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Affichage des articles du juillet 15, 2016

Il n y aura pas des élections, le 27 novembre 2016 en République Démocratique du Congo, selon le répresentant du sécretaire générale des Nations-Unies, en RDC, Maman Sidikou qui a mit, fin aux spéculations, des acteurs politique qui parlent dépuis ce dernier temp, sur le départ sans condition, de Joséph Kabila. Les Nations-Unies ne croient plus à la tenue cette année des élections en République Démocratique du Congo. Entre l’impératif du délai constitutionnel et l’organisation des élections crédibles et apaisées, l’ONU se veut désormais pragmatique. Le Nigérien Maman Sidikou Sambo, représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies en Rdc, a réitéré jeudi, 14 juillet 2016, les appels «incessants » du Conseil de sécurité de l’Onu, de l’Ua, de l’Ue et de l’Oif invitant les acteurs politiques congolais à travailler avec Edem Kodjo, facilitateur désigné de l’Union africaine et de la communauté internationale, du dialogue politique national inclusif en Rdc, pour débloquer «l’impasse» autour du processus électoral.

Au cours d’une rencontre avec la presse à Kinshasa, le chef de la mission de l’Onu pour la stabilisation en Rdc (Monusco) a fait valoir la détermination de la communauté internationale à poursuivre son sentier «sans équivoque» aux efforts de la facilitation menés par l’ancien premier ministre togolais. Dans ce cadre, trois spécialistes en questions politiques, électorales et en communication envoyés par les Nations Unies et un expert en matière constitutionnelle fourni par l’Oif ont été désignés, et deux sont déjà à Kinshasa, a-t-il signalé. Pour lui, toute action, toute initiative ou atteinte aux droits constitutionnels des Congolais ne feront qu’alimenter davantage les tensions. «Les autorités de la Rdc sont encouragées à prendre des mesures pour décrisper la situation actuelle». Les enjeux sont énormes et le dialogue est incontournable pour éviter les risques de rechute dans une instabilité politique et le recours à la violence, a souligné Maman Sidikou. Le chef de la Monusco,

Situation politique ce dernier temps en République Démocratique du Congo la RDC: le G7 et le Front des démocrates appellent à la tenue rapide du dialogue national le plus rapide.

La fois passé, la Dynamique de l’opposition et le G7 n’approuvait pas la nomination d’Edem Kodjo par l’Union africaine pour mener des consultations en vue de la tenue du dialogue politique en RDC. Dans une communication faite lundi 18 janvier 2016 à la presse, ces deux plateformes soutiennent qu’il n y a pas de crise institutionnelle au pays, pouvant justifier la tenue d’un forum national. Ces deux plateformes de l’opposition ont réitéré leurs rejet du dialogue et ne souscrivent pas à la facilitation initiée par la présidente de la commission de l’Union Africaine. Elles ont affirmé que, cette décision de l’UA ne facilite pas le déblocage rapide du processus électoral. «Nous ne pouvons souscrire à la facilitation initiée par Mme la présidente de la commission de l’Union africaine», soutient Jean-Lucien Busa. Pour le G7 et la Dynamique de l’opposition, toute solution à l’impasse actuelle «intentionnellement créée» passe impérativement par : Le respect de la Constitution de la Républ

Des rumeurs circulent encore de plus, sur la présence du groupe des hommes armés, tout près du Sud-Est d' ERINGETI, une localité, situé le long dela Route N0-4 à térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, vers l' Est dela République Démocratique du Congo, la RDC. Selon une source du président dela société dans cet coin, mr BRAVO VUKULU, contacté par, la Radio Muungano OÏCHA jeudi 14 juillet 2016, a fait savoir que, des mouvements suspect des hommes identifié, au rébélles du groupe des Adf sont, de nouveau signalé par la population, qui ont peur d' étre massacrés par les térroristes, et démandent la présence des millitaires FARDC pour qu' ils puisse contrer, un éventuel attaque dela part de ces inciviques qui continuent avec une serie des tuerries, vols, sans oublier, les déplacements forcés, des civils qui ont, abandonnés leurs localités, villages, et les maisons habitation. Beaucoup sont allés, dans les aglomérations, le mieux sécurisés, comme OÏCHA, MBAU, BENI-VILLE, BUTEMBO, KASINDI, KOMANDA, et BUNIA, chef lieu dela province del' ITURI.

Dans le groupement de Bambuba-Kisiki, le plus touché par les tuerries, et enlèvements des civils, dépuis 2010 à nos jours, la présence des criminels étrangers, est, signalé, nouvellement, dans quelques villages dont Chuchubo, Makoyova et Makembi, considérés comme des bastions des ADF/Nalu. Face à cette, les autorités millitaires et des civils sont appelés, de plus, la population, sous leurs juridiction, à dénoncer toute présence suspecte des rebelles ougandais des ADF. Ils craignent que, les rebelles, traqués dépuis 3 ans, dans tout le territoire de Beni par l’armée nationale Fardc, dans le cadre de l’opération « Sokola 1» [nettoyez], ne s’infiltrent dans des villages. Les mauvais sont les ADF ou leurs dépendant qui peuvent être tentés de quitter la brousse pour chef lieu du térritoire, où vers la Ville de Beni, selon la même source. La population a été invité à dénoncer les infiltrés aux autorités civiles, notamment au maire dela Ville de Beni, administrateur, du térritoire de Beni,