À Butembo trois présumés criminels des bandits à main armée, ont étaient arrêté, aujourd' hui, le Jeudi 24 Mars 2016 aux environs de 4 heures du matin. D' après, une source locale dela place, les Jeunes Patriotes de Butembo ont mis la main sur 3 bandits porteurs d'arme blanche (machette) qui voulaient mettre fin à la vie de la sentinelle du couvent des pretres de Vulema en commune Mususa. On ne sait pas ce qui pourait venir aux ministres de Dieu qui apparemment étaient leurs cibles après qu'ils auraient mis fin à la vie de cette sentinelle... Après leurs arrestation, ces jeunes gens, ont fait appel à la PNC dela Ville qui est venue vite les récupérer. IL sied qu'à signaler que ceci est arrivé après que le révérend père Vincent MACHOZI était tué, le dimanche dernier en chefferie de Bashu et enterré ce mercredi passé au cimetière des assoptionistes de Mahamba. FABRICE SIRIWAYO +243 998968175. Parmi ces trois bandes, les deux sont spécialisées dans les vols armés dans les couvents des sœurs et de prêtres, ainsi que les vols des motos et le cambriolage des coffres-forts et entrepôts, a expliqué, des sources sécuritaire. Malheureusement pour eux en brandissant une arme auprès d'une patrouille, ils avaient aussi des armes blanches, et c'est comme ça que les forces de sécurité ont eu à réagir». L'inspecteur urbain de la police nationale à Ville de Butembo a également indiqué ce groupe de criminels opère la nuit comme des coupeurs des routes, volent les biens de la population et tuent même de paisibles citoyens, dans plusieurs quartiers de Butembo. À lui d' ajouté que, c'est une organisation criminelle allant même jusqu’à une rébellion. Peut être, ils veullent, afin d' organiser sans succès, une rébellion contre les institutions de la République», a poursuivi le général. Dépuis quelques années à Butembo, la police nationale cherche encore à dénicher le commanditaire de ce réseau de criminels.
À térritoire de Lubero au Nord-Kivu, à l'est dela Rdcongo, le gouvernement provincial a mis sur pied un plan intérimaire de sortie de crise. Ce plan est composé de six points. Le premier point consiste au renforcement de la présence militaire dans cette partie de la province. L’armée devra donc urgemment éradiquer le phénomène FDLR et mettre hors d’état de nuire les milices maï-maï et d’autres groupes armés auxquels chaque communauté a tendance à faire recours. Le deuxième point consiste à délocaliser le camp de déplacés de Miriki et apporter urgemment assistance à près de 9 cents ménages soit plus de quatre mille personnes vivant dans ce camp. Cela aiderait à départager les Nandes des hutu qui cherchent à manger dans les champs des autochtones. Le troisième élément du plan consiste au déploiement des éléments de la police pour maintenir de l’ordre dans des milieux libérés par les FARDC. Le quatrième élément de ce plan intérimaire de sortie de crise consiste en l’organisation d’...