Articles

Affichage des articles du avril 26, 2016

Tête à tête Bakimoon Kabila : le président de la République, Joseph Kabila, a passé en revue samedi, à New York, les problèmes politiques d’actualité en République démocratique du Congo (RDC) avec le secrétaire général des Nations unies, Ban ki-moon. Les deux personnalités ont évoqué notamment les problèmes liés à l’organisation des élections et à la tenue du dialogue politique, rapporte l’Agence congolaise de presse (ACP). La source révèle que le secrétaire général de l’Onu, qui a reçu pour la deuxième fois Joseph Kabila dans sa résidence officielle à New York, a reconnu avec son hôte la souveraineté de la RDC dans l’organisation des élections ainsi que du dialogue politique. Et ce, sans ingérence extérieure. S’agissant du mandat de la Mission de l’Onu pour la stabilisation du Congo (Monusco), les deux personnalités se sont félicitées de la qualité du travail abattu par la mission onusienne.

La situation politique et sécuritaire en RDC et la mise en œuvre du mandat de la Mission de stabilisation des Nations unies en République démocratique du Congo (MONUSCO) étaient au centre d’un tête-à-tête Joseph Kabila – Ban Ki-moon ce samedi 23 avril à New York. A cette occasion, le Secrétaire général de l’Onu a encouragé le gouvernement congolais à prendre les mesures nécessaires pour apaiser les tensions politiques dans le but d'ouvrir la voie à des élections présidentielle et législatives pacifiques et crédibles, conformément à la constitution. Le tête-à-tête Joseph Kabila – Ban Ki-moon est intervenu trois semaines après l’adoption par le Conseil de sécurité de l’Onu de la résolution 2277, qui appelle Kinshasa à tenir rapidement les élections libres et crédibles. La résolution «exhorte le Gouvernement et toutes les parties prenantes à garantir un processus électoral libre, équitable, crédible» et la tenue d'élections «en temps voulu, en accord avec la Constitution». Le pr

Malawi en Afrique australe : une jeune femme albinos a été tuée pour la revente de ces os. Son oncle est soupçonné. Dix Malawites soupçonnés d'avoir tué samedi une femme albinos de 21 ans ont été arrêtés, a indiqué lundi la police alors qu'une délégation de l'ONU conduit actuellement une mission pour enquêter sur le traitement des albinos dans le pays. "Ils ont entraîné la femme dans une ferme et l'ont tuée. Ils ont retiré huit os, mis le corps dans un sac et l'ont brûlé sur la scène de crime", a expliqué à l'AFP le porte-parole de la police du Malawi, Kondwani Kandiado. "Ils voulaient tuer cette femme après avoir entendu des rumeurs selon lesquelles les os des albinos peuvent rapporter beaucoup d'argent", a-t-il poursuivi. Les os utilisés lors de rituels Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, les membres et les os des albinos sont utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir. Au Malawi, au moins huit albinos ont été tués ces deux dernières années.

Selon la police, le suspect principal n'est autre que l'oncle de la victime, Gerald Phiri, âgé de 38 ans. Après le crime, les suspects ont emmené les os à Lilongwe, la capitale du Malawi, mais leur transaction pour les vendre est finalement tombée à l'eau, selon les autorités. Ce meurtre survient trois semaines après le meurtre d'une petite fille albinos de deux ans qui avait été enlevée. Deux personnes, dont le père de l'enfant, ont été arrêtées suite à ce crime. Une équipe de l'ONU est actuellement au Malawi pour enquêter sur le traitement des albinos. Leur mission se concentre sur les "attaques envers les personnes atteintes d'albinisme et la vente de leurs membres", précise l'ONU. En mars, sept personnes soupçonnées de trafic d'os humains avaient été brûlées vives par une foule en colère. L'albinisme, maladie génétique héréditaire qui se traduit par une absence de pigmentation dans la peau, le système pileux et l'iris des

Quel avenir politique actuel en République Démocratique du Congo dépuis la fin de novembre 2011 : à vrai dire qui est le résposable ? Aujourd' hui, le pays est au bord du précipice, celui de sombrer à nouveau dans une crise politique voulue aux conséquences incalculables, orchestrée et entretenue par la démesure du pouvoir en place. Dix ans après la promulgation de la Constitution du 18 février 2006, le pouvoir s’ingénie à ramener notre pays là où, par l’effort de toutes les filles et tous les fils de ce pays, nous nous sommes évertués à l’en sortir. De l’Etat failli en 1997 qu’était devenue la République Démocratique du Congo, le Peuple congolais a reconstruit en 2005 dans des remarquables conditions, une démocratie dans un contexte post-conflit, avec l’appui inlassable de la Communauté internationale. Ce dont nous les remercions. La situation politique actuelle appelle tout un chacun à plus de responsabilité en mémoire de plusieurs millions des victimes des violences encourues pour la lutte démocratique.

L’avenir du Congo, notre pays est entre nos mains à tous !!! Ne laissons pas la barbarie de quelques-uns avoir raison de tous et gardons-nous de reproduire les catastrophes quenotre histoire nous a trop souvent servies d’expériences au prix du sacrifice de la vie des millions de nos compatriotes. Ne nous laissons plus jamais embarquer dans des souffrances que nous avons endurées pendant des décennies de régime dictatorial, tyrannique et totalitaire. Et, puisque les mots ne suffisent plus. Ne laissons plus jamais ce pays entre les mains d’un individu ou d’un groupe d’individus qui ne cherche qu’à s’accaparer du pouvoir pour des intérêts égoïstes et personnels, et ce, en violation de la Constitution et des Lois de la République Démocratique du Congo. L’alternance démocratique n’est pas un enjeu de pouvoir, loin s’en faut. C’est celui de la maturité de l’ordre politique que nous avons bâti depuis une décennie et sans lequel, le processus de reconstruction démocratique resterait longte

Primaire avant, les élections générale Américaines entre les deux candidats démocrate et républicain : Des millions d'Américains sont appelés aux urnes mardi dans cinq États de la côte est des États-Unis. Publicité Hillary Clintonveut prendre le large, Donald Trumpendiguer la contre-offensive de ses rivaux. À un mois et demi de la fin des primaires présidentielles, des millions d'Américains sont appelés aux urnes ce mardi dans cinq États de la côte est des États-Unis: Maryland, Delaware, Pennsylvanie, Connecticut et Rhode Island. Ni la favorite démocrate, ni le milliardaire républicain ne pourront mathématiquement atteindre dès mardi la majorité requise de délégués pour l'investiture de leur parti. Le grand nombre de délégués en jeu devrait toutefois les rapprocher de leur but, surtout Hillary Clinton qui a déjà une avance quasi-insurmontable sur son rival, le sénateur Bernie Sanders. Les sondages annoncent des victoires faciles de Donald Trump, renforcé par son triomphe à New York la semaine dernière.

Hillary Clinton et Donald Trump ont largement remporté les primaires démocrate et républicaine qui avaient lieu mardi dans l'État de New York. ● Comment juger la victoire des deux favoris à New York? Le triomphe de Donald Trump et de Hillary Clintonmardi aux primaires de New York a surpris tous les observateurs. Le premier remporte 60,5 % des suffrages et 88 des 95 voix de délégués disponibles. Héraut des classes sociales blanches et défavorisées, il attire aussi 57 % du vote féminin, malgré les accusations répétées de misogynie. Hillary Clinton, chez les démocrates, s'est imposée par 57,9 % des voix contre 42,1 % pour Bernie Sanders. 65 % des électeurs démocrates disent qu'ils la soutiendront en novembre. Quasi assurée de décrocher l'investiture en juillet à Philadelphie, elle devrait basculer rapidement dans un discours fédérateur, et appeler Sanders à jeter l'éponge, ne serait-ce que pour faire cesser des attaques potentiellement dommageables ... Dans tous les

L' Afrique toujours pauvre pourqu' oi ? à qui la faute : (environ 80 milliards de dollars) quittent l'Afrique chaque année en raison de sorties de capitaux illicites, a déclaré lundi l'ex-président sud-africain Thabo Mbeki. "Nous devons trouver un moyen de suivre ces flux de capitaux afin de pouvoir évaluer si les mesures fonctionnent et entraînent une réduction de ces flux", a déclaré M. Mbeki lors d'un point presse à Johannesburg. Le chiffre évoqué par M. Mbeki est supérieur au montant estimé par le Fonds monétaire international (FMI) qui estime que l'Afrique perd 50 milliards de dollars par an à cause des sorties de capitaux illicites. Si l'on examine plus en profondeur ces statistiques, les chiffres s'élèvent à un montant approximatif de 80 à 90 milliards de dollars, a expliqué M. Mbeki. L'ex-président a invité les banques centrales à suivre à la trace l'argent qui transite par leur système. "Cet argent ne quitte pas le continent dans des sacs en plastiques, il passe par des systèmes financiers", a-t-il déclaré.

Le secteur commercial est responsable des deux tiers des sorties illicites de capitaux du continent africain, le troisième tiers dans les activités criminelles comme le trafic de drogue ou d'êtres humains et la corruption. L'ex-président dirige le panel de l'Union africain sur les sorties de capitaux illicites d'Afrique. Ce panel, composé de 10 représentants de pays africains, a présenté ses conclusions à l'issue d'une enquête de quatre ans. M. Mbeki a indiqué que ce panel maintenait des consultations avec certains pays et certaines institutions financières comme l'Organisation pour la coopération économique et le développement (OCDE) et la Banque centrale européenne. L'OCDE a accepté de travailler avec le panel pour pister et réduire ces sorties de capitaux africains illicites, et pour mesurer si des progrès sont obtenus dans cette lutte. En 1972, l’historien Walter Rodney a consacré 361 pages à démontrer comment l’Europe a été à l’origine du sous-dé

Après la barbarie du 19 avril 2016 au siège del' UNAFEC à Lubumbashi : Kyungu wa Kumwanza, président national de l’UNAFEC, vient d’être condamné au paiement de 10 millions de francs congolais au profit d’une partie civile fabriquée par les comploteurs, selon un de ses proches, et des jeunes gens innocents qui ne sont même pas membres de ce parti, sont condamnés de 5 à 10 ans par le tribunal de grande instance de Lubumbashi. Comment s’est déroulé le scénario ? Mukonkole Katambwe Pascal, Procureur général près la Cour d’Appel de Lubumbashi, qui vient fraîchement du parquet général de Matadi où, selon des sources du même endroit, il a eu à commettre des extorsions, concussions et le rançonnement des commerçants tant nationaux qu’étrangers et envoyait une partie de son butin au fameux procureur général de la République, M. Flory Kabange Numbi. ” Le pasteur et haut magistrat n’a pas trouvé d’autres ressources que d’envoyer son lieutenant Mukonkole Katambwe Pascal au Katanga, car il devait placer à la Cour d’Appel son frère Ilunga Ntanda, un escroc de grand chemin connu dans les milieux des Libanais, pour qui, c’est l’argent ou rien”, m’a confié un Avocat de Lubumbashi.

Les prévenus avaient été arrêtés mercredi dans la deuxième ville du Congo après des heurts entre la police et quelques centaines de militants de l'Unafec en colère après la dégradation la veille de locaux du parti. Des affrontements avaient opposé les agents de l'ordre à la population lorsque la police avait fait une descente au siège de l'Unafec de Lubumbashi. Réagissant sur la mise à sac des sièges de l’UNAFEC ce cadre de G7 a dénoncé ce qu’elle a qualifié « d’entraves aux libertés fondamentales » d’un parti politique en Rdc. La convocation a été déposée ce jeudi 21 avril à la mi-journée au domicile de Gabriel Kyungu wa Kumwanza à Lubumbashi. L'audience est fixée pour ce vendredi après-midi. L'opposant est supposé responsable des actes de violence perpétrés par des présumés jeunes militants de l'Unafec lorsque les forces de l'ordre sont descendues mardi et mercredi au siège du parti de Gabriel Kyungu dans la commune de Kenya. Les heurts entre la populat

Journée du 24 avril 2016 à Lubumbashi chef lieu Haut Katanga a été le théâtre de Barbarie entre les policiers et les membres du G7 : Ce jour là, quatre étrangers dont un Américain, proches de l'opposant Moïse Katumbi, ont été arrêtés lors d'une manifestation contre le pouvoir, puis transférés à Kinshasa, ont annoncé lundi les autorités congolaises. L' opposition avait programmé sur toute l'étendue de la République démocratique du Congo (RDC) des manifestations populaires en marge du 26e anniversaire du processus de démocratisation dans le pays, lancé le 24 avril 1990 par le dictateur Mobutu Sese Seko, au pouvoir pendant 32 ans. A Lubumbashi, capitale de la province du Haut-Katanga (sud-est), plusieurs centaines de manifestants qui accompagnaient l'ancien gouverneur Katumbi passé l'an dernier à l'opposition ont été dispersés par la police. Le chef provincial de la police avait alors indiqué qu'une vingtaine des "lieutenants" de Katumbi avaient été arrêtés. Lundi, le ministre des Médias, Lambert Mende, a affirmé que "tous les Congolais ont été libérés".

Dimanche le 24/04 des milliers des personnes sont descendus dans la rue pour accompagner Moïse Katumbi Chapwe au stade Kibasa Maliba, lieu où il devait tenir son meeting, a l’occasion de la commémoration du 26e anniversaire du multipartisme en RDC. Mais, la foule venue l’écouter a été dispersée quelques minutes par la police, qui a lancé des gaz lacrymogènes. Plusieurs personnes ont été arrêtées lors de cette manifestation manquée. Parmi elles, le garde du corps de Moïse Katumbi et ses chauffeurs. L’ancien gouverneur du Katanga, devenu opposant, a condamné ces actes: «Il y a eu plusieurs arrestations. Ces gens n’étaient pas armés. Je prends à témoin la Monusco. La Monusco était là. C’était une marche pacifique, jusqu’à ce que – avant d’arriver au stade, à 500 mètres de l’endroit où on devait faire le meeting – ils [les policiers] ont commencé à tirer avec des gaz lacrymogènes avec des balles réelles. Mais, c’est pour tuer qui ? La population congolaise ? Je condamne fermement ça.»

Il n' aura pas des élections en République Démocratique du Congo vers à la fin del' année 2016 : Le gouverneur Paluku a estimé que le manque de moyens financiers et l’enrôlement de nouveaux majeurs ne vont peut-être pas permettre l’organisation des élections dans le délai constitutionnel. La tenue des élections dans des conditions requises en République démocratique du Congo est conditionnée par un financement conséquent et de l’enrôlement de nouveaux majeurs, a déclaré le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku qui a, au cours d’une matinée politique ce samedi 23 avril, réarmé les membres de la Majorité présidentielle au vu des enjeux de l’heure. « Pour qu’il y ait de bonnes élections en RDC, il faudrait la mobilisation de 1 milliards 400 millions de dollars américains », a révélé l’Autorité morale des partis soutenant le Président Joseph Kabila au Nord-Kivu avant de révéler que 300 millions de dollars sont affectés mensuellement au fonctionnement de tout le pays et qu’il faudra l’arrêt de toute une nation.

Dialogue : Le Vice-président de la CENI Norbert Basengezi a éclairé que, la lanterne des dirigeants de l’Eglise du Christ au Congo sur le retard que connaît le processus électoral. Norbert Basengezi Katintima, Vice-président de la Ceni a été, dans le cadre du Partenariat avec les Eglises du Congo, devant les présidents provinciaux du Synode et cadres de l’Eglise du Christ au Congo, réunis à Shaumba. Il a échangé avec eux sur certains points d’actualité ayant trait au processus électorale, notamment, sur le calendrier électoral, le fichier électoral, les défis électoraux de la Ceni, de l’argent payé par les candidats Députés provinciaux etc... Pour une bonne compréhension, il a distribué des documents détaillés avec des réponses sur toutes les préoccupations de la population en province. En substance, il a rappelé que la Ceni a déjà publié trois calendriers rejetés par la classe politique. Ce sont là, les trois aléas qui ont occasionné le retard du processus électoral. Le même aléa, c