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Affichage des articles du juin 1, 2017

Le gouvernement congolais prépare sa replique après la sanction del' Union Européenne contre les anciens, et nouveaux membres autorités nationaux, dans le régime du président, Joséph Kabila Kabange, en République Démocratique du Congo. [ Mais dernièrement, un climat des tensions politique a été observé, d'ici, et là, sur toute entendu du térritoire nationale de ce plus grand pay d' Afrique Centrale ] Au niveau international, la candidate démocrate malheureuse à la présidentielle de novembre 2016 dernier, Hillary Clinton dénonce avec force, une collusion entre Russes et Américains, contre elle est longuement revenue, lors d'une conférence, sur la campagne de désinformation et de piratage attribuée par Washington à la Russie et dont elle a été la cible dans les mois précédant le scrutin. "Les Russes, à mon avis (...) n'auraient pas su comment transformer ces informations en armes sans l'aide d'Américains", a-t-elle déclaré lors de la conférence technologique organisée par Recode à Rancho Palos Verde en Californie, se référant aux fausses informations diffusées sur internet, aux robots Twitter et aux messages piratés. En particulier, a-t-elle dit, "des gens qui avaient des données de sondages". Qui, selon elle, guidait les Russes ? "Nous obtenons de plus en plus d'informations sur les contacts entre des responsables de la campagne Trump et des proches de Trump avec les Russes avant, pendant et après l'élection", a-t-elle répondu :

Hillary Clinton est allée mercredi plus loin qu'auparavant dans l'interprétation de sa défaite contre Donald Trump en affirmant que les Russes s'étaient probablement coordonnés dans leurs attaques informatiques avec des Américains, voire avec l'équipe du président républicain. Selon la démocrate, qui a exclu de se représenter, le meilleur exemple de cette coordination a eu lieu un mois avant l'élection, quand des messages piratés de la boîte Gmail du président de son équipe de campagne John Podesta ont été diffusés par WikiLeaks dans l'heure ayant suivi la divulgation dans la presse d'une vidéo de Donald Trump tenant des propos obscènes. "Ils étaient forcément prêts, ils avaient un plan. Ils ont dû recevoir un feu vert, +OK cela pourrait être la fin de la campagne Trump, diffusez-les maintenant+", a-t-elle dit, en s'en remettant à l'enquête des autorités américaines pour faire toute la lumière sur les supposées ingérences russes. Le prési

L'agence spatiale américaine Nasa, vient de présenter une mission prévue, pour l'été prochain en direction de l'atmosphère solaire. Une grande première. Se rapprocher de Jupiter, plonger dans les anneaux de Saturne, atterrir sur Mars, cela semble presque banal aujourd'hui. Mais le Soleil, lui, on l'observe de loin. Les satellites tentant de comprendre en détail les mystères de son fonctionnement se tiennent à une distance prudente. Jusqu'à l'année prochaine. La Nasavient en effet de révéler les derniers détails d'une mission qui s'envolera l'été prochain, et qui va plonger dans l'atmosphère solaire. La Parker Solar Probe, c'est son nom, va se rapprocher du Soleil sept fois plus près qu'aucun engin humain avant elle. La petite sonde, elle est haute de seulement 3 mètres, doit effectuer en tout 24 fois le tour de l'astre diurne en s'en rapprochant de plus en plus, jusqu'à arriver à une distance de seulement 6,2 millions de kilomètres, selon la même source Proche dela Nasa, en plein dans la couronne solaire :

Une mission prévue depuis 60 ans en annonçant le lancement prochain de la sonde l'administrateur associé du directorat des missions scientifiques de la Nasa Thomas Zurbuchen, avait une petite surprise en réserve. Initialement nommée "Solar Probe Plus" Nasa : la sonde qui va frôler le Soleil. Son lancement est prévu entre le 31 juillet et le 19 août 2018 par une fusée Delta IV Heavy, la plus puissante disponible avant que n'arrivent la SLS des missions martiennes et la Falcon Heavy de SpaceX. Mais cela ne suffira pas : pour maîtriser ses orbites descendantes, elle aura besoin de l'aide de Vénus, qui lui fournira une assistance gravitationnelle à sept reprises. La manœuvre consiste à utiliser la gravitation de la planète pour ajuster l'orbite de la sonde. Avec l'aide de Vénus Pour réussir un tel exploit, elle devra être protégée des radiations et de la chaleur, qui ira jusqu'à 1.377 degrés à l'extérieur. Cela nécessite un bouclier composite en fibr