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Affichage des articles du mai 30, 2017

Le retour progressive d’une paix durable au Nord-Kivu comme au Sud-Kivu, dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, en proie des tuerries, vols, viols, incendies, et autres, serait hypothétique, selon une source du journale le Phare de Kinshasa, qui est notre source, compte tenu des complicités internes et externes qui interviennent dans l’entretien des foyers d’insécurité, mais aussi du fait que la coopération militaire formelle entre les FARDC et la Monusco n’est pas encore effective, en dépit de la signature, depuis février 2016, d’un nouvel accord de collaboration :

Des experts des Nations Unies viennent de ficeler, un rapport sur la situation sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo. Ce travail cible la période allant, des premiers massacres à la machette dans le territoire de Beni, en septembre 2014, jusqu’à ceux de décembre 2016. Bien que le rapport sus évoqué ne soit pas encore formellement rendu public, des fuites sont parvenues à certains médias. Selon Jeune Afrique, les rebelles ougandais ADF ne sont pas les seuls les exécuteurs de civils innocents au Nord-Kivu et plus précisément dans la périphérie de Beni. Plusieurs officiers supérieurs des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo) sont cités comme commanditaires des massacres, dont le bilan provisoire s’élève, à la date de clôture de l’enquête onusienne, à 550 morts. Le rôle de ces chefs militaires congolais consistait, indique-t-on, à signaler les positions de troupes régulières et des casques bleus de la Monusco sur le terrain, de manière à pe