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Affichage des articles du janvier 30, 2017

Dans la matinée du 29 janvier 2017, un groupe de personnes désarmées, ont déclarés, être des combattants M23 sont, passé au Rwanda par la frontière commune entre le Rwanda et la RDC, dans le secteur de Bugeshi, district de Rubavu. À 17 heures, 30 personnes avaient été enregistrées. Selon les informations reçues des combattants par la Force de Défense Rwandaise, ils prétendent fuir les combats des Forces Armées de la RDC (FARDC). Les combattants en fuite ont été vus par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et ceux qui ont besoin de soins médicaux ont été pris en charge par le CICR, conformément au droit international humanitaire, selon, le MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DU RWANDA : COMMUNIQUÉ DE PRESSE FIN René Ngendahimana Lieutenant-colonel Ag. Porte-parole de la défense et des militaires :

D’après les informations reçues dernièrement, des combattants par la Force de Défense Rwandaise, ils prétendent fuir les combats des Forces Armées de la RDC (FARDC), » dit un communiqué de l’armée Rwandaise. Les forces de défense rwandaises affirment que certaines de ces personnes ont été prises en charge par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) « conformément au droit international humanitaire. » Les gouvernements congolais et ougandais avaient confirmé la présence des combattants M23 sur le sol congolais depuis le début du mois de janvier. Lambert Mende, porte-parole du Gouvernement Congolais parlait même d’environ 300 personnes qui auraient traversé la frontière ougandaise pour attaquer le Congo. Des combats avaient même été signalés à Ishasha (frontière avec l’Ouganda, Nord-Kivu). Selon Kigali, une trentaine de combattants M23 auraient traversé la frontière rwandaise ce dimanche Les autorités rwandaises annoncent avoir recueilli une trentaine de personnes se présent

Près d’un mois après la signature de l’accord politique global et inclusif, le 31 décembre 2016, à Kinshasa, les modalités de son application se font toujours attendre. Au centre des évêques de la CENCO et des politiciens congolais à Kinshasa, le 12/01/2017 lors des discutions sur les arrangements particuliers de l’accord politique du 31 décembre 2016. Les tractations ont duré toute la nuit du vendredi à samedi, au centre interdiocésain de Kinshasa. Au petit matin, le document additif de mise en œuvre de l'accord politique de la Saint-Sylvestre n'avait toujours pas été signé. Et la piste d'un référendum est de nouveau évoquée. Les négociations pour aboutir à la conclusion de ce que les protagonistes nomment un « arrangement particulier », peinent en effet à aboutir. Dialogue en RD Congo : les blocages persistent, l’hypothèse du référendum refait surface, selon le journal français, jeuneafrique (Jeune Afrique30/01/17) :

Peut-on parler de l’échec après la non-signature de l’arrangement particulier ? Il n’y a pas d’échec. C’est plutôt un succès parce que nous nous sommes mis d’accord sur différents points qui nous divisaient mais il reste juste des petits réglages. C’est juste que les gens sont un peu fatigués vu qu’ils ont beaucoup travaillé. Et nous profitons donc de l’absence des évêques pour faire un petit break et je suis certain, au retour des évêques nous allons pouvoir signer l’arrangement particulier. Entre temps, le temps passe vite alors que les élections doivent avoir lieu en décembre 2017… Nous avions dit à l’Union Africaine que les élections seraient en 2018 mais des puissances étrangères ont exigé à ce que les élections se tiennent en 2017. Mais comme nous savons que c’est le Rassemblement qui va prendre la Primature, nous lui souhaitons bonne chance pour que les élections s’organisent en 2017. Le Rassemblement doit proposer un seul candidat Premier ministre ou plusieurs comme la MP e

L'interdictionde voyager de Donald Trump sur sept nations à majoritémusulmane marque un moment de définition précoce de sa présidence et un point d'inflexion dans la position de l'Amérique envers l'islam et le monde extérieur qui pourrait résonner dans l'histoire. Le mouvement, qui temporairement interdit aux réfugiés d'entrer aux États-Unis, inaugure le premier affrontement entre le style populiste et trop férocement politiquement incorrect de Trump et ce que ses critiques considèrent comme des valeurs fondamentales qui définissent la nation. JUSTE REGARDÉ L'interdiction de voyager touche les citoyens de 7 nations à majorité musulmane :

Parallèlement, les contestations judiciaires à l'encontre de Trump annoncent le début d'un affrontement constitutionnel entre la vision du président d'une présidence expansionniste activiste et les contrepoids intégrés dans le système politique américain visant à freiner le pouvoir exécutif.Les séjours légaux émis par plusieurs juges contre les mesures sont susceptibles d'être les premières actions dans une contestation judiciaire longue et compliquée aux démarches qui semblent presque inévitables pour se terminer à la Cour suprême. La Maison Blanche discute de demander aux visiteurs étrangers des informations sur les médias sociaux et des contacts sur les téléphones cellulaires Lire la suite Trump dimanche a rejeté la tempête de critiques suscitées par ses mesures d'immigration, émettant une déclaration qui est venu au milieu de la critique croissante de son mouvement par des républicains de haut niveau. "Nous allons continuer à montrer de la compassion

Après un week-end de confusion et de controverse, le président républicain s'est défendu de toute discrimination anti-musulmans, alors que dans le pays des milliers de manifestants se sont rassemblés à Washington, New York, Boston et dans d'autres villes. Tollé pour Trump après la fermeture sélective des frontières : Manifestations, condamnations politiques, pressions internationales: Donald Trump se retrouve sur la défensive pour sa deuxième semaine à la Maison Blanche, après sa décision contestée de fermer les frontières pendant plusieurs mois à tous les réfugiés ainsi qu'aux ressortissants de sept pays musulmans :

Ce président milliardaire républicain n'a fait qu'appliquer ses promesses de campagne, souligne son entourage, comme lors de la signature toute la semaine passée de décrets sur la santé, l'immigration clandestine, la lutte anti-jihadiste ou le pétrole. Mais la décision de fermeture sélective des frontières, qui n'est pas aussi large que sa promesse de décembre 2015 d'interdire à tous musulmans de venir aux Etats-Unis, a bien provoqué le plus grand tollé depuis son investiture et devrait continuer à occuper médias et tribunaux pendant les prochains jours. - Confusion - Le milliardaire républicain n'a fait qu'appliquer ses promesses de campagne, souligne son entourage, comme lors de la signature toute la semaine passée de décrets sur la santé, l'immigration clandestine, la lutte anti-jihadiste ou le pétrole. "Pour que les choses soient claires, il ne s'agit pas d'une interdiction visant les musulmans, comme les médias le rapportent faussem

Coupe d’Afrique des nations 2017, se termine pour la RD Congo, qui en gardera de bons souvenirs, avant, peut-être, la prochaine sur le sol camerounais. « Je suis content, car on a montré une belle image de notre pays, on a défendu nos couleurs fièrement et c'est de bon augure pour la suite. Rendez-vous dans deux ans au Cameroun », assure Cédric Bakambu, l’avant-centre de Villarreal en Espagne. Nous restons confiants et nous continuons à encourager notre équipe nationale. Du reste, je m'en fous, éperdument ! A Kinshasa, les supporteurs congolais après la défaite :

Le troisième quart de finale a opposé ce dimanche 29 janvier deux équipes qui se connaissent très bien, la RD Congo et le Ghana. Après un match où les deux équipes ont eu des occasions de briller, les Black Stars ont remporté le duel face aux Léopards. Sept points en phase de groupes La confiance était pourtant du côté des Congolais avant cette rencontre des quarts de finale. La RD Congon’avait jamais réussi à marquer autant de points en phase de groupes (sept). Les Léopards avaient commencé par une victoire, 1-0 face au Maroc, puis un nul face à la Côte d’Ivoire 2-2, et finalement une deuxième victoire face au Togo 3-1. Pour vaincre le Ghana, Florent Ibenge a mis tous les ingrédients, mais la RD Congo n’est pas sortie vainqueur de ce duel. « C’est le football, on ne peut pas toujours gagner. On savait qu’il ne fallait pas attendre face aux Ghanéens. Il fallait un peu plus de rythme lors de la première période. On a quand même eu pas mal d’occasions que toutefois, on n’a pas su co