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Affichage des articles du mars 17, 2016

Deux morts au conté des rébélles, ougandais des Adf-Nalu, et une arme AK47 récuperé. Tel est le bilan, d' une nouvel attaque des Fardc contre une position de ces térroristes à Mabanga, une village, situé àl' est dela localité d' ERINGETI, tôt le matin du mercredi 15 mars 2016 dans le Sécteur de Beni-Mbau, en groupement de Bambubha-Kisiki, térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. D' après les habitants de cette parti, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot.

Adf-Nalu sur les traces de Boko Haram ? Grâce à leur dirigeant, Jamil Mukulu, un chrétien converti à l’islam, les ADF-Nalu ont cessé d’être un problème congolo-ougandais pour prendre une dimension régionale en tant qu’élément de la nébuleuse islamiste radicale en Afrique de l’Est. Toutefois, d’une part, il subsiste de nombreuses zones d’ombre sur les liens entre les ADF-Nalu et les organisations islamistes radicales de la région et, d’autre part, l’islamisme de ce groupe armé parait superficiel. Et dans la genèse faite du mouvement, le rapport relève qu’ en septembre 1995, à Beni dans la province congolaise du Nord Kivu, Yusuf Kabanda, un des dirigeants de l’opposition musulmane ougandaise armée, scelle avec le commandant Ali Ngaimoko de l’Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (Nalu) une alliance dénommée les Forces démocratiques alliées-Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (ADF-Nalu). Conclue hors de l’Ouganda avec l’aide des services secrets soudanais et congolai

Dans quelques parti du Sécteur de Beni-Mbau, après l' évènement malheureux de carnage, les pygmées sont sur la trace des Adf-Nalu ? Selon une source de Jean Paul Ngahangondi le président nationale d' une ONG connue sous le nom de Convention pour le réspect des droits del' homme CRDH en sigle, dénonce, une serie des vols dela par du peuple des pygmées en se deguisant aux élélements du groupe rébélles des ADF-Nalu pour piller les biens de la population. Selon lui, les gygmées transformées aux égorgeurs avec des armes blanche ont investis les deux villages de MALIAJAME et KAMBAU en térritoire, de BENI la semaine ecoulée, poussant de cris simillaire des assaillants‪ ADF-Nalu‬. Les habitants de ces deux localités avec la peur au ventre ont fuit sans haisitations. Ces Prémiers citoyens dela République Démocratique du Congo, mal inttenssionés ont réçu à prendre en charge des biens de la population en fuite ,des animeaux de basse cour n'ont pas été epargner. Les enquêtes des agents, de l'ordre, ont tombés sur quelques hommes eskimos pendant qu'ils prenaient un verre de trop avec leurs butins. Ces malfrants sont déjà transférés en ville de BENI pour l'instruiction.

Cette nouvel éccursion des pygmées dans le Sécteur de Beni-Mbau, arrive après une serie des tensions qui s' observé entre les Nande, et communauté, Hutu, dans le sud du térritoire de Lubero, en ce jours. La fois passé, conflit Nande-Pygmées été résolu à l’amiable par le Kyaghanda Kikulu. Sous la médiation du Kyaghanda Kikulu de la Communauté Nande le conflit Nande-Pygmées qui avait éclaté le 27 septembre dernier à BIAKATO en Territoire de Mambasa District de l’Ituri Province Orientale à la suite d’un meurtre d’un pygmée voleur de riz a été résolu à l’amiable. Le lundi 3 octobre 2011 les trois communautés de BIAKATO, à savoir, les Pygmées, les BABILA et les NANDE s’étaient retrouvées sous la véranda de la palabre traditionnelle sous la médiation du Kyaghanda Kikulu représenté par Mr Rigobert Masimengo, Vice-président. et de Jackson Kalengero, Secrétaire Général. Etait aussi conviée à la palabre de la réconciliation entre Nande-Pygmées, l’ONG PAP (Programme d’Appui aux Pygmées) qui

République Démocratique du Congo sera elle déstabiliser encore par les pays occidentaux en appuillant le mouvement Lucha et le Front citoyens 2016 ? Officiellement photojournaliste américaine basée actuellement à l’Est de la RDC, Diana Zeyneb Alhindawi travaille pour le compte, entre autres, de New York Times, Sunday Times Magazine, Al Jazeera/Usa, CNN, Le Monde, National Geographic Traveler, Geo Allemagne, Newsweek, Toronto Star, Paris Match et Marie Claire. Et la liste n’est pas exhaustive parce qu’elle loue également ses services à des agences et autres Ong internationales. Sa présence lors de la marche de la LUCHA à Goma est une nouvelle preuve de l’instrumentalisation, par les Occidentaux, de la jeunesse et de certains politiciens congolais, comme ce fut le cas à la Tshangu et à l’Île de Gorée, pour perpétrer un chaos en RDC avant les élections prévue en 2016. Encore une fois une main étrangère est apparue derrière les manifestations des mouvements dits « citoyens » en république démocratique du Congo.

La main étrangère évoquée ici était déjà présente le 15 mars 2015 (soit la même date que la manif’ de LUCHA à Goma cette année) à Tshangu où avaient été réunis des jeunes congolais de Kinshasa et de Goma réunis au sein des associations LUCHA et Filimbi. Les organismes américains USAID et NED, deux bras armés au service de la diplomatie hégémonique des USA, avaient été reconnus comme les soutiens organisationnels et financiers de cette rencontre dont l’objectif était de former ces jeunes aux techniques de subversion et de troubles publics. L’ambassade des USA à Kinshasa avait reconnu avoir financé la réunion de la Tshangu où avait également été interpellé le responsable en personne du programme sur la démocratie de la coopération de l’USAID en RDC. Quelques mois plus tard, soit le, des Congolais, acteurs politiques et de la société civile, se retrouveront à l’Île de Gorée, au Sénégal, pour un séminaire officiellement consacré à des échanges sur la démocratie, mais dont l’objet réel ét