Articles

Affichage des articles du novembre 25, 2016

Situation sécuritaire dans la région de Beni-Lubero, est très préocupante, dans les deux dernière années dépuis octobre 2014, jusqu' en nos jours ! Pour cause dela présence des plusieurs groupes armées, dans cette partie dela province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : face à cette situation, le sous-secrétaire général des Nations unies en chargé des droits de l’homme, André Gilmour a tout de même reconnu « la précarité » de la situation des droits de l’homme dans l’est de la RDC. Il a promis de porter la voix des activistes au plus haut niveau des autorités congolaises et du conseil de sécurité des Nations unies. «On sera toujours ensemble avec vous et on va continuer à vous soutenir. La semaine prochaine, je vais donner un briefing à Genève au Conseil des droits de l’homme, quelques jours après, je vais parler au Conseil de sécurité», a-t-il promis :

Au Sud-Ouest du térritoire de Beni, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, les habitants du village de MBILINGA RWAHA, KIKERE et BUTUHE ont vidés, leurs villages depuis 3 jours, selon le noyau, de la société civile dela place. Pendant ce temp, le chef du groupement MALIO est également en refuge, après cette occupation de mai-mai de son groupement. Le Mwami KASEREKA MUSANGANIA BWANANDEKE 3, a confirmé au téléphone de MOUSTAPHA KEMAL que, les FARDC ont mené une résistance, dans l’objectif de récupérer, toutes ces entités occupées par un groupe des mai-mai. Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont repris mercredi 23 novembre le contrôle des localités de Butuhe et Rwaha dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Dans le même chapitre, la police de Beni accuse des miliciens d'avoir abattu quatre policiers en l’espace de trois semaines, au Nord-Kivu. Selon le commissaire supérieur principal de la police au Nord-Kivu, Van Kasongo, deux policiers ont été tués à Butembo et de

Lors d'un combat, toute activités scolaires ont été paralysées de plus, à Butuhe suite à la présence de l’armée à la traque des miliciens mai-mai Les cours n’ont pas eu lieu dans les écoles de l’axe Butuhe-VURONDO depuis mardi 22 novembre 2016. A la base, la présence des miliciens se réclamant membres de l’UPLC. Le directeur de l’EP BUTUHE raconte que des parents sont arrivés nombreux à l’école pour réclamer leurs enfants. Papy KIKOMA alerte ensuite que le village de Butuhe est déjà vide de ses habitants. D’où l’incertitude sur la reprise des cours dans les écoles de l’axe Butuhe-VURONDOmême ce jeudi. Ces propos sont confirmés par un habitant de Butuhe en fuite à Butembo. Selon notre source, 6 camions transportant des éléments FARDC sont arrivés à Butuhe l’avant-midi de ce mercredi. Des coups de balle ont retenti à KIKERE, à trois kilomètres de Butuhe vers 11 heures de ce mercredi 23 Novembre. Du coup, des habitants qui ont cru à un accrochage entre les deux forces ont vidé la localité de Butuhe. Une débandade totale a été observée dans ce village du groupement Malio, rapporte cet habitant de la place désormais déplacé à Butembo. Des miliciens de l’Union Patriotique pour la Libération du Congo, UPLC de KILALO voulaient se rendre à Butuhe. Mais ils ont été contraints de ne pas continuer leur route à cause de l’intervention des FARDC. Des habitants de BUTUHE désertent ainsi leur village en dépit de l’arrivée sur place de plus de 100 éléments FARDC. Notre source indique que cette présence massive des militaires loyalistes congolais ne rassure pas toujours d’autant plus que certains éléments se sont livrés au pillage des biens de la paisible population la soirée de mardi 22 novembre 2016 :

Selon une source de radiookapi.net aussi, les Forces armées de la RDC (FARDC), ont repris mercredi 23 novembre le contrôle des localités de Butuhe et Rwaha dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Ces deux villages étaient contrôlés, par un groupe des miliciens Maï-Maï de l’Union de patriotes pour la libération du Congo (UPLC). Le commandant des opérations Sokola 1 Sud, colonel Fall Sikabwe, parle d’un militaire tué, d’un autre blessé ainsi que de quatre assaillants capturés à l’issue des combats qui ont opposé miliciens et soldats. Après environ trois heures d'affrontements, ces miliciens se sont enfuis, laissant les villages Butuhe et Rwaha aux FARDC. Colonel Fall Sikabwe a également expliqué que les FARDC ont lancé cette offensive dans l’objectif de restaurer l’autorité de l’Etat dans cette contrée. Certaines sources locales accusent certains militaires de s’être livrés aux pillages et à des exactions sur des civils pendant leur offensive. L’armée aurait obligé certaines p