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Affichage des articles du février 8, 2017

Le ministre réagissait ainsi aux déclarations de l’UDPS ce mercredi 8 février 2017, qui conditionnent le rapatriement de la dépouille de Tshisekedi par la mise en place du gouvernement issu de l’accord du 31 décembre. Sur instruction du président de la République (Joseph Kabila), le gouvernement Badibanga a annoncé mardi 7 février 2017 les dispositions prises pour les obsèques d’Etienne Tshisekedi. Dans ces dispositions, le gouvernement annonçait l’octroi des titres de voyages aux membres de famille et à l’UDPS pour se rendre à Bruxelles, l’affrètement d’un avion pour rapatrier le corps de Tshisekedi, aussi le choix du palais du peuple pour l’exposition du corps :

Depuis le décès d’Etienne Tshisekedi le 1er février 2017, la base de l’UDPS, s’est montrée hostile à l’organisation des obsèques de l’illustre disparu par le gouvernement issu de l’accord du 18 octobre. Le gouvernement Badibanga affirme être en contact avec la famille biologique de Tshisekedi pour l’organisation des obsèques de l’illustre disparu. « Je ne vois pas pourquoi on doit réagir aux émotions de Mr Kabund. Nous discutons avec la famille qui a amené dans ses bagages un membre de l’UDPS. Ils ont des problèmes chez eux, mais nous nous’en tenons à notre communiqué du mardi », a réagi à ACTUALITE.CD le ministre Lambert Mende le porte-parole du gouvernement. Président du mouvement de solidarité pour le changement (MSC), Laurent Batumona suggère la convocation d’une réunion restreinte du conseil des sages du Rassemblement afin de statuer sur la question. « C’est pour continuer, avec beauté, le combat politique que ‘’Ya Tshitshi ‘’ a incarné. Nous devons poursuivre cette lutte du pré

Le chef de la mission de l’ONU en RDC (MONUSCO) Mamane Sidikou a confirmé ce mercredi 8 février 2017 devant les journalistes, la présence des combattants de l’ex rébellion M23 dans la province du Nord-kivu. « C’est une évidence. Lorsqu’on a fait le vol de reconnaissance nous en avons pas vu. Et les gens ont été pris, puis le Rwanda et l’Ouganda ont reconnu les mouvements de ces éléments M23 en centaine; et récemment moi et Saïd Djinnit nous avons rencontré le président Museveni pour parler de la question, donc il n’est pas un secret qu’ils sont là », a déclaré Mamane Sidikou au sortir d’un tête-à-tête avec le vice-premier ministre en charge des affaires étrangères :

Cantonnés depuis 2013 en Ouganda après la chute de la rébellion au Nord-Kivu en RDC, ces combattants ont récemment été accusés par l’armée d’avoir tué trois militaires et pris en otage un autre après le crash de deux hélicoptères des FARDC dans le territoire de Rutshuru. L’Ouganda a récemment annoncé de sa part la fuite du général Sultani Makenga vers une destination inconnue depuis son lieu de cantonnement en Ouganda. Ce dernier a promis l’appui militaire de la Monusco aux FARDC, pour neutraliser cette menace. « En tant que chef de la monusco je dis ceci, en 2012-2013 ils sont venus, ils ont été combattus par les FARDC appuyées par la Monusco. Et ça sera la même chose qu’aujourd’hui, ils ont choisi les armes et les armes leur répondront », a-t-il ajouté. La même autorité Onusienne a par la suite invité ces combattants à privilégier la voie pacifique qui est celle des négociations. Mi-janvier la Monusco retenait ses mots sur l’alerte du gouvernement congolais faisant état d’incursi

En 2017, le réseau social compte devenir un lieu plus sécurisé et dévoile ses armes contre le harcèlement. En tout, trois outils vont permettre d’une manière la plus efficiente possible « de donner aux personnes plus de contrôle sur ce qu’ils voient sur Twitter. » La première fonctionnalité a pour but de mettre fin à la création dite abusive de nouveaux comptes par des internautes déjà bannis définitivement du réseau social et qui sont difficilement repérables puisqu’ils changent la plupart du temps d’adresse mail, de numéro de téléphone ou d’adresse IP pour arriver à leurs fin. Twitter lance de nouveaux outils anti-harcèlement et anti-trolls L’objectif, abattre les discours de haine et les agressions visant ses utilisateurs :

Discours haineux : Twitter reconnaît sa « lenteur », mais promet de « ne jamais déposer les armes » Le réseau social a vu propagande terroriste et mouvements haineux proliférer. Il vient de mettre en place de nouveaux outils pour lutter contre ces discours et a récemment banni des utilisateurs abusifs très influents. « Notre objectif est de nous assurerque Twitter reste une plateforme ouverte où chacun peut s’exprimer librement, souligne Sinead McSweeney.La ligne que nous traçons, c’est que la liberté d’expression ne doit pas permettrede viserquelqu’un pour son appartenance à une race, religion, orientation sexuelle, sexe, etc. » Deux ans après le forum 4chan, qui s’est tardivement converti à la modération de ses contenus après la polémique du GamerGate(des journalistes et développeuses de jeux vidéovictimes de harcèlement en ligne), Twitter entend donc mettre en application de manière plus systématique ses conditions d’utilisation, qui interdisent les agressions verbales basées sur

Qui est àlà base des conflits entre les Nandes et Hutu surtout dans la province du Nord-Kivu ? À ce sujet, le président de la communauté Yira en province du Nord-Kivu a recommandé le respect mutuel qui est inévitable afin de permettre le rétablissement de la paix et le développement en Province. La communauté Hutu congolaise préoccupée par la paix, l’unité et développement du Nord Kivu :

La fois passe, un groupe de présumes Maï-Maï Mazembe proche de la communauté Nande ont, incendiés plusieurs maisons appartenant à des membres de la communauté Hutu, au Nord-Kivu. Les jeunes Hutu auraient ripostés, en incendiant, deux maisons appartenant à des Nande dans le village de Bwambali. Pendant un certain weekend, des Maï-Maï Mazembe ont attaqués, le village de Kyoto alors que, des jeunes Hutu ont fait une incursion à Luhanga. Alors des sources de la société civile ce jour la, ont donnés, un bilan de 6 morts et, plusieurs maisons incendiées au cours de ces deux attaques. Avec, un déplacement des populations de Luhanga et Kyoto vers la localité voisine de Luofu. Par ailleurs, l’ONG CEPADHO a appellé, l’armée à neutraliser toutes les forces négatives dans la zone. Interrogé, le porte-parole des opérations Solola1 a précisé que, les forces armées sont au courant de cette situation, sans donner plus des détails. Chaque fois les Hutu accusent les Nandes, pour avoir commandité à

La mort d’ Etienne Tshisekedi, opposant historique en République démocratique du Congo, rebat les cartes du jeu politique national et augure mal d’une mise en œuvre rapide de l’accord signé péniblement le 31 décembre 2016en vue de l’organisation d’une présidentielle avant la fin de l’année. Entré en dissidence en 1980, M. Tshisekedi a incarné à lui seul l’opposition congolaise pendant plus de trente années de lutte, d’abord contre la dictature de Mobutu (1965-1997), puis contre ses successeurs à la tête du pays, Laurent-Désiré Kabila (1997-2001) et son fils, Joseph Kabila. Thierry Vircoulon, chercheur à l’Institut français des relations internationales (IFRI), spécialiste de l’Afrique centrale, a répondu à vos questions lors d’un Facebook Live :

Rival de Mobutu Sese Seko à l’époque du Zaïre puis de Joseph Kabila, Etienne Tshisekedi a passé sa vie à attendre le pouvoir, rêvant de diriger le plus grand pays d’Afrique francophone. Il est décédé le 1er février 2016 en Belgique, des suites d’une embolie pulmonaire à l’âge de 84 ans. Retour sur son parcours politique en six dates. RDC : quel héritage l’opposant Etienne Tshisekedi laisse-t-il ? En quatre décennies, le Sphinx de Limete s’est imposé contre vents et marées comme la figure emblématique de l’opposition congolaise. Retour en vidéos sur les temps forts d’un parcours politique tumultueux. Si certains considéraient le retour en RD Congo d’ Étienne Tshisekedi, le 27 juillet 2016, comme un tournant historique à même de pousser le président Kabila au départ, d’autres jugeaient que l’état de santé de l’opposant, qui s’était beaucoup détérioré, ne lui permettrait pas de mener à bien son combat. Ces derniers ont finalement eu raison. Décédé mercredi 1er février à Bruxelles d’un

Les sources militaires à Butembo confirment l'arrestation de David Maranata. Elles précisent que, ce chef Mai Mai du mouvement corps du christ a été, arrêté, par les services de sécurité, dans la nuit du mardi, à ce mercredi 08 février 2017, vers 20heurs locale, dans la commune de Kimemi ou il était en compagnie de ses trois acolytes. Texte écrit par Martial Papy Mukeba dans un groupe Watsapp. Photo de tierce, avec la photo de Daniel Maranata, chef du groupe maï-maï Corps du Christ, arrêté à Butembo à 20h de ce mardi 7/02/2019. Les personnes arrêtées sont MARANATHA, CLAUDE, HASSAN et MUGHENI NB : La photo a été capturée par Habari Motomoto. selon un membre dela société urbaine de Butembo, qui vient de nous précisé, aussi, en disant que, le Chef du mouvement Maï Maï Corps du christ Maranata David est arrêté par les Fardc à Butembo :

Mais dernièrement, les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont lancé un assaut, depuis le jeudi 20 octobre 2016, contre un nouveau groupe des miliciens Mai-Mai récemment installés à Kabasha dans les encablures de la ferme du Président de la RDC, une localité située sur la route Butembo-Beni dans le groupement Vuliki, collectivité secteur de Ruwenzori dans le territoire de Beni, d'où les FARDC ont réussi, à délogés, les Mai-Mai qui avaient déjà érigé, dans cette concession des tentes sous prétexte qu’ils allaient à la recherche des présumés égorgeurs ADF. Il faisait 17 heures locales que les armes lourdes et légères ont chanté l’hymne de la mort. Le bilan provisoire a fait état de 10 combattants neutralisés, et un soldat blessé, ce jours là. Notons ici bas que, ces miliciens mai-mai font partie d’un groupe qui appartient à la secte dénommée « CORPS DU CHRIST » qui avait été à la base des troubles qui ont secoué la ville de Butembo le lundi 15 Octobre 2016 q

Les sujets politiques alimentent les conversations des uns et des autres réunis en groupe. D’autres encore passent des coups de fil : « Nous sommes à l’extérieur, il faut envoyer quelqu’un nous prendre, on est quand même de la famille », réclame une femme, de teint clair, la quarantaine révolue au téléphone. Visiblement, la personne au bout du fil lui suggère d’attendre comme prévu dans le programme. La particularité de l’organisation c’est qu’elle respecte l’heure. 16h00’ – Ouverture de la barrière. Sans bruits, rien que l’impatience d’accéder dans cette salle où se trouve la dépouille mortelle du président de l’UDPS. Plusieurs heures avant le rendez-vous donné aux Congolais, le cercueil de « Ya tshitshi » était déjà installé dans la salle. La famille aura eu le temps de se recueillir en toute intimité :

Dans cette immense salle d’au moins 5 000 places assises, très éclairée, les places sont déjà presque toutes occupées, les longues allées sont déjà bondées. La tristesse se pare d’un manteau de silence sur les visages de nombreux. Les regards tournés de gauche vers la droite, curieux de voir lequel des officiels est déjà dans la salle. Quelques minutes après , les militants de l’UDPS vont se mettre à scander des chants de victoire et de louange à leur président dont on retrouve les photos sur les murs dans les quatre coins de la salle. Tout est fait pour qu’il n’ait aucun clivage entre officiels et les membres de la famille. Les Tshisekedi auront suffisamment démontré le côté très soudé qu’on reconnaît aux Kasaïens car ils réussissent à placer les membres des familles restreinte et élargie ensemble, tous derrière les fils de maman Marthe. Plus tard, le sphinx de limeté sera présenté comme le père de plusieurs enfants. Pas de nombre exact. Pas de polémique. Parmi les fils Tshis

La Toile est envahie... par les robots ! Cette année encore, les agents logiciels ont davantage surfé que nous. La plupart des utilisateurs du Web... ne sont pas humains ! Mais parmi ces millions de bots, il y a les bons et les mauvais... Vous pensiez que nous autres êtres humains étions les seuls utilisateurs du Web? Loin de là. A l'occasion de son étude annuelle, Imperva Incapsula, fournisseur de services de diffusion de contenus et sécurité, a montré que plus de la moitié du trafic sur le Web n’est pas d’origine humaine mais le fait de robots :

Si en 2016, ces bots légitimes étaient en hausse de plus de quatre points par rapport à l’année précédente, ils ont été dépassés, comme en 2015 et 2014, par les plus malveillants. Durant ces cinq dernières années, un visiteur de site Web sur trois a donc été un bot dangereux. Les bots malveillants toujours très actifs Parmi cette deuxième catégorie de bots, les plus actifs (24,3%) ont été les bots « imitateurs » qui présente une fausse identité pour contourner les solutions de sécurité, comme Mirai, ce botnet qui a infecté des centaines de milliers d’objets connectés mal protégés. Ils sont fréquemment utilisés pour les attaques DDoS. Arrivent ensuite des programmes à la recherche de failles de sécurité sur les sites Web (2,6%) pour y installer un script malveillant, récupérer des données… Parmi ces derniers, il y a eu Methbot, découvert par la firme de sécurité White Ops. D’après ce que cette dernière a pu constater, ce bot a permis à des hackers russes de gagner plus de trois milli

Dieu créa l’homme et la femme en les dotant d’organes en vue des fonctions qu’ils auraient à remplir. Homme et femme ont donc été rendus aptes à reproduire la vie. En opposition aux plantes et aux animaux, les descendants d’Adam reçoivent une âme immortelle. Cette réalité confère à la question de la reproduction des êtres humains une gravité et une responsabilité bien particulières. Dès avant la chute, Dieu mit dans l’homme le désir sexuel, de sorte que chaque homme et chaque femme sont normalement attirés vers l’autre sexe. Ce désir peut être plus fort chez l’un que chez l’autre :

Si le cœur et les pensées ne sont occupés que de ces choses, nous courons le danger de glisser dans des tentations charnelles. « Chacun est tenté, étant attiré et amorcé par sa propre convoitise ; puis la convoitise, ayant conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort » (Jacques 1:14-15). Dans ce passage, c’est la convoitise qui conduit au péché. Notre nature corrompue, appelée « péché » est toujours à l’origine de la convoitise (Romains 7:8), et celle-ci est suivie par l’accomplissement du péché. Cette convoitise est appelée en 1 Jean 2:16 : « la convoitise de la chair », c’est à dire les désirs effrénés de la nature adamique déchue. Aussi le Seigneur dit : « Ce qui sort de l’homme, c’est là ce qui souille l’homme ; car du dedans, du cœur des hommes, sortent les mauvaises pensées, les adultères, les fornications… » et d’autres péchés (Marc 7:20-23). Bien des choses agissent sur nos cœurs, pensées et sentiments, et produisent la convoitise (Ézéchiel 23:14-46

L’administrateur du territoire de BENI a été entendu ce mardi 7 février 2017 comme témoin dans le procès des ADF. Il a confirmé des pressions politiques et militaires subies lors de l’arrestation d’un présumé collaborateur des ADF, un certain DAVID MALIKIDOGO à OICHA et le colonel FREDDY KABALENGA qui commandait les troupes des FARDC sur la route MBAU-KAMANGO. Ce colonel des FARDC protégeait et camouflait le ravitaillement des ADF et était souvent en réunion clandestine avec un chef ADF du nom de FEZA. Interrogé par le général MAJOR TIMOTHEE MUKUTU, l’administrateur du territoire au procès public de BENI a dit n’avoir jamais reçu d’appels directs des politiciens mais confirme des pressions autour du dossier de prévenu colonel FREDDY KABALENGA :

L'administrateur du territoire de BENI se lave dans le dossier du colonel Freddy qui comparait au procès des ADF à BENI. Accusé par le ministère public de s'être réuni, à BENI avec un commandant des adf au nom de feza cet officier avait usé de ses influences pour libérer au cachot de la PNC/beni son beau frère Malikidogo David poursuivit aussi pour ravitaillement des adf. Bernard AMISI KALONDA a rejeté l'idée selon la quelle il y avait une pression des politiciens autour de l'arrestation de monsieur Malikidogo, toute fois le patron de la territoriale a reconnu, l'incompréhension des forces de l'ordre basées à OICHA qui existait autour de ce dossier. Dans un autres chapitre, les œufs et les poules de l’OUGANDA sont désormais interdits de consommation dans la ville de BUTEMBO. Cette décision du service urbain de l’agriculture, pèche et élevage vise à protéger la population contre la grippe aviaire qui s’est déjà déclarée en OUGANDA. Pour le docteur KAWA NDALA, in

Retour au pays pour les joueurs de l'équipe du Cameroun, victorieux de la CAN 2017 face à l'Egypte par 2 buts à 1. Les Lions indomptables sont arrivés à l'aéroport de Yaoundé en milieu d'après-midi ce 6 février 2017. L'équipe a reçu un accueil à la hauteur de l'événement. Il était un peu plus de 16 heures lorsque Benjamin Moukandjo, le capitaine de l’équipe du Cameroun, est sorti de l’avion brandissant le trophée pour le plus grand bonheur des milliers de fans qui ont fait le déplacement jusqu’à l’aéroport de Yaoundé. Les joueurs ont ensuite eu le plus grand mal pour sortir de l’appareil et gagner le salon d’honneur où les attendait un parterre de membres du gouvernement :

L’ambiance était électrique. Les concerts de klaxons, les vuvuzelas, des casseroles... tout était bon pour faire du bruit. Yaoundé était toute pressée pour réserver un accueil mémorable aux Lions indomptables. La veille, après la finale, la ville était déjà en fête. Le bus a avancé à un rythme de tortue, acclamé par la population qui a attendu, pour certains, depuis le début de la mi-journée. Une euphorie indescriptible, les gens pleuraient, essayaient de s’accrocher au bus, qui peinait à se frayer un chemin dans cette foule compacte. A l’avant, un camion anti-émeute de la police était là pour essayer de contenir toute cette population. #CAN2017- #LionsAreChampions Le peuple Camerounais escorte ses Héros pic.twitter.com/jaIOBuLYKS— Fecafoot-Officiel (@FecafootOfficie) 6 février 2017. Les joueurs ont littéralement été assaillis autant par la foule que par les personnes de l’aéroport qui voulaient leur arracher une photo ou un autographe. Sur le trajet, des milliers de personnes marc