Articles

Affichage des articles du avril 6, 2017

Un climat des tensions s'observe ce dernier temp, entre les acteurs politique en République Démocratique du Congo, avant l'expiration de 48H de J. Kabila : À ce sujet, mr Robert Bope, cadre de l’UDPS et ancien membre du Comité national monte au créneau. Il dénonce une décision qu’il qualifie d’illégal. Interrogé par Top Congo FM, il fait des révélations. « Exclure Valentin Mubake de l’UDPS parce qu’il a rencontré Joseph Kabila, c’est du n’importe quoi. Parmi les gens qui ont pris cette décision, du reste irrégulière, il y en a qui ont rencontré le président de la République. Personne ne les a exclus du parti« , a-t-il dénoncé. Puis incisif: « Félix Tshilombo Tshisekedi a rencontré Joseph Kabila. C’était en catimini. Il ne voulait pas que la presse en parle. ll peut beau le nier. Je sais qu’il l’a rencontré« . Bien qu’il n’avance aucune date et ne donne aucune précision, Robert Bope persiste et signe. Robert Bope dit d’avoir plus peur des représailles. « L’UDPS a quand-même des textes. Personne ne va m’exclure après ce que je viens de dire :

Raphaël Katebe : Pour le moment, le besoin le plus ardent du congolais sur le plan politique est l’organisation des élections. Or, la démarche lancée par le chef de l’État au Palais du peuple ce 05 avril en reprenant les choses en main va nous permettre certainement d’aller de l’avant, raison pour laquelle je l’ai encouragé et félicité. Voilà aussi pourquoi j’encourage mes frères acteurs politiques et tous les congolais à le soutenir . Politico.cd : Merci à vous Raphael Katebe. Raphaël. Katebe: c’est bien moi qui vous remercie madame. Raphaël Katebe félicite Kabila pour son discours et condamne « les refus » de l’aile Félix Tshisekedi à répondre à ses appels Dans une interview exclusive accordée jeudi à POLITICO.CD, le président de l’ULD a réagi au sujet du discours du président Kabila ce mercredi 05 avril devant le Congrès, lançant un appel « au peuple » à soutenir la démarche du Chef de l’Etat. Raphaël Katebe, quelle est votre réaction face au discours du Président de la Républ

À partir de Kinshasa, Lambert Mende Omalanga, porte parole du gouvernement dela République Démocratique du Congo a précisé que, Samy- Badibanga, actuel premier ministre s’est réjoui, après le discours du chef del'état, mercredi, dans une interview ce mercredi 5 avril 2017 à ACTUALITE.CD, que le chef de l’Etat en tant qu’institution ait repris l’initiative de régler la crise politique actuelle en RDC. Le président avait promis de prendre les choses en main et c’est ce qu’il est en train de faire. Je pense que le président est un homme de parole. Concernant la nomination du Premier ministre, doit-il tenir compte de liste déposée par Olenghankoy ou doit-il attendre la liste de Félix ? Il faut citer le président entièrement et non pas saucissonner ses déclarations : Votre réaction après le discours du chef de l’Etat ? Je suis très heureux de ce ton volontariste du président. Depuis qu’il a été informé par les évêques auxquels il avait chargé d’une mission de bons offices du fait qu’il y avait deux points d’achoppement :

Du côté du Rassemblement aile Félix Tshisekedi, on estime que le président par son discours est en train de sortir de l’Accord du 31 décembre ? Je ne sais pas en quoi le président sort de la disposition de l’Accord du 31 décembre. Quelle est la disposition de l’Accord qui interdit au président de la République de jouer son rôle d’arbitre lorsqu’il y a dysfonctionnement des institutions ? Au contraire cet Accord commence par un engagement à faire en sorte que tout se passe conformément aux dispositions de la Constitution. Pour eux, le président ne pouvait dire qu’il va nommer le PM tant qu’il n’a pas encore reçu le Rassemblement… Cette faction a refusé d’aller voir le président. Alors on ne peut pas bloquer le pays. C’est un acte de responsabilité. Lorsqu’on ne peut pas aller à une invitation d’une institution chargée d’assurer la régulation des institutions, on ne peut pas se prévaloir de sa propre turpitude et accuser cette institution d’avoir manqué à ses devoirs. Quel bilan fait

La montagne glacière solitaire qui se trouve sur planète Ceres va se disparaitre dans le jours à venir selon une source dela Nasa, dernièrement ! Lorsque la mission Dawn de la NASA estarrivée à Ceres en 2015, elle a trouvé un monde presque plat avec une seule montagne, Ahuna Mons. Le sommet massif tourne à 2,5 miles (4 kilomètres) au-dessus de la surface et a au plus 200 millions d'années. Des recherches antérieures ont suggéré que le pic pourrait être un volcan de glace- formé par le processus de cryovolcanisme, ou de la glace -, mais sa source est toujours en discussion. L'isolement de la montagne a été un énorme casse-tête pour les scientifiques depuis que Dawn l'a repéré pour la première fois. D'autres mondes glacés soupçonnés d'héberger des cryovolcans, comme Plutonet les lunes Europa, Triton et Titan, ont plusieurs suspects. Ceres en a un seul. Selon Sori, une possibilité est que le cryovolcanisme était en sommeil sur Ceres jusqu'à assez récemment - bien qu'il appelle cela un scénario peu probable :

Le seul sommet de montagne sur la planète nain Ceres, le volcan de glace Ahuna Mons, peut s'écouler lentement et couler dans la croûte. Dans cette vue en perspective simulée, l'élévation du pic a été exagérée par un facteur de deux. La montagne solitaire sur la planète nain Ceres peut disparaître lentement, suivant les traces des pics précédents. De nouvelles recherches suggèrent que la couche extérieure du monde glacé peut se déplacer lentement au fil du temps, ce qui permet à la crête de s'allonger progressivement et de couler dans la croûte. Des montagnes semblables ont pu sauter la planète dans le passé et aplaties avec le temps. La planète nain Ceres et le cas des volcans de glace disparus ; "Il est tout simplement étrange de penser à une histoire thermique d'une planète où cela se produirait, où vous auriez la mort pour la plupart de son histoire, et hier, relativement parlant, devenez actif", a-t-il déclaré."C'est une étrange histoire thermiqu

Les membres d'opposition politique continue, à réagir après l'adresse du chef del'état, Joséph Kabila, àla Nation, dévant les deux chambres réuni en congrès, en République Démocratique du Congo, le mercredi 05 avril 2017 : un discours que, la plus part des acteurs politique del'opposition, le qualifie à la mobutienne. D'après Édgar Mateso un membre dela société civile urbaine de Butembo, dans la province du Nord-Kivu, c'est à la manière de Mobutu, d'où Kabila a mobilisé, tout le Congo qu'il s'adressera à la nation. Ses partisans sont venus très nombreux pour surchauffer et animer le palais du peuple à la "manyonge". Les séquences étaient entrecoupées par des applaudissements à la "mopape". Ce discours centré autour de la précarité sécuritaire, la morosité économique et l'incertitude politique. 1. Le président de la république a indiqué que l'attention est tourné vers le Kasaï Central et qu'il s'observe une nette évolution dans la partie Est depuis le dernier trimestre, tout en reconnaissant que la paix et la tranquillité sont encore à poursuivre pour une paix durable. Que dire des attaques répétitives à Kasuo, Vuyinga, Vukunu, Kamandi-Lac, Kiserera en territoire de Lubero; Rwahwa, Musenge, Kahamba, le triangle dit de la mort en territoire de Beni :

L'activisme des phénomènes ADF et FDLR, des maï-maï Mazembe, Nyatura, NDC et autres dans le Rutshuru, Lubero et Beni ? Au sujet de l'économie, le chef de l'État a, pour la première fois, reconnu que (pendant plus de 15 ans à la tête de l'État) l'économie n'a pas été maîtrisée ; elle est tourné vers le secteur tertiaire de l'importation et de l'exportation. Cette fois (pour les quelques temps qui lui a été ajouté) il va changer le système, promouvoir le secteur privé producteur agro-industrielpour produire ce que nous consommons, lutter contre la fraude,.. Quant à la jeunesse, J. Kabila a promis de nouveau l'emploi, la résorption du chômage, l'amélioration des conditions de vie des fonctionnaires de l'État et l'augmentation de la masse salariale. Le président Kabila est revenu également sur les différents dialogues politiques depuis les concertations de 2012 au dialogue du centre interdiocésain en passant par celui de la cité de l'O