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Affichage des articles du mai 12, 2016

Environ 5 petites îles de l'océan Pacifique ont disparu à cause du changement climatique

Les îles disparues, dont la taille varie de 1 à 5 hectares ne sont pas habitées par des humains. Mais les chercheurs ont aussi constaté que six autres îles avaient vu de grandes étendues de terres disparaitre dans la mer et sur deux de celles-ci même, des villages entiers ont été détruits et les gens contraints à déménager. L'une était l'île Nuatambu, qui abrite 25 familles et qui a perdu 11 maisons et la moitié de sa superficie habitable depuis 2011. L'étude australienne est la première qui « confirme scientifiquement les nombreux témoignages anecdotiques provenant du Pacifique des impacts dramatiques du changement climatique sur les côtes et les gens », ont écrit les chercheurs dans un commentaire séparé publié sur un site universitaire. Les scientifiques ont utilisé des images aériennes et satellitaires datant de 1947 de 33 îles, ainsi que des connaissances traditionnelles et une datation au radiocarbone des arbres pour leurs résultats. Les îles Salomon, une nation comp

Dilma Rousseff la présidente écartée du pouvoir au Brésil ?

Dilma Rousseff a été suspendue de ses fonctions jeudi après le feu vert donné par les sénateurs à l'ouverture d'un procès en destitution visant la présidente brésilienne, accusée d'avoir maquillé les comptes publics pour faciliter sa réélection en 2014. La chef de l'Etat sera remplacée par son vice-président Michel Temer le temps que durera le procès, d'une durée maximale de 180 jours, dont l'organisation a été approuvée par 55 sénateurs sur 81. Une majorité simple de 41 sénateurs suffisait. Au terme de ce procès en destitution, une majorité des deux tiers, soit 54 voix sur 81, sera nécessaire pour acter la mise à l'écart définitive de Dilma Rousseff. Dans cette hypothèse, Michel Temer, membre du Parti du mouvement démocratique brésilien (PMDB), assurerait la présidence jusqu'à la fin de son mandat, le 31 décembre 2018. Agé de 75 ans, centriste, spécialiste de droit constitutionnel qui a passé des décennies au Congrès, Michel Temer devrait annoncer dè

Le Directeur des Opérations de la Banque mondiale en RDC, M. Ahmadou Moustapha Ndiaye, a réuni, mardi 10 mai 2016 au siège de la Banque mondiale à Kinshasa, des professionnels des media pour faire le point sur l’engagement de cette institution financière mondiale dans le secteur des infrastructures en RDC. « Nous sommes réunis pour faire un regard rétrospectif et prospectif sur notre engagement dans le secteur des infrastructures et insister sur le rôle de ce secteur dans le développement économique et social de la RDC », a expliqué Ahmadou Moustapha Ndiaye dans son mot d’introduction.

A titre illustratif, on peut épingler 3 000 km de routes du réseau prioritaire réhabilitée, plus de 1,6 million de personnes additionnelles ayant accès à l’eau potable (projet PEMU) ; augmentation de la capacité de production à Inga I et de 700 Mw à 1300 Mw, dont 55 Mw sont déjà disponibles, et 230 Mw seront disponible en 2016, accès à l’électricité pour environ 300.000 personnes dont 60.000 sont déjà connectés, ainsi que l’éclairage public dans plusieurs quartiers de Kinshasa. M. A. Moustapha Ndiaye s’est appesanti également sur quelques chantiers d’avenir, entre autres, le projet d’aménagement des villes, en particulier la ville de Kinshasa qui est en passe de devenir la ville la plus grande d’Afrique, l’industrie agro-alimentaire, les télécommunications, l’accès à l’énergie électrique. Il a annoncé que de nouveaux projets viennent de démarrer, tel que le financement additionnel au projet PEMU d’un montant de 166 millions Usd qui permettra de fournir un accès à l’eau potable à un m

RDC : l'opposition politique rejette sans surpise, l'arrêt de la Cour constitutionnelle

La Cour a rendu son arrêt à la suite d'une requête en interprétation de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), dans l'impossibilité d'organiser les élections des gouverneurs des 21 nouvelles provinces créées par une loi promulguée en février sans chambouler son "calendrier électoral global" prévoyant la tenue d'une dizaine d'élections en l'espace de 14 mois. Aux termes de la Constitution, M. Kabila, au pouvoir depuis 2001, ne peut se représenter en 2016, mais il entretient le doute sur son avenir politique et ses intentions. L'opposition et une partie de la majorité accusent le clan présidentiel de manœuvrer pour permettre au chef de l’État de rester au pouvoir au-delà du terme de son mandat, entre autres en retardant la tenue de la présidentielle. La Cour constitutionnelle, en demandant à la Céni de réévaluer son calendrier et en forçant à la tenue de l'élection des gouverneurs des nouvelles provinces avant toute autre élec

Le président Yoweri Kaguta Museveni actuel chef del' état prête serment sans surprise, pour son cinquième mandat à la présidence del' Ouganda

"Moi, Yoweri Kaguta Museveni, je jure au nom de Dieu tout puissant, et dévant, le peuple de notre nation : Je remplirai fidèlement mes fonctions de président de l'Ouganda, que je ferai respecter, préserverai, protègerai et défendrai la Constitution, que je respecterai les lois de l'Ouganda, et que je veillerai au bien-être des Ougandais", a-t-il déclaré en lisant le serment d'allégeance derrière une vitre pare-balles. Yoweri Museveni, 71 ans et au pouvoir depuis 1986, a été réélu dès le premier tour avec plus de 60,62% des voix lors de la présidentielle du 18 février. Le scrutin s'était déroulé, selon des observateurs internationaux dans une "atmosphère d'intimidation" imposée par le régime. L'opposition avait dénoncé des fraudes, une accusation rejetée par le pouvoir. L'opposant historique ougandais Kizza Besigye, qui avait officiellement obtenu 35,61% des voix lors de la présidentielle, mais en a contesté le résultat, avait procédé me

La Cour constitutionnelle dela Rdc, vient donc de trancher. Il n’y aura pas vacances au sommet de l’Etat au-delà du 19 décembre 2016.Joseph Kabila reste à la tête du pays jusqu’à l’installation du nouveau président élu. Ainsi est l’arrêt de la Cour prononcé ce jour du 11 mai 2016 à Kinshasa, en réponse à la requête en interprétation, introduite le 19 avril 2016par les Députés nationaux de la Majorité Présidentielle. Les conclusions des sages de la sainte des saintes, viennent mettre fin au débat suscitéquant à ce, au sein de la classe politique congolaise. Finie la polémique en interprétation de l’article70 de la Loi fondamentale relative au mandat de l’actuel Président Joseph Kabila, mais aussides articles 103 et 105.

Problème politique ! Pour sa part, Placide Mabaka, professeur de droit public à l’université de Bandundu et à l’Université catholique de Lille en France, pense que l’arrêt rendu par la Cour constitutionnelle n’appelle aucune contestation : «Ce que dit le président de la Cour dans sa lecture ne me surprend pas, parce que c’est l’interprétation purement juridique. Une interprétation qui est essentiellement fondée sur la volonté même du constituant. La Cour s’est basée sur l’esprit même de l’article 70 Alinéa 2, qui est contenu dans l’avant-projet ; tel que le constituant l’entendait. Et dans ce sens-là –et d’un point de vue purement juridique – il n’y a pas de contestation.» Selon lui, il se pose plus une question politique que juridique. « Sur le plan politique, bien entendu, il y a des contestations parce que certains estiment [qu’il y a] un lien avec l’article 73 de la constitution», poursuit-il. Or, soutient Placide Mabaka, il ne s’agit pas du président de la République dans cet

Sept présidents africain sont en Ouganda pour assister à la cérémonie de prestation de serment du président Yoweri Museveni.

opposant Kiza Besigye, accepte la défaite et veut construire des structures de son parti politique! Récemment, je pris part aux célébrations de GRN suivant 31 Mars décisionde la Cour suprême qui a rejeté une requête électorale contre la victoire Yoweri Museveni de NRM dans les élections du18 Février présidentielle. Les célébrations à Kololo motifs d'indépendance ont attiré des partisans de GRN à partir de 112 districts en Ouganda. La joie, le bonheur et l'excitation des partisans de GRN au cours de l'événement a été une démonstration claire que la majorité des Ougandais ont voté pour le vieil homme avec un chapeau. En fait, les célébrations similaires ont eu lieu dans divers districts du pays. Les rapports ont indiqué que les personnes engagées dans toutes les formes de réjouissances pour célébrer leur victoire et sont maintenant seulement attendent la prestation de serment du Président Museveni le 12 mai. Il est dans ce contexte que je vous écris cet article pour ajoute

Assasinat d'un ingenieur Kasereka Valyananziu Jannot par les bandits armés, a son domicile au Quartier Ngongolio, Cellule Kangaimbi en Beni ville vers 20 heures du mercredi 11 mai 2016, et mort sur place. Jusqu' en présent, les commanditeurs courent dans la nature

Beni ville : les habitants urbain sont la cible des bandits minue des armes à feu dépuis presque une semaine : ces bandits utilisent, des grosse pierres pour cassé, la plus part des portes des maisons. Le présent article, fruit d’une analyse rigoureuse, sans complaisance et exempte de toute émotivité, effectuée par les analystes de ce blog, permet d’éclairer nos lecteurs sur les enjeux politiques et géopolitiques nationaux et régionaux sous-jacents de l’insécurité qui prévaut dans cette ville du Grand Nord au Nord-Kivu. La valeur ajoutée de cette analyse, dans le scenario d’un conflit qui perdure et aux contours flous, c’est d’être parvenu à identifier les acteurs majeurs de la crise. 1. Un climat politique local exécrable Les tueries de Beni se produisent dans un environnement politique assez exécrable marqué par un vieux conflit de leadership dans le Grand Nord (le Pays des Nandes – territoires de Beni et de Lubero) opposant deux camps : les kabilistes d’un côté, les fidèles deMbusa

Nord-Kivu dans la région de Beni, du 3 au 10 mai, "plus d'une trentaine de personnes ont été massacrées dans les localités proches d'Eringeti", ville du nord de la province du Nord-Kivu à la frontière de celle de l'Ituri, a déclaré à la presse le Lieutenant-colonel Martin Amouzou Codjo, porte-parole militaire de la Mission de l'ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco). Pour la Monusco, les auteurs de ces nouvelles tueries dans la région de Beni (grande ville du nord du Nord-Kivu) sont des miliciens des Forces démocratiques alliées (ADF), rébellion musulmane ougandaise présente dans l'Est de la RDC depuis 1995

Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés ) HCR ( s'est dit fortement préoccupé de plus en plus, par les massacres de civils et autres violations des droits de l'homme actuellement en cours au N/Kivu, en Républiques démocratique du Congo ) RDC (. » Plusieurs attaques au cours des trois derniers mois ont instauré un climat de peur généralisée et provoqué des déplacements « aux environs de la ville de Beni dans la province du Nord-Kivu, a déploré un porte-parole du HCR, Adrian Edwards, lors d'un point de presse à Genève. » Nous lançons un appel pour l'obtention d'un accès humanitaire afin d'aider les populations en détresse «. » Nous disposons de témoignages crédibles qu'au moins 256 personnes, dont des enfants, ont été tuées lors d'attaques à la machette et à la hache depuis le mois d'octobre «, a déclaré le porte-parole, précisant que les rapports font état toutes les semaines de nouveaux massacres par des groupes armés. » Au moins

Rdcongo le président Joséph Kabila Kabange, est sur la trace du maréchal Mobutu Seseseko qui a dominé de plus en plus la vie politique au Zaïre: la Cour constitutionnelle du pay autorise le maintien de Kabila au-delà de 2016

"Suivant le principe de la continuité de l’État et pour éviter le vide à la tête de l’État, le président actuel reste en fonctions jusqu'à l'installation du nouveau président élu", indique l'arrêt rendu par la Cour. M. Kabila, dont le mandat prend fin en décembre, est au pouvoir depuis 2001 et la Constitution lui interdit de se représenter. La décision de la Cour va à l'encontre de ce que soutenaient les détracteurs de M. Kabila. Ils faisaient valoir que le chef de l’État sortant devrait s'effacer au profit du président du Sénat si la présidentielle n'a pas lieu d'ici à la fin de l'année. La Constitution stipule que ce scrutin doit être convoqué 90 jours avant la fin du mandat du chef de l’État, mais plusieurs dirigeants de la majorité réclament depuis plusieurs mois une "transition" de deux à quatre ans pour organiser de "bonnes élections", arguant d'obstacles logistiques et financier à la tenue de l'élection dans

RDC : état de Droit à dure épreuve, à la deuxième audition de M. Moïse KATUMBI CHAPWE, des ONGDH déplorent la brutalité policière contre des magistrats, avocats et simples citoyens, au Palais de Justice de Lubumbashi. Lubumbashi, le 11 mai 2016. Les Organisations de défense des droits humains (ONGDH), basées à Lubumbashi, dénoncent des dizaines d’arrestations arbitraires, l’administration des coups et la brutalité policière contre des magistrats, députés, avocats et simples citoyens de Lubumbashi, intéressés par la deuxième audition de M. Moïse KATUMBI CHAPWE, au Parquet Général près la Cour d’Appel de Lubumbashi.

En effet, depuis tôt le matin de ce mercredi 11 janvier 2016, des centaines des policiers ont quadrillé un rayon d’environ 300 mètres, dans les alentours du Palais de justice de Lubumbashi, en prévision de la deuxième comparution de M. KATUMBI. Sans avoir avisé les avocats qui avaient d’autres affaires judiciaires, les agents et officiers de la Police Nationale Congolaise (PNC) se sont mis à les chasser, à distance. Ceux qui voulaient en savoir plus ou résister, ont été brutalisés. Le même sort a été réservé aux magistrats à qui il a été difficile d’arriver en voiture, dans leur parking habituel. En plus, à l’arrivée de M. KATUMBI, vers 11 heures 10 minutes, une foule innombrable a franchi les barricades de la police. Cependant, après son entrée au Palais de justice, la police a lancé des gaz lacrymogènes, en vue d’éloigner le public venu nombreux. Des députés, sympathisants et simples curieux ont reçu des coups de matraques, certains ont été mis à terre, avant d’être arrêtés, sans qu