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Affichage des articles du décembre 2, 2015

DRC NATIONAL DIALOGUE: When the agenda of this forum, it held that the question of the overall electoral calendar which is currently must molt to become consensual, because such is the request by many.The delegations of political parties and civil society continue to march to the President of the Republic, Joseph Kabila, for consultations on the national dialogue.After the wave from Monday to Wednesday, the Head of State continued discussions until Friday, June 5 at the Palais de la Nation with a break at the weekend.Overall, all delegations expressed their agreement on holding this dialogue.What can be done to bridge this difficulty?To this question, the Speaker of the Upper House of Parliament said he reserved the premiere of the solution to the Head of State, he added, is best placed to do.All delegations received Palais de la Nation agree to dialogue, elections and the electoral calendar as a main item on the agenda, a Congolese moderation and inclusiveness of this dialogue must involve all sociopolitical trends .Monday, June 8, 2015, the Palace of the Nation took over the animation with a new wave of delegations.In this new round, the President of the Republic received, in turn, the delegations of Republican Opposition, Civil Society and the Coalition of Women conducted respectively by Leon Kengo Wa Dondo, Cathy Kalanga and Minembwe Elysée.Like those of last week, these delegations expressed support for the idea of ​​a prior dialogue with peaceful elections.Leon Kengo Wa Dondo said that to grant the necessity of this appeasement, it will meet certain requirements.He referred to the budget issue, recalling that the resources allocated in Budget 2015 for the local elections, provincial, senatorial and governors are insufficient.Steve Mbikayi, President of the Labour Party and New political and social class began by saying that he went to the State in its capacity as Head opponent and nothing else We did not come here to give allegiance to the Head of State, he began last Friday, calling, following, irresponsible politicians who prefer to answer the summons of foreign embassies and refuse to answer the call of a Congolese, which is the Head of State, speaking Congolese affairs.Responding to those who oppose this dialogue he launched: I do not see how a politician can be against dialogue.Even if you take a Kalashnikov, in the end you'll end up a dialogue.He subsequently expressed the readiness of his party and its political platform to go to dialogue provided it is different from the national consultations.Steve Mbikayi has, in practice, proposed the establishment of a preparatory commission composed of members of the opposition and the presidential majority to debate all the hard questions.This dialogue, he stressed, must be inclusive, that is to say everyone involved.Last to be received last Friday, President of Future Forces cartel, Arthur Zahidi Ngoma, also adheres to the idea of ​​dialogue.We are here to tell you that we must make this dialogue before the elections, he said at the end of his meeting with the Head of State, adding that we must do something so that there is not something that is a reason for conflict.The boss of the Labor Party said he was, moreover, opposed to foreign interference in Congolese affairs, including election financing which, according to him, a symbol of national sovereignty.To avoid this interference, which often ends up, he said, by foreign orders on national life, he proposed the creation of a solidarity fund to make up the budget of the Independent National Electoral Commission (CENI) and avoid assistance from abroad.On this point still, ADR rejected the position of this segment of the opposition and civil society that evokes international mediation, supporting this position for the agreements of Addis Ababa and the resolutions of the Security Council.These documents, he explained to the facilitation evokes a dialogue, not a moderating dialogue.In terms of who should control the dialogue, Gérard Tumba recalled that the Security Council has hired Martin Kobler, head of MONUSCO, to make his good offices at the service of all parties that the way for elections to be marked .ADR insists, however, that it is not up to him to organize.This is a sovereign activity, noting that it is for the Congolese to organize their dialogue and to give warning the international community.

UDPS roadmap for ending the crisis, the document is signed by the National President of the party, Tshisekedi wa Mulumba Etienne.It contains three main parts, namely: general context, causes of the persistence of the crisis in the DRC, and quick and satisfactory resolution of the crisis by organizing political dialogue.In point 1, the UDPS political journey reminds the country, with some historical elements that have marked the history to get to the current crisis.From the beginning of armed conflict in 1996 to the present, through the Inter-Congolese Dialogue, which led to the establishment of the regime of 1 + 4, the elections of 2006 and 2011 ... nothing remained in oblivion.The second point, the UDPS is a bitter fact: the 2006 election conflict was resolved by force of arms, as the demonstrations of November 26, 2011 marking the end of the presidential campaign were repressed in violence that caused loss of life.The events of January 19 to 23 2015 have sealed this black page of pol

RDC DIALOGUE NATIONALE : Quand à l’ordre du jour de ce forum, il a estimé que la question du calendrier électoral qui est global pour le moment doit muer pour devenir consensuel, parce que telle est la demande formulée par un grand nombre. Les délégations des partis politiques et de la société civile continuent à défiler auprès du Président de la République, Joseph Kabila Kabange, pour les consultations en vue du dialogue national. Après la vague de lundi à mercredi dernier, le Chef de l’Etat a poursuivi ses entretiens jusqu’à vendredi 05 juin au Palais de la Nation avec un break le week end. Globalement, toutes les délégations ont exprimé leur accord quant à la tenue de ce dialogue. Que faire alors pour aplanir cette difficulté ? A cette question, le Speaker de la Chambre Haute du Parlement a dit avoir réservé la primeur de la solution au Chef de l’Etat qui, a-t-il ajouté, est mieux placé pour la. Toutes les délégations reçues au Palais de la Nation sont d’accord pour le dialogue, les élections et le calendrier électoral comme principal point à l’ordre du jour, une modération congolaise et le caractère inclusif de ce dialogue qui doit impliquer toutes les tendances sociopolitiques. Lundi 08 juin 2015, le Palais de la Nation a repris de l’animation avec une nouvelle vague de délégations. Pour ce nouveau round, le Président de la République a reçu, tour à tour, les délégations de l’Opposition Républicaine, de la Société civile et du Regroupement des femmes conduites respectivement par Léon Kengo Wa Dondo, Cathy Kalanga et Elysée Minembwe. Comme celles de la semaine dernière, toutes ces délégations ont exprimé leur adhésion à l’idée d’un dialogue préalable aux élections apaisées. Léon Kengo Wa Dondo a fait savoir que pour faire droit à la nécessité de cet apaisement, il faudra répondre à certaines exigences. Il a évoqué la question budgétaire, rappelant que les ressources allouées dans le budget 2015 pour les élections locales, provinciales, sénatoriales et des gouverneurs sont insuffisantes. Steve Mbikayi, Président du parti travailliste et de la Nouvelle classe politique et sociale a commencé par préciser qu’il s’est rendu auprès du Chef de l’Etat en sa qualité d’opposant et rien d’autre On n’est pas venu ici pour faire allégeance au Chef de l’Etat, a-t-il commencé vendredi dernier, qualifiant, dans la foulée, d’irresponsables les politiciens qui préfèrent répondre aux convocations des chancelleries étrangères et refuser de répondre à l’appel d’un Congolais, qu’est le Chef de l’Etat, pour parler des affaires congolaises. Répondant à ceux qui s’opposent à ce dialogue, il a lancé : Je ne vois pas comment un homme politique peut être contre le dialogue. Même si vous prenez une kalachnikov, à la fin vous allez finir par un dialogue. Il a, par la suite, exprimé la disponibilité de son parti et de sa plate-forme politique à se rendre au dialogue à condition qu’il soit différent des concertations nationales. Steve Mbikayi a, sur le plan pratique, proposé la mise en place d’une commission préparatoire composée des membres de l’opposition et de la majorité présidentielle pour débattre de toutes les questions qui fâchent. Ce dialogue, a-t-il souligné, devra être inclusif, c’est-à-dire impliquer tout le monde. Dernier à être reçu vendredi dernier, Le Président du cartel Forces du futur, Arthur Zahidi Ngoma, a aussi adhéré à l’idée du dialogue. Nous sommes-là pour vous dire que nous devons faire ce dialogue avant les élections, a-t-il déclaré au sortir de son entretien avec le Chef de l’Etat, précisant que nous devons faire quelque chose pour qu’il n’y ait pas une chose qui soit un motif de conflit. Le patron du parti travailliste s’est dit, par ailleurs, opposé à l’ingérence des étrangers dans les affaires congolaises, notamment par le financement des élections qui sont, d’après lui, un symbole de souveraineté nationale. Pour éviter cette ingérence qui finit souvent, selon lui, par des injonctions étrangères sur la vie nationale, il a proposé la création d’une caisse de solidarité pour constituer le budget de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et ainsi éviter l’assistance de l’étranger. Sur ce point toujours, l’ADR a rejeté la position de cette frange de l’opposition et de la société civile qui évoque une médiation internationale, étayant cette position pour les accords d’Addis Abeba et les résolutions du Conseil de Sécurité. Ces documents, a-t-il expliqué évoque une facilitation vers le dialogue et non une modération de ce dialogue. Pour ce qui est de savoir qui doit piloter le dialogue, Gérard Tumba a rappelé que le Conseil de Sécurité a engagé Martin Kobler, patron de la Monusco, à mettre ses bons offices au service de toutes les parties afin que la voie aux élections soit balisée. L’ADR insiste, cependant, que ce n’est pas à lui de les organiser. C’est une activité souveraine, précisant que c’est aux Congolais d’organiser leur dialogue et de prendre à témoin la communauté internationale.

Feuille de route de l’UDPS pour la sortie de crise, le document porte la signature du président national du parti, Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Il contient trois parties essentielles, à savoir : contexte général, causes de la persistance de la crise en RDC, et règlement rapide et satisfaisant de la crise par l’organisation du dialogue politique. Au point 1, l’Udps rappelle le parcours politique du pays, avec quelques éléments historiques ayant marqué l’histoire pour arriver à la crise actuelle. Du début des conflits armés en 1996 à nos jours, en passant par le Dialogue intercongolais, qui avait débouché sur la mise en place du régime de 1+4, les élections de 2006 et 2011…rien n’est resté dans l’oubli. Au deuxième point, l’Udps fait un constat amer : le conflit électoral de 2006 s’est réglé par la voie des armes, tout comme les manifestations du 26 novembre 2011 marquant la clôture de la campagne électorale de la présidentielle ont été réprimées dans la violence ayant entraîné mort d’

Moïse Katumbi and Joseph Kabila LOOK TOWARDS POLITICAL TENSIONS IN EXPECTED BEFORE ELECTIONS 2016: He returned to his province December 23, 2014 after three months spent abroad to treat the sequelae of attempted poisoning, Governor Katanga had made a speech in which he seemed to oppose a third term of Joseph Kabila, calling it "false third penalty. The fact that he was received by President Joseph Kabila shortly before leaving the country n ' no little helped fuel this confusion, many sites and newspapers speculating on the fact that the interview might have gone wrong - Katumbi is, we know, reservations about the proposed constitutional amendment for the 2016 election . In fact, the popular governor and businessman 50 years went treatment in a London clinic the aftermath of an attempted arsenic poisoning dating back to 2011 - which the author or authors remain unknown. But many policy analysis think it is a strategy.Regarding yesterday's incident Tuesday, December 1, 2015 at tpmazembe near the stadium located in the town of Kamalondo Mr. Katumbi, issued a message knew his twitter saying that count."My exchange with fans @ TPMazembeempêché by police.Impaired too freedoms in our country #RDC pic.twitter.com/rMuMf8UAKd.Also available on the club websiteàl'adresse, http://www.tpmazembe.com /fr/actualite /8012/lacrymogenes- menaces-et-chasse-al-homme- a-kamalondo.These are now being resorbed, the owner of the famous TP Mazembe, the Congolese leading club football, can therefore considering return.decided against a "third penalty false" hear a possible third term of Joseph Kabila, the Congolese president organizes on Monday a large political meeting in the same province.Objective: To mobilize support of the president.Fifty national deputies and senators, from Katanga, boarded, January 4 in a plane at Kinshasa airport.Location: Lubumbashi where staying for a few days Joseph Kabila.To believe a source close to the presidency, a meeting is planned between them and the elected Congolese president of the province.On Tuesday, September 29, 2015 on his Twitter account former Governor of Katanga annoce PPRD his resignation, the presidential party and the governorate of Katanga.Dear friends, I served my resignation date PPRD and govt #Katanga;my statement below #nouveaudepart pic.twitter.com/g4urPl4mSb - Moise Katumbi (moise_katumbi) September 29, 2015. In the statement accompanying his tweet, Moses Katumbi explains the reasons for his departure from the PPRD.As we, the Congolese people are entering the final straight of the last constitutional mandate of President of the Republic, the facts indicate that for a year now, everything is done to not respect the constitution by maintaining late, vague and illegibility of the electoral cycle and developing a strategy shift dates of elections, says Moses Katumbi.He added firmly be opposed at any pretext to delay the elections as a lack of financial means.Moses Katumbi also deplores the arbitrary arrest and intimidation of all kinds.Lately, too many examples should alert us: arbitrary arrests of pro-democracy activists, film output restrictions, intimidation of all kinds, police repression increasingly violent, cuts Internet connections, he enumerates.Allusion to the arrest of the pro-démocratiede Filimbi activists, prohibition of the film by Thierry Michelsur Dr. Mukwege or the cutoff of internetā following demonstrations against the amendment of the electoral law in January.In his statement, Mr. Katumbi appeals to all the Congolese forces, so that together we end discouragement, resignation and fatalism safeguarding our young democracy.The resignation of Moses Katumbi the People's Party for Reconstruction and Democracy (PPRD) occurs some days after the exclusion of seven parties (G7) of the Presidential Majority who called Joseph Kabila to respect the constitution for the 2016 elections. On Twitter, one of the G7 leaders commented on the resignation of Moses Katumbi.Moise Katumbi responsible decision that brings critical support to those who want to develop a horizon of hope to the people!- Olivier Kamitatu (OlivierKamitatu) September 29, 2015. For his part, Lambert Mende is not surprised by the resignation of Moses Katumbi.The Minister of Communication and Media and government spokesman Lambert Mende said on Thursday 1 October that the resignation of Moise Katumbi PPRD, the ruling party, and its governor of Katanga did not surprise him.

Moses Katumbi in the ignorence did not say why Kyungu decided to launch his party in the G7 without consulting its members.He also did not say why and how it intervenes in the internal affairs of a political party and its relations with the public authority, who became a citizen like any other since he resigned as Governor of functions provincial.Political traitor long, Olivier Kamitatu poured into lies both on the situation that he, himself, brought in his own party following his personal initiative to board the G7 as the objectives of dialogue it claims aim at sustaining Kabila to power without providing any proof.At the finish, Kamitatu betrays its strategy to become detached, thanks to the elections, the majority of the balance sheet in hopes of attracting the sympathy of voters expect to be elected at the next election with the support of Western imperialists looking for a new position in Africa through service negroes as Kamitatu and his cronies in the G7.In this false equation w

MOISE KATUMBI ET JOSEPH KABILA VERS UN REGARD DES TENSIONS POLITIQUE AVANT LES ELECTIONS PREVU EN 2016 : Rentré dans sa province le 23 décembre, 2014 après trois mois passés à l’étranger pour soigner les séquelles d’une tentative d’empoisonnement, le gouverneur du Katanga avait prononcé un discours où il semblait s’opposer à un troisième mandat de Joseph Kabila, le qualifiant de "troisième faux penalty. Le fait qu’il ait été reçu par le président Joseph Kabila peu de temps avant de quitter le pays n’a pas peu contribué à alimenter cette confusion, plusieurs sites et journaux spéculant sur le fait que l’entretien pourrait s’être mal passé – Katumbi est, on le sait, réservé quant au projet de révision constitutionnelle en vue de l’élection de 2016. En réalité, le très populaire gouverneur et homme d’affaires de 50 ans est allé soigner dans une clinique de Londres les séquelles d’une tentative d’empoisonnement à l’arsenic remontant à 2011 – et dont le ou les auteurs demeurent inconnus. Mais beaucoup d'analyses politique pensent que c'est une stratégie. En ce qui concerne l'incident d'hier mardi 01 décembre 2015 au près du stade tpmazembe situé dans la commune de Kamalondo M. Katumbi, a publié un message su son comte twitter en disant que. « Mon échange avec les fans @TPMazembeempêché par la police. Une atteinte de trop aux libertés dans notre pays #RDC pic.twitter.com/rMuMf8UAKd. Disponible aussi sur le site du club àl'adresse,http://www.tpmazembe.com/fr/actualite/8012/lacrymogenes-menaces-et-chasse-a-l-homme-a-kamalondo. Celles-ci étant désormais résorbées, le propriétaire du célèbre TP Mazembe, club phare du foot congolais, peut donc envisager son retour. prononcé contre un "troisième faux penalty", entendez un éventuel troisième mandat de Joseph Kabila, le président congolais organise ce lundi une grande réunion politique dans la même province. Objectif : mobiliser les soutiens du président. Une cinquantaine de députés nationaux et sénateurs, originaires du Katanga, ont embarqué, le 4 janvier, dans un avion à l’aéroport de Kinshasa. Destination : la ville de Lubumbashi où séjourne depuis quelques jours Joseph Kabila. À en croire une source proche de la présidence, une rencontre y est prévue entre le président congolais et les élus de la province. Le mardi 29 septembre 2015 sur son compte Twitter ancien Gouverneur du Katanga a annocé sa démission du PPRD, le parti présidentiel, et du gouvernorat du Katanga. Chers amis, j'ai signifié ce jour ma démission du PPRD et du gouv #Katanga; ma déclaration ci-dessous #nouveaudepart pic.twitter.com/g4urPl4mSb — Moise Katumbi (@moise_katumbi) 29 Septembre 2015. Dans la déclaration qui accompagne son tweet, Moïse Katumbi explique les raisons de son départ du PPRD. Au moment où nous, peuple congolais, entrons dans la dernière ligne droite du dernier mandat constitutionnel du président de la République, les faits indiquent que depuis maintenant un an, tout est mis en œuvre pour ne pas respecter la constitution en entretenant retard, flou et illisibilité du cycle électoral et en élaborant une stratégie de glissement des dates des scrutins, affirme Moïse Katumbi. Il ajoute être opposé fermement à tout prétexte pour retarder les élections tel que le manque de moyens financiers. Moïse Katumbi déplore également les arrestations arbitraires et les intimidations de toutes sortes. Ces derniers temps, trop d’exemples doivent nous alerter : arrestations arbitraires de militants pro-démocratie, interdictions de sortie de films, intimidations de toutes sortes, répressions policières de plus en plus violentes, coupures des connexions Internet, énumère-t-il. Allusion faite à l’arrestation des militants pro-démocratiede Filimbi, à l’interdiction du film de Thierry Michelsur le docteur Mukwege ou encore à la coupure d’Internetà la suite des manifestations contre la modification de la loi électorale en janvier dernier. Dans sa déclaration, M. Katumbi lance un appel à toutes les forces vives congolaises, pour qu'ensemble nous mettions un terme au découragement, à la résignation et au fatalisme en sauvegardant notre jeune démocratie. La démission de Moïse Katumbi du Parti du peuple pour la reconstruction et le démocratie (PPRD) survient quelque jours après l’exclusion de sept partis (G7) de la Majorité présidentielle qui ont appelé Joseph Kabila à respecter la constitution pour les élections de 2016. Sur Twitter, l’un des leaders du G7 a commenté la démission de Moïse Katumbi. Décision responsable de Moise Katumbi qui apporte un appui déterminant à tous ceux qui veulent dresser un horizon d'espoir au peuple ! — Olivier Kamitatu (@OlivierKamitatu) 29 Septembre 2015. Pour sa part, Lambert Mende n’est pas surpris par la démission de Moïse Katumbi. Le ministre de la Communication et Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a déclaré jeudi 1er octobre que la démission de Moise Katumbi du PPRD, le parti présidentiel, et de son poste de gouverneur du Katanga ne le surprenait pas.

Moïse Katumbi dans l' ignorence n’a pas non plus dit pourquoi Kyungu a décidé d’engager son parti dans le G7 sans consulter ses membres. Il n’a pas dit aussi pourquoi et comment il intervient dans les affaires internes d’un parti politique et ses rapports avec l’autorité publique, lui qui est devenu un citoyen comme tout autre depuis qu’il a démissionné de ses fonctions de Gouverneur de province. Traitre politique de longue date, Olivier Kamitatu verse dans des mensonges aussi bien sur la situation qu’il a, lui-même, provoquée au sein de son propre parti suite à son initiative personnelle d’embarquer à bord du G7 que sur les objectifs du dialogue qu’il prétend viser à faire pérenniser Kabila au pouvoir sans en donner la moindre démonstration. Au finish, Kamitatu trahit sa stratégie visant à se désolidariser, à la faveur des élections, du bilan de la Majorité dans l’espoir de s’attirer la sympathie des électeurs pour espérer se faire élire aux prochaines élections avec le soutien de