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Affichage des articles du janvier 22, 2017

CAN 2017: le Gabon joue sa dernière carte dans cette compétion sportive dela CAF : Ce dimanche 22 janvier, le Gabon, pays organisateur de la CAN 2017, va affronter le Cameroun dans un match décisif pour la qualification pour les quarts de finale. Les Gabonais doivent impérativement gagner pour poursuivre l’aventure, car un tout autre résultat pourrait les éliminer de leur propre compétition dans un contexte particulier :

D’ailleurs le président du Gabon, Ali Bongo, a assisté à l’entraînement de l’équipe du samedi matin. Pour José Antonio Camacho, c’est plus un soutien qu’une pression. « Le président a toujours montré qu’il soutenait la sélection. Il nous a dit que le peuple attendait beaucoup de nous. Ce qui est intéressant, c’est qu’on ne me parle jamais de football, on ne fait que de me rabâcher qu’on joue sous pression. Toutes les équipes sont sous pression il me semble non ? Nous, on va essayer de gagner face au Cameroun, car il n’y a que cela qu’on puisse faire », souligne l’entraîneur espagnol. Didier Ovono, gardien des Panthères, reste sur la même ligne que son sélectionneur, affirmant que si le président était présent, auprès des joueurs, c’était pour les soutenir et non pour mettre de la pression, car les 23 Gabonais qui composent la sélection, savent qu’ils sont dos au mur quant à une qualification pour les quarts. Pour le gardien gabonais, c’est une première finale à disputer. Un contexte

Finalement, la plénière réunissant les différentes prenantes aux discussions autour de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) aura lieu ce dimanche 22 janvier 2017. « Malheureusement, la... Plénière ce dimanche à 14H, la CENCO n’exclut pas la poursuite des travaux la semaine prochaine :

Un compromis est en voie d’être trouvé à la sous commission qui travaille sur la composition du comité national de suivi de l’accord et du processus électoral. D’après les informations en notre possession, les parties prenantes ont convenu que les trois postes de vice-président reviennent à l’opposition signataire de l’accord du 18 octobre, la Majorité présidentielle et le Front pour le Respect de la Constitution. Les évêques ont refusé le poste de rapporteur confié à la Cenco par les parties en discussion, la questure reviendra à la Société civile. Toujours selon nos sources, la préséance de trois postes de vice-présidence divise encore l’opposition signataire de l’accord du 18 octobre, la MP et le Front pour le Respect de la Constitution. Pour l’heure, les discussions sont en cours. Vital Kamerhe, président du parti politique Union pour la nation congolaise(UNC) appelle les acteurs politiques qui participent aux travaux sur les arrangements particuliers de l’accord du 31 décembre,

Le président américain Donald Trump a entamé son mandat avec des manifestations massives d'opposants et s'est lancé dans une nouvelle polémique avec les médias, accusés de minimiser son soutien populaire. Plus de deux millions de personnes, femmes surtout, ont participé samedi aux "Marches des femmes" organisées à travers le pays pour la défense des droits civiques et contre Donald Trump. De nombreux rassemblements ont également eu lieu dans le monde. Manifestations, et polémique contre l'investiture de Donald Trump connaît un début de mandat très agité, aux États-Unies :

Les autorités de la capitale ont pour règle de ne pas communiquer d'estimations de foules, afin d'éviter toute polémique. La seule façon de les estimer est de comparer les photos aériennes, qui montrent que l'investiture du républicain n'a rassemblé que quelques centaines de milliers de personnes, indiscutablement moins que pour Barack Obama en 2009. Jamais depuis 40 ans un président américain n'avait pris le pouvoir avec un niveau d'impopularité aussi élevé que Donald Trump. Avec 40% d'opinions favorables, Donald Trump est deux fois moins populaire que Barack Obama en janvier 2009, et moins populaire que Jimmy Carter, Ronald Reagan, George H. W. Bush, Bill Clinton et George W. Bush à leurs prises de fonctions, selon un sondage ABC/Washington Post, qui confirme la tendance d'autres enquêtes d'opinion publiées récemment. Dans sa première conférence de presse à la Maison Blanche, Sean Spicer, porte-parole de M. Trump s'en est pris avec force aux

John Nixon est l’agent de la CIA qui a été désigné pour conduire l’interrogatoire de l’ex-président irakien Saddam Hussein, dont le livre John Nixon, Debriefing The President sortira le 29 décembre. L’agent a décidé de sortir de sa réserve en se confiant à l’hebdomadaire dominical britannique The Sunday Mail. John Nixon a avoué que tout ce qui a été rapporté sur Saddam Hussein «est totalement faux et sans fondement». L’agent de la CIA qui a interrogé Saddam Hussein fait de troublantes révélations :

Avec le recul, John Nixon admet que «l’Irak n’était pas un Etat terroriste». Saddam Hussein est le premier étonné de se voir reprocher d’entretenir des liens avec Al-Qaïda et Oussama Ben Laden. Affirmant que George Bush a sciemment menti pour le renverser, Saddam Hussein met en garde les Etats-Unis. «Vous allez échouer. Vous allez découvrir qu’il n’est pas aisé de gouverner l’Irak. Vous allez échouer parce que vous ne connaissez pas notre langue, vous ignorez notre histoire et vous ne comprenez pas l’esprit arabe», lui a confié le Raïs. John Nixon admet rétrospectivement que le président irakien avait partiellement raison et qu’il «aurait dû rester au pouvoir». «En dépit de la brutalité de son régime, seul un homme de poigne tel que lui pouvait tenir un Etat multiethnique comme l’Irak», explique-t-il. Plus surprenantes sont les conclusions auxquelles il parvient, lorsqu’il évoque le détachement avec lequel Saddam Hussein a gouverné son pays dans les dernières années, de manière pres

CAN 2017 : les deux matches du groupe D, se joués, le Samedi 21 janvier (groupe D) – Ghana – Mali 1-0 Egypte– Ouganda 1-0 : Deuxième victoire en autant de matches pour les Ghanéens, victorieux du Mali ce 21 janvier. Un coup de tête d’Asamoah Gyan a offert la victoire aux Black Stars contre des Maliens impuissants (1-0). Le Ghana, bien que bousculé en seconde période, valide son billet pour les quarts de finale. Le Ghana domine le Mali et se qualifie pour les quarts :

Lors de la deuxième journée du groupe D de la CAN Total 2017, l’Egypte a souffert jusqu’au bout pour se défaire d’une sérieuse formation (1-0). Les Pharaons ne sont toutefois pas encore qualifiés pour les quarts-de-finale. En revanche, pour les Cranes, le tournoi s’arrête là. C’est bon pour le Ghana ! Après le Sénégal, voici la deuxième équipe qualifiée pour les quarts de finale de la CAN 2017 après seulement deux rencontres. Ce 21 janvier, les Ghanéens ont confirmé contre le Mali leur victoire acquise précédemment face à l’Ouganda. Le score est identique : 1-0. Gyan convertit la domination ghanéenne A l’issue des 45 premières minutes, au stade de Port-Gentil, le tableau d’affichage est au diapason de la rencontre disputée sur une pelouse de piètre qualité. Le Ghana a pris les devants et c’est logique car les Black Stars ont été supérieurs à leurs adversaires. Si André Ayew, bien servi par Christian Atsu, a manqué le cadre sur sa frappe en pivot (17e), Asamoah Gyan a été plus efficac

À peine installé, le nouveau président des États-Unies, Donal Trump s'attaque aux médias nationaux, et étrangers : Au lendemain de sa prestation de serment, le nouveau président des Etats-Unis Donald Trump s'en est pris samedi avec véhémence aux médias, accusés d'avoir menti sur l'estimation du nombre de personnes ayant assisté à sa prestation de serment. "Honnêtement, cela avait l'air d'un million et demi de personnes, cela allait jusqu'au Washington Monument", a-t-il affirmé, contre toute évidence, à l'occasion d'une visite au siège de le CIA. "Je regarde cette chaîne de télévision, et ils montraient des pelouses vides et parlaient de 250.000 personnes", a-t-il encore dit. "C'est un mensonge", a-t-il poursuivi. Manifestations monstres contre Donald Trump dans le monde ! Bonnet rose sur la tête, plus de deux millions de personnes, femmes surtout, ont participé samedi aux Etats-Unis aux "Marches des femmes" organisées pour la défense des droits civiques et contre le président républicain Donald Trump, et de nombreux rassemblements ont également eu lieu à travers le monde. Un demi-million de manifestants à Los Angeles selon la police, la même chose à New York, plus d'un million à Washington selon les organisateurs, et des centaines de milliers à Chicago, Dallas, San Francisco, St Louis, Denver, Boston et dans des dizaines de villes américaines: le succès a dépassé les espérances des marcheuses et marcheurs, une démonstration de force qui illustre les fractures persistantes de la société américaine face au 45e président, investi vendredi. Face aux chiffres en comparaison peu flatteurs donnés par la presse pour la participation à la cérémonie de vendredi, le milliardaire a critiqué les médias samedi, les accusant de "mensonge" : Trump a aussi critiqué de plus, les mauvaises fançons, dont, les trois dernier présidents américains, dont BUSH le père, BARAKA HUSSEN OBAMA, et BUSH le fils, selon l'actuel président, qui ont dirigés les USA, dans les désordres, ce qui a donnée, des pertes pour l'économie nationale, de part, et d'autres, la fois passé : et dans le discours de son investiture, Donald Trump, a dit ce qui suit......

Selon TRUMP le NV prés des USA, le serment que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les américains. Depuis plusieurs décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine ; Subventionnés les armées d'autres pays tout en permettant l'épuisement très triste de notre armée ; nous avons défendu les frontières d'autres pays tout en refusant de défendre nos propres moyens ; Et dépenser des milliards de dollars à l'étranger alors que l'infrastructure de l'Amérique est tombée dans le délabrement et la Nous avons fait d'autres pays riches tandis que la richesse, la force et la confiance de notre pays ont disparu au-dessus de l'horizon. Une par une, les usines fermé et laissées nos côtes, sans même une pensée sur les millions sur des millions de travailleurs américains qui sont partis. La richesse de notre classe moyenne a été arrachée de leurs maisons et ensuite redistribués partout dans