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Affichage des articles du mai 20, 2016

Insécurité et massacres dans le Grand Nord dela province du Nord-Kivu! 12 députés provincaux originnaire de Beni-Lubero au Nord-Kivu se sont rendu, à Oicha chef lieu du térritoire de Beni, mercredi 18 mai 2016! face à cette situation, d' instabilité sociale, les habitants, et les députés provinciaux originaire de cette région ont mit, des stratégies de sortie de crise en faveur dela population, victimes des tuerries, massacres, vols, sans oublier le déplacement forcé des civils.

Qui est responsable des tueries à Beni? Les premières victimes de la violence qui ronge la région sont des civils comme des hommes, femmes, et Enfants. En réaction aux préoccupations de la communauté, les députés venus de Goma ont expliqué qu’il y a de matières qui dépendent du gouvernement de Kinshasa et d’autres du gouvernement provincial. En termes de remède au problème de l’insécurité, les élus du peuple ont implicitement appelé la population à se prendre en charge. Ils l’ont dit dans un langage très verrouillé. Quant au déplacement des populations suspectes de Rutshuru et Walikale qui se dirigent vers Eringeti et la province de l’Ituri, les élus ont demandé aux chefs coutumiers de se réunir et d’interdire à la population de vendre les champs de peur d’accueillir les rebelles de cette manière. Dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, une série de massacres touche la région de Béni. Plusieurs versions s’opposent sur l’identité des auteurs de ces massacres. Que se passe-t-il à Béni ? Dépu

RDC! province du Nord-Kivu! à vraie dire, qui sont les hauteurs des carnages à Beni ville et térritoire ? Dépuis le massacre survenu le mardi 3 mai dans la région de Bénidans l’est de la République démocratique du Congo, personnalités et activistes appellent la communauté internationale à réagir, alors que beaucoup d’internautes tentent d’alerter en relayant des images de corps mutilés d’hommes, de femmes et d'enfants. Si la démarche de sensibilisation est essentielle, les méthodes parfois employées sont contestables : certaines de ces images n’ont rien à voir avec les massacres de Béni.

Le bilan des massacres dans la région de Béni depuis un an et demi fait froid dans le dos : selon l’ONG Coordination de la société civile du Nord-Kivu, qui a rédigé une lettre ouverte au président congolais Joseph Kabila, plus de 1 000 personnes auraient été tuées et 1 400 autres enlevées. Depuis le début des violences, le gouvernement congolais accuse le groupe rebelle ougandais ADF-Nalu d’être derrière les massacres. Aucune preuve tangible ne permet néanmoins de confirmer ces accusations et l’ADF-Nalu n’a pas revendiqué ces massacres. Plusieurs personnalités sont montées au créneau, comme les chanteurs d’origine congolaise Youssoupha et Maître Gims, ou le gynécologue Denis Mukwege, qui a soigné des milliers de femmes violées dans la région et a dénoncé une "barbarie ignoble". Sous le hashtag #JesuisBéni, se regroupent tous ces soutiens d’internautes et sont publiées des photos de femmes, hommes ou d’enfants tués à la machette, mode opératoire commun à toutes les attaques d

Panique totale au sein des habitants tout près de Beni ville: cause, des folles rumeurs circule à Mavivi, une localité situé, non loin, dela base dela Monusco dela place en térritoire de Beni. Les tracts annonçant des attaques des ADF vendredi 19 mai à Mavivi, Makumbo et en ville de Beni. A en croire ces tracts sont scellé sur les murs des mais abandonnés par les habitants, dont les marques sont indescriptibles, selon les écrits lu sur ces tracts, 10.000 personnes vont être tuer en ville de Beni, 2000 à Makumbo et 1000 à Mavivi. Certains habitants de ce coin informés dela situation ont pris des paniques et commencent à vider ces agglomérations (Mavivi et Makumbo) par peur d' être massacrés par ces hors la loi.

En effet, chaque fois que des tracts attribués aux rebelles ougandais ont circulé, la suite a toujours catastrophique pour la population civile mais aussi pour les militaires congolais. Les deux Cordinations dela Société civile redoutent une nouvelle attaque, mais nous craignons de voir encore les populations civiles massacrer, par cette Rébellion", a déclaré Jean Paul Ngangondi, président de la CRDH, une ONG de défense des droits humains,. Cette même lieu, a fait objet des plusieurs attaques de ce même groupe rebelle présumé des ADF ougandais au courant de la dernière, année, où dizaines des civils ont trouvés la mort à Mamiki Oicha. Cette situation a créé une psychose au sein de la population vendredi soir, poussant des habitants locaux, femmes et enfants, à fuir leurs domiciles par crainte d'être massacrés à la machette et des haches. Le responsable de la CRDH basée à Beni qui dénonce cette incursion, appelle les autorités militaires pour une stratégie préventive afin d&

Nouvel opération millitaire baptisé Salama, dans le Nord du térritoire de Beni, porte des fruits: selon le porte parole d' OPS Sukula1 le Lieutenant Mac Azoukay: une nouvel traque des rébélles étrangers, a été lancé, samedi 14 mai 2016 dans cette parti du Nord-Kivu! Après cinq jours des combats farouche, à l' arme lourde et légère entre les millitaires Fardc, appuilé par la Brigade d' intervation des Nations-Unies contre les rébélles étrangers, fait état de 36 morts et un rébélles capturé, deux armes de type AK-47 récuperé, aux mains des rébélles! Cette information a été donné par une source millitaire sur les différentes lignes des fronts. Pendant plus des 5 jours, les détonations des armes lourde continue de s' enttendre de plus en plus à l' Est d' Oicha chef lieu du térritoire de Beni. où les habitants deux térritoires dela province du Nord-Kivu, Beni et Lubero observent trois jours de deuil initié par les quatres cordinations dela société civile de Beni, et Lubero, en mémoire de plus de 1000 civils tué, par les térroristes.

L'objectif est d'éradiquer l'ennemi qui est en vagabondage, a dit à TOP CONGO FM, le lieutenant Mak Huzukay, porte-parole de l'opération Sukola 1. USALAMA est une opération ponctuelle. Pour l'occasion, l'Etat-Major des FARDC au Nord-Kivu a été déplacé, "afin de peaufiner une stratégie en réponse aux derniers massacres d'Eringeti", indique le lieutenant Hazukay."Les FARDC vont collaborer avec la population en la mettant à l'abri dans toutes les agglomérations". L'opération est appuyée par la MONUSCO."Nous demandons à toutes les parties prenantes à cette opération de collaborer avec la population. Ne pas négliger d'information, de rumeur, même si elle vient de la population", a dit A TOP CONGO FM, le président de la société civile du Nord Kivu, Thomas d'Aquin Mwiti. Les environs de Beni sont, depuis plus d'un an, le théâtre de massacres récurrents imputés aux rebelles ougandais ADF NALU. Cette semaine, 43 perso