doit se pencher immédi atement sur les priorités lui assignée s au niveau notamment de l’organisation des élections et le relèvement de la situation socio- économique de la population. « Nous invitons le nouveau gouvernement à se pencher immédiatement sur les priorités lui assiégées. Il s’agit de l’Organis ation des élections, la sécurisation des élections, la sécurité et le relèvem ent du niv

Des actes d'enlevement sont de plus en plus signalé d'ici et là en Ville de Butembo, et térritoire de Lubero, selon des sources fiable de Veranda Mutsanga : Avec auto kidnapping de Mlle ANNE MARIE WANGAHEMUKA, étudiante à l’IBTP en Ville de Butembo, en République Démocratique du Congo, en proie d'insécurité grandissante, ce dernier temp. Retour sur les faits Vous avez été entrain de suivre cette histoire qui faisait trembler la ville de Butembo une histoire vrai. Ainsi après l’avoir suivi par des sources interposés nous revenons sur les faits en tant que, ceux qui ont été en avant plan sur terrain pour remonter ce jeux savamment monté de toute pièce. En date du 26 avril 2017, la demoiselle ANNE Marie quitte son domicile et dit à ses parents qu’elle va à l’école, curieusement la fille ne va plus revenir. Le lendemain, donc en date du 27 avril, le numéro de téléphone de l’Etudiante commence à envoyer des sms auprès de ses proches, que la propriétaire de ce téléphone était déjà kidnappée et qu’il fallait envoyer 5000$ pour sa libération. Sa famille biologique et estudiantine panique, et ne sachant pas à quel saint se vouer, elles alertent les services mais sans succès :

On retiendra que les étudiants de l’IBTP Butembo étaient entrain de mener une pression sur les autorités pour réclamer la libération de leur camarade pensant qu’elle était kidnappée, ils aussi commis des dégâts sur leur propre sites et le site de l’UOR. Anne MARIE et son copain ont été remis à l’Etat major de la PNC Butembo où l’instruction du dossier continue. Le patron de la PNC promet présenter ces deux aventuriers amoureux auto kidnappeurs, au rond point VGH, une manière pour lui de décourager autres potentiels auto kidnappeurs ! La Véranda Mutsanga, se dit ne pas croiser les bras devant cette barbarie dans laquelle la jeunesse est entrain de se livrer compte tenu de la situation dans laquelle KABILA a plongé les Congolais. Pour la cellule antiterroriste de la Véranda Mutsanga, « G.M.K, Chargé des opérations. » Les révélations du réceptionniste de CAP KALIMBUTE ont vite ouverts les pistes aux verandistes pour changer des stratégies ! Sans pour autant exposer nos stratégies au

Dans une interview accordée au micro d'un journaliste d' ACTUALITE.CD à Goma chef lieu dela province du (Nord-Kivu), en République Démocratique du Congo, ce dernier temp, l’élu de la ville de Beni a par ailleurs estimé qu’il faudra organiser les élections les “plus tôt possible” afin que le peuple congolais décide de renouvellement de la politique. Comment réagissez-vous après la publication du gouvernement Bruno Tshibala ? Je crois que ce gouvernement entre dans la logique du Chef de l’Etat et ainsi que de la majorité, c-à-d qu’on fait fi de l’accord du 31 décembre 2016, on fait un passage par force tout simplement. Il y a aucun changement par rapport au gouvernement Badibanga, c’est la violation de l’accord. Quelle peut être la conséquence de cette violation de l’accord du 31 décembre ? La conséquence c’est qu’il aura reconnaissance ni à l’interne ni à l’international. Donc, la crise politique continue, il y a aucune différence. Les différent bailleurs des fonts auront du mal à financer les élections à venir chez nous, en Rdcongo :

Comment se fait-il que la Majorité Présidentielle garde les ministères dits de “souveraineté nationale” ? Voilà ! C’est ce qu’ils voulaient. Le Rassemblement devra, néanmoins compter, sur les probables sanctions de la Communauté internationale, alors que, plusieurs organisations, dont Human Rights Watch font pression sur les Etats-Unis et l’Europe. « Non seulement la coalition au pouvoir en RD Congo défie certains principes clés, de l’accord de la Saint-Sylvestre, mais les forces gouvernementales exercent une répression politique effrénée et commettent des violations à grande échelle, des droits humains », accuse Ida Sawyer, Directrice Afrique Centrale, dans un long article publié mardi sur le site de l’organisation Human Rights Watch, qui a voulu un seul du pouvoir. Compter sur des nouvelles sanctions contre Kinshasa. Cependant, les pèlerinages de la coalition des opposants n’ont pour l’instant accouché que d’une convocation à un troisième conclave à Kinshasa et un appel au peuple à

Annoncé au 12 mai 2017 prochain, par les membres dela partie politique del'UDPS, en République Démocratique du Congo, ont annoncés, le report à une date ultérieure du rapatriement de la dépouille mortelle d'Etienne Tshisekedi "pour faire échec au plan machiavélique programmé par la mouvance kabiliste, d'engager notre pays dans une voie de la violence lors des obsèques de notre héros national", déclare dans un communiqué son secrétaire général Jean-Marc Kabund (photo). Cabale contre l'UDPS L'UDPS "dénonce avec véhémence la nouvelle cabale montée par le pouvoir.., qui tente par tous les moyens d'empêcher l'arrivée à Kinshasa de la dépouille mortelle(d'Etienne Tshisekedi)et son enterrement digne de son rang, à la permanence du parti. Ce communiqué fait suite à l'attaque du sous commissariat de la police situé devant la permanence du parti dans la commune de Limete que Jean-Marc Kabund qualifié de "scénario macabre en vue de justifier l'occupation de la permanence afin d'empêcher l'exécution des travaux de la construction du mausolée :

Début de polémique peut être ? Enfin, les obsèques devraient avoir lieu, après la mise en œuvre de l’accord du 31 décembremais contrairement au point précédent, celui-ci n’est pas une condition sine qua none au rapatriement de la dépouille. Sur RFI, Lambert Mende s'opposé, à cette demande des proches d'Etienne Tshisekedi. « Où il ne vois pas de lien entre les obsèques qu'on rend à une personne qui est décédée et des négociations politiques, réagit le porte-parole du gouvernement congolais. [...] Nous considérons que, les obsèques sont un moment de recueillement, où on arrête tout, où on rend les derniers hommages à la personne qui a disparu. » Pour lui, « la mise en oeuvre de l'accord a commencé par la signature de l'arrangement particulier dont nous n'avons pas encore fini la discussion. Donc nous n'allons pas commencer à nous lancer dans ces discussions-là tant que nous n'avons pas enterré la grande personnalité qui vient de nous quitter ». Repor

Dans le dernier arrangement particulier en République Démocratique du Congo, les négociateurs avaient décidé que le gouvernement compte au total 54 membres, y compris le Premier ministre. A signaler cependant que l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) de Vital Kamerhe n’a eu qu’un seul ministère, celui de l’Etat au Budget. L’UNC a donc perdu deux ministères par rapport au précédent gouvernement. Le gouvernement Bruno Tshibala compte au total 59 membres : 3 vice-Premiers ministres, 9 ministres d’Etat, 36 ministres et 11 vice-ministres, sans oublier le Premier ministre. « Cela viole l’arrangement particulier, c’est une entorse à l’accord du 31 décembre », a lâché à ACTUALITE.CD un membre signataire de l’accord du 18 octobre, aussi signataire de l’accord du 31 décembre qui a requis l’anonymat. 59 membres à la place de 54, l’UNC perd 2 postes au gouvernement Tshibala Le gouvernement Bruno Tshibala compte au total 59 membres : 3 vice-Premiers ministres, 9 ministres d’Etat, 36 ministres et 11 vice-ministres, sans oublier le Premier ministre :

Bruno Tshibala a dévoilé la liste de son gouvernement : Selon l'ordonnance présidentielle lue à la télévision, la quasi totalité des personnalités de l'ancienne équipe ont été reconduites. En effet, une place à quatre députés dissidents de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), principal parti d'opposition en République démocratique du Congo. La principale mission du gouvernement du président Joséph Kabila, été d'organiser, en principe avant la fin de cette année, 2016, l'élection d'un successeur au l'actuel président Kabila, au pouvoir depuis 2001. Avec la liste du cabinet a été rendue publique un mois après la nomination comme Premier ministre d'un autre dissident de l'UDPS, Bruno Tshibala. Ex secrétaire général du parti de l'opposant historique Étienne Tshisekedi, décédé en février à Bruxelles à 84 ans, M. Tshibala en a été radié en mars après s'être rapproché du président Kabila dans le cadre de l'accord du 31