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Affichage des articles du janvier 23, 2016

RDC BENI TÉRRITOIRE : Un calme s'observe dans la soiré, après une nouvel tententive d' attaque des Adf-Nalu signalé vers May Moya localité situé à 12 km au nord dela commune rurale d' Oicha sur le troçont routier Beni Eringeti, dans le groupement de Bambubha-Kisiki Sécteur de Beni Mbau, aujourd' hui samedi 23 janvier 2016. Cela arrive après l' arrêstation d' un élément de ce même rébélles Adf par les Fardc à Tandibho une rivière qui sépare la commune rurale d'Oicha à celle du chef lieu dela colléctivité de Mbau vers 23:00 heures locale jeudi 21/ 1/2016 Aujourd' hui les Fard ont bien, travaillé dans le combat contre les térroristes des Adf qui tuent la population inocente. On en entendu des coups des balles, les armes légère selon les habitants de cette parti du térritoire. Mais que disent les autorités millitaire ? Il nous infornent, que ces rébélles des Adf-Nalu ont encore attaqué une position des Fardc àl' entrer de May-Moya. Bilan, quatres morts et quelques capturées selon le porte parole d' opération sukula 1 le LTN MIKE HAZUKAYE qui le confirme. Mais des sources locale signalent que les forces loyalistes ont résisté avec force contre ces aventuriers qui troublent encore. Dans ces jours, les rebelles des ADF-Nalu attaquent les localités, des grandes aglomerations de Beni térritoire, ou une position des FARDC, dans l'objectif de trouver des munitions, et de s'enprovisioner en nourritures, médicaments, chèvres ,poules ,canards des habits et autres. La société civile de de Beni térritoire déplore la situation et demande une plus grande implication des autorités en vue de sécuriser la population. Selon de source millitaire le Fardc, continue de traquer les inciviques avec le ratisage. Mais jusqu'en présent c'est l'armée nationale Fardc qui contrôlent la situation sur térrain, après la fuite des Rébélles Ougandais, des Adf-Nalu dans la brousse du parc Nationale des Virunga. Toute les millitaires qui sont basée dans cette parti étaient bien positioné dans leurs camp. Mais cete tentative a echoué grâce àl'intervation musclé des Fardc qui ont réagie avec des armes lourde et automatique. La fois passée, deux personnes ont été grièvement blessées à la machette le samedi 14 novembre dernier au cours d’une attaque des cinq villages de la chefferie de Walese Vonkutu dans le territoire d’Irumu en Ituri (à la limite avec le Nord-Kivu), ont rapporté lundi 16 novembre les représentants de la société civile locale. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Au regard de leurs modes opératoire, la société civile d’Irumu attribue cette attaque aux rebelles ougandais des ADF, actifs dans la région. Les assaillants portaient des fusils et des machettes. Selon Daniel Erabo Sezabo, président de la société civile locale, les mutins auraient profité du déplacement des FARDC du 905e régiment vers le Nord-Kivu pour opérer dans la quiétude. Ils ont ciblé particulièrement les villages de Madibe, Masomé, Apinzi 1, 2 et 3, situés tous à environ 100 kilomètres au sud de Bunia. Ils ont pillé notamment des chèvres, des cochons, des poules et des vivres, ont précisé les mêmes représentants de la société civile. Cette attaque a provoqué des déplacements importants de la population vers les brousses environnantes. Quel est l'objectif des rébélles Adf-Nalu ? Selon mon point de vue, c'st forcé le déplacement des populations en vue d’occuper progressivement leurs terres et d’exploiter les ressources naturelles, l’installation des foyers d’intégristes religieux et des bases d’entrainement terroristes dans la zone. alors que ce sont des véritables terroristes qui s’assignent pour mission islamiser de force toute la région et créer un Etat Islamiste dans la Région de Grand-Lac. Pour sa part, la société civile de Beni ville et térritoire encourage l’armée régulière congolaise de démanteler le centre international de terrorisme. L’extrême nord du Territoire de BENI, dans le Parc de VIRUNGA et la Vallée de la rivière SEMULIKI ont abrité jusqu’il y a peu des CENTRES d’Instruction pour former ces terroristes. Leurs essais de bombes artisanales ont fait par plus de 4 fois des victimes en Ville de BENI au cours du premier Trimestre de 2014. Partant du mode opératoire des combattants, des armes dont ils ont fait usage. Sachons tous qu’à BENI il y a plutôt des Terroristes, sans objectif militaire. A ce sujet, au 1ersemestre 2013 nous avons par exemples documenté de cas de recrutements des jeunes dans des mosquées au N-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et ITURI, le kidnapping des plus ou moins 894 civils en Territoire de Beni convertis de force en musulmans (selon les témoignages de plus de 383 civils libérés, des combattants-Adf rendus ou capturés par les FARDC). Il faut absolument arrêter ce cycle des violences qui perturbent non seulement la quiétude de paisibles citoyens de Beni mais constituent bien plus un véritable frein aux multiples projets de développement entrepris par le Gouvernement tant nationale.

Donc aujourd' hui la population de Beni térritoire vivent dans l'insécurité totale des Adf-Nalu qui nous térrorisent. Celle d'Oïcha a eu lieu le 08/10/2014 donc plus d'une année jours ou jours nos frères du chef-lieu du térritoire de Beni ont étaient tué àla machette, hache, couteau, par les rébéles Adf-Nalu 1. Du 04 au 05/10/2014 : En village MUKOKO, situé à plus ou moins 5 kilomètres d’Oïcha du côté gauche de la route principale nationale n° 4. Ce jour 2 personnes ont été tuées, par des hommes armés identifiés comme ADF, 3 autres avaient été enlevées avant d’être libérées par les FARDC. 2. Le 06/10/2014 : Au village LINZO-SISENE,sur l’axe Oïcha-Eringethi. 7 personnes tuées,12 blessés par machette et haches, 8 personnes portées disparues jusqu’à présent. 3.Du 5 au 06/10/2014 : Dans les villages MAYIMOYA, MAIBO et KISIKI tous situés sur l’axe Oïcha-Eringethi: 9 personnes tuées. 4.Le 08/10/2014 : En Cité d’Oïcha, Quartier BAKAIKU, Cellule Aliaki/MAMIKI, 9 personnes tuées

RDC : DIALOGUE NATIONALE DIVISION AU SEIN DELA CLASSE POLITIQUE D' OPPOSITION : Pour sa par, le président Joséph Kabila pourrait briguer un troisième mandat et être toujours le maître politique du pay avec l' appui de ses alliés des grandes puissance. Mr Kabila accepte d'ouvrir un dialogue politique avec l'opposition alors que les grands partis politiques consultés restent divisés sur l'agenda de ces nouvelles négociations. En 2013, Joseph Kabila avait convoqué des concertations nationales dans le but de rechercher la cohésion nationale, qui ont abouti, entre autre autres, à la formation d'un gouvernement d' union nationale, élargi fin 2014 à quelques membres de l' opposition. "Ces nouvelles négociations ne risquent-elles pas de nous amener vers le même schéma de partage des postes ministériels, alors qu'il y a nécessité de préparer de manière consensuelle des élections libres et transparentes dans un climat apaisé" s' interroge un député national de l'opposition. Pour l'heure, c'est le calendrier électoral global qui constitue le point de discorde majeur entre la Majorité présidentielle et l'opposition dans son ensemble. D'où, le président Joseph Kabila a envoyé un émissaire dans les états-majors des principaux partis d'opposition, ainsi qu'auprès d' un Groupe parlementaire des Libéraux démocrates et socialistes, pour discuter de l'organisation d'un éventuel dialogue national. Après les contacts préliminaires qu'il avait pris le 2 mai 2015 avec le secrétaire général de l'UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social), Bruno Mavungu, le président de l'UNC (Union pour la Nation Congolaise), Vital Kamerhe, et la secrétaire générale du MLC (Mouvement de Libération du Congo), Eve Bazaiba, l' administrateur général de l'ANR (Agence Nationale des Renseignements), Kalev Mutond, a reçu cette semaine les mémorandums de ces trois partis de l'Opposition en rapport, disent- ils, avec "la crise politique née à la suite des élections présidentielle et législatives controversées de novembre 2011, dont la résolution devrait passer par un Dialogue national inclusif". L'un de ces documents, celui de l'UDPS, réitère la demande d' Etienne Tshisekedi publié dans un communiqué, depuis Bruxelles, le 8 mai 2015. "L'UDPS exhorte le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies en RDC et le Collège des envoyés spéciaux en RDC et dans la région des Grands Lacs, de jouer pleinement leur rôle diplomatique de médiation en prenant, de toute urgence les contacts avec les parties congolaises afin de définir le cadre d' organisation effective du dialogue dans un court délai", souligne le communiqué, qui juge la démarche de Joseph Kabila "de manoeuvres dilatoires visant à contourner les exigences constitutionnelles régissant les échéances électorales et à favoriser un éventuel glissement.." Certes, la démarche de Joseph Kabila est diversement interprétée par la classe politique. "Ce dialogue n'a pas véritablement sa raison d'être pour l' instant. Pourquoi faire un dialogue maintenant, parce que nous sortons de concertations nationales. Et tout le monde sait que ces concertations ont abouti à des résolutions, mais qui ne sont encore appliquées jusqu'aujourd'hui", estime José Makila, président du Groupe parlementaire des Libéraux démocrates et socialistes. M. Makila "est contre le glissement du calendrier politique susceptible de permettre aux députés et au chef de l'Etat actuels de rester au pouvoir au-delà de leurs mandats". "Nous devons aller aux élections pour sortir les députés provinciaux, les sénateurs et les gouverneurs. Par après on ira tous en 2016 pour élire le président de la République", a-t-il ajouté. Un son de cloche un peu différent chez Mwenze Kongolo, le président du Parti Patriotique Kabiliste. "Le dialogue national entre l'opposition et la majorité présidentielle doit aboutir à la tenue d'une table-ronde au format réduit pour ne discuter que du calendrier électoral global", affirme-t-il. "Si nous allons parler avec le pouvoir, nous devons parler du calendrier. Tel qu'il est, il n'est pas réaliste. Nous avons fait une contre-proposition et c'est cette contre-proposition que nous voulons discuter. Si elle est mauvaise pour la population, on verra ce qu'on pourra faire", précise-t-il. Pour M. Kongolo, la table-ronde ne devrait pas être un lieu de partage du pouvoir entre l'opposition et la majorité et "devrait surtout éviter tout glissement pour le prolongement du mandat de l'actuel chef de l' Etat." L'UDPS partage la même opinion. "Nous avons dit à M. Kabila que le respect de la Constitution reste de stricte application", indique Bruno Mavungu. L'UNC de Vital Kamerhe exige la tenue de ce qu'elle appelle " vrai dialogue" et qui serait conforme à l'esprit de la résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations Unies et de l'Accord-Cadre d'Addis-Abeba. Ce que rejetterait la majorité présidentielle.Selon le porte- parole de la MP, Sébastien Luzanga Shamandevu, la démarche du chef de l'Etat est encourageante.

À la division de la classe politique répond le silence du président. Les différentes plate-forme de l’opposition politique congolaise se réunissent en convention depuis lundi 31 mars 2015 à Kinshasa dans l’objectif de consolider l’unité de l’opposition face aux questions de l’heure , telles que la révision de la constitution et la feuille de route de la Ceni. Mais dès l’ouverture des travaux de la convention, des voix se sont faites discordantes. Pour le Parti travailliste de Steve Mbikayi, ces assises virent à des attaques individuelles oubliant l’essentiel : le combat politique. Steve Mbikayi pense que la Coalition « Sauvons la RDC » vise plutôt des individus. Ce qui n’est pas l’idéal pour son parti, a-t-il affrimé. « Presque tous les partis qui composent la CVD ne seront pas là. Parce que nous nous sommes dits qu’on devait d’abord voir clair dans toutes ces démarches, éviter de confondre l’agitation avec l’efficacité politique, éviter de rendre le combat politique en combat ind