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Affichage des articles du octobre 27, 2016

Le Président Joseph Kabila réçu le soutien de la communauté internationale à Luanda la capitale d' Angola : Dans le communiqué final publié à l’issue du sommet, les Chefs d’Etat félicitent «le Président Joseph Kabila d’avoir convoqué le dialogue national », remercient «toutes les parties prenantes qui y ont pris part et les félicitent de la signature, le 18 octobre 2016, de l’Accord politique global relatif à l’organisation d’élections crédibles et pacifiques». Ils ont également noté avec satisfaction les mesures prises jusqu’à présent par le gouvernement congolais pour renforcer la confiance. Le dossier «Dialogue» était au centre des travaux de la 7ème réunion de haut niveau du Mécanisme régional de suivi des engagements pris par les Chefs d’Etat dans l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, signé le 24 février 2013. Le sommet, qui s’est tenu au complexe hôtelier Talatona de Luanda, a réuni sous les auspices du Président Eduardo Dos Santos, Président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), les Chefs d’Etat du Tchad, Idriss Deby, également Président en exercice de l’Union africaine, du Congo-Brazzaville, Denis Sassou N’Guesso et de la Zambie, Edgar ChagwaLungu. Le Kenya a été représenté par le Vice-Président de la République, Gaston Sindimwo, le Burundi par le Premier Vice-Président de la République, Simplice Matthieu Sarandji, la Centrafrique par le Premier ministre Paul Dlamini et le Swaziland par son Vice-Premier ministre. La Présidente de la Commission africaine, Nkosazana D. Zuma, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’Onu dans les Grands Lacs, Saïd Djinnit, le facilitateur du Dialogue congolais, EdemKodjo, le représentant spécial de l’Union africaine pour les Grands Lacs, Ibrahim Fall, le secrétaire exécutif de la CIRGL, Zachary Muburi-Muita, le secrétaire exécutif de la SADC, Jorge Cardoso, ainsi que des envoyés spéciaux et hauts responsables de la Belgique, de la Chine, des Etats-Unis d’Amérique, de la Fédération de Russie, de la France, du Royaume Uni et de l’Union européenne ont également participé à ces assises, auxquelles étaient associées des délégations de l’Afrique du Sud, de l’Ouganda, du Rwanda, du Soudan, du Soudan du Sud et de la Tanzanie. Selon le communiqué final, les participants ont passé en revue les événements survenus sur les plans politique et sécuritaire dans la région depuis leur dernière réunion à New York le 29 septembre 2015. Ils ont réaffirmé que «l’Accord-cadre demeure un mécanisme essentiel pour parvenir à une paix durable et à la stabilité en RDC et dans la région» et renouvelé leur engagement d’en assurer l’application. Neutralisation des forces négatives S’agissant de la RDC, ils se sont prononcés pour la neutralisation des forces négatives et le rapatriement des combattants désarmés avant d’examiner l’évolution de la situation politique. Un accent a été mis sur la coopération FARDC-MONUSCO. Les participants ont également «condamné les violences intervenues les 19 et 20 septembre 2016 en RDC et demandé à toutes les parties de ne chercher des solutions à la crise politique que par des moyens pacifiques, qui soient conformes à la Constitution de la RDC et à la résolution 2277 (2016) du Conseil de sécurité » : Pour le Président angolais, le gouvernement d’union nationale à mettre en place bientôt en Rdc, a, entre autres missions, de «mettre fin au climat de contestation et de déstabilisation qui a régné ces derniers temps et de préserver la paix et la stabilité». Le Président Joseph Kabila Kabange a reçu le soutien de la communauté internationale à Luanda, en Angola, où il a participé mercredi au Sommet des Chefs d’Etat sur la RDC, le Burundi et le Sud-Soudan.

République Démocratique du Congo, le président angolais appelle les acteurs politique del'opposition anti Dialogue, à la patience : Le président angolais Eduardo dos Santos Le président angolais Eduardo dos Santos a appelé l'opposition de République démocratique du Congo (RDC) à faire preuve de patience jusqu'à la présidentielle reportée en 2018, mercredi lors d'une réunion des dirigeants des pays des Grands lacs. "Pour ceux qui veulent arriver au pouvoir, il est important de savoir qu'ils peuvent le faire démocratiquement, en respectant la loi et la volonté souveraine des électeurs", a déclaré M. dos Santos lors d'un discours à Luanda. "Il vaut mieux attendre quelques mois de plus pour le faire dans de bonnes conditions de sécurité et de tranquillité plutôt que de se lancer sur les chemins incertains de la violence", a-t-il ajouté. La RDC traverse une crise politique depuis la réélection contestée du président Joseph Kabila en 2011, à l