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Affichage des articles du avril 26, 2017

Joséph Kony est toujours invisible entre les frontières dela République Démocratique du Congo, l'Ouganda, le Centre Afrique, et le Soudan du Sud, selon une source del'Agence France Presse en à partir de Kampale en Ouganda : Dépuis près de trois ans, le chef suprême de la rébéllion Ougandaise LRA, n'est qu'exceptionnellement apparu en public. En 2006, il assurait à un journaliste occidental, un des rares étrangers à l'avoir rencontré, qu'il n'était "pas un terroriste" et combattait "pour la démocratie". Ses victimes, elles, racontent avoir été forcées de mutiler ou tuer leurs amis, voisins ou proches, quelquefois en les mordant jusqu'à la mort, et parfois de boire le sang de leurs victimes dans le cadre de rites effroyables. Toutes ces exactions vaudront à Kony de devenir, en 2005 et en compagnie de quatre de ses adjoints, le premier suspect inculpé par la Cour pénale internationale (CPI), qui leurs reproche des crimes contre l'humanité, et crimes de guerre, au nombre desquels meurtres, viols, esclavagisme, enrôlements d'enfants :

Joseph Kony, a été traqué sans succès depuis des années par des forces étrangères en Afrique centrale, avec les forces special américains, a troqué à l'aube d'enfant de chœur pour le treillis du rebelle, semant depuis 25 ans la mort dans la region, à la tête de la cruelle Armée de résistance du Seigneur (LRA). Pourtant, le leader de la LRA, Joseph Kony, reste introuvable. Il se déplacerait entre la Centrafrique et le Soudan, selon Paul Ronan d'Invisible Children, une ONG impliquée dans sa traque. Cette ONG est connue pour la campagne médiatique "Kony 2012" qui a attiré une attention internationale sur les exactions de la LRA. Ce prophète auto-proclamé a été chassé avec la LRA du nord de l'Ouganda en 2006 et a poursuivi ses exactions avec un contingent amaigri de partisans en République démocratique du Congo (RDC), en Centrafrique, au Soudan et au Soudan du Sud. Au rythme des traques menées inlassablement par les armées de la région, appuyées par une centaine...

À quand les noms de future membres du gouvernement de transition ? En effet, des sources proches du Premier ministre en République Démocratique du Congo, Bruno Tshibala, contactés par ACTUALITE.CD, affirment que, des tractations en vue de la formation du gouvernement dans les prochains jours, ont été réglées en grande partie de concert avec le chef de l’Etat Joseph Kabila. «Tous les chefs des partis politiques voudraient garder leurs postes ministériels dans le prochain gouvernement (…) mais l'actuel chef du gouvernement qui tient à composer, avec de nouvelles têtes dont les jeunes et avec des personnes qui ont une très bonne morale, a réussi à décanter la situation en collaboration avec le chef de l’Etat», a ajouté une autre source. Kin Kiey Mulumba : « Il est difficile de remplacer Tshibala alors qu’il n’a pas travaillé » Que le président de la République rencontre Félix Tshisekedi, Tryphon Kin Kiey Mulumba n’y voit aucun inconvénient. C’est ce qu’il a dit mardi dernier, à un journaliste d' ACTUALITE.CD dans une interview... accordé, à Kinshasa, la capital de ce pay d'Afrique centrale :

Les partis et plateformes politques du Rassemblement/Kasa-vubu ont tenu une matinée politique ce mardi 25 avril 2017 à la Foire internationale de Kinshasa (Fikin) pour protester contre la déclaration de la CENCO qui a jugé comme une entorse à l’Accord du 31 décembre, la nomination de Bruno Tshibala au poste de Premier ministre. « C’est le peuple congolais, par la société civile et quelques structures formelles et informelles, qui veut exprimer son mécontentement suite à la dernière prise de position de la CENCO sur la nomination de Bruno Tshibala. Le service “informel” de Bruno Tshibala insiste que le nouveau Premier ministre tient à s’acquitter de la mission lui assignée dans l’Accord du 31 décembre, à savoir l’organisation des élections. Il n’y a plus d’embûche pour la mise en place du gouvernement Tshibala, renseignent plusieurs sources proches de Bruno Tshibala. «La mise en place du gouvernement pourrait intervenir dans les 48 heures, mieux dans les prochaines heures», déclare ...

Les combattants miliciens Maï Maï du groupe NDUMA dictent leur loi dans les localités KATANGA, VUYINGA, MAKISA, MAYEBA, MAMBO, MASINGI, FUNGULA MACHO, KATRIKWAZE et dans les carrés miniers dans la région du térritoire de Lubero en République Démocratique du Congo, province du Nord-Kivu, toujours en proie d'insecurité grandissante en ces jours, causé par la presence de plusieurs groupes des miliciens Maï Maï qui troublent cette région, par des actes des pillages, meurtres, vols, incendies, et des déplacements forcées, dela population victimes de plus : Les maï-maï Nduma Defense of Congo vivent sur le dos de la population qui sont victimes à VUYINGA et environs : Le payement de la taxe mensuelle et la participation obligatoire au Salongo rendent la vie difficile aux habitants de milieux sous contrôle de ces combattants. Samedi 22 avril, par exemple, les commerçants ambulants et les paysans ont été obligés d’abandonner leurs articles au marché. Pour cause l’arrivée brusque et brutale des maï-maï au marché pour un recouvrement forcé de leur taxe mensuelle :

Cette perception était accompagnée du contrôle de timbres de payement de la taxe depuis le mois de décembre. Plus de 200 personnes ont été arrêtées par les combattants NDUMA DEFENSE OF CONGO. Une victime que nous avons jointe au téléphone alerte sur cette situation. Selon la même victime, la perte d’un timbre entraîne le paiement d’amende de 10 milles francs congolais. Par ailleurs, les maï-maï NDUMA ont interdit l’abattage de tout animal à KATANGA-MBALALA. En conséquence, tous les bouchers sont en chômage. Ils réagissent ainsi à l’attitude des habitants de KATANGA-MBALALA qui auraient refusé d’acheter la viande d’une vache que les maï-maï avaient abattue, depuis plus d’une semaine. L'insouciance des forces armées Pour le moment, les habitants regrettent que toutes les manœuvres de ces combattants NDUMA se passent sous les yeux impuissants des FARDC et la Police nationale congolaise. Ils pensent déjà à une complicité des forces de sécurités dans cette situation qui prévaut dans ...