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Affichage des articles du septembre 17, 2016

Microsoft espère enfin remplir son Windows Store... avec de vieilles applis ; Le Windows store ayant du mal à faire le plein d'applis, Microsoft décide d'aider les développeurs à apporter leurs applications dans son Store. Né, il y a quatre ans, le Windows storeest anémique. Il ne servait jusqu'à présent qu'à distribuer des applications universelles (au format UWP). De facto, toutes les programmes développés historiquement pour les systèmes d'exploitation de Windows s'en trouvaient exclus. Or, selon Microsoft, il existerait 16 millions d'applications Win32, .NET ou Windows Presentation Foundation (WPF). !

Un plan à longs termes Afin de pallier la faiblesse de l'offre dans son magasin, l’éditeur annonçait lors de sa Build 2015 le projet Centennial, devenu depuis le Desktop App Converter. Cet outil, désormais disponible, permet aux développeurs d'empaqueter, d'adapter leurs logiciels Win32 (ou .NET), en les modifiant un peu ou pas du tout, afin qu’ils puissent rejoindre la boutique d’apps de Windows 10 en tant qu'application universelle. Toutefois, pour l'heure, Desktop App Converter ne permet pas à ces applications devenues universelles de l'être réellement. Les anciens programmes Win32 ou .NET ne pourront être accessibles que sur les appareils équipés de Windows 10 et d'un processeur x86. C'est-à-dire tous les PC. Pour autant, à termes, l'objectif de Microsoft est bien entendu de faire en sorte que ces programmes soient disponibles sur la Xbox One, les Windows Phone, le téléviseur intelligent de visioconférence Surface Hub ou encore HoloLens. Bien

C'est qui le patron des navigateurs ? Microsoft Edge, pas Chrome Technologie :Les ingénieurs d'Opera, de Microsoft et Google se livrent à une battle pour revendiquer la faible consommation de leur navigateur, et surtout leur suprématie sur la concurrence. Et de nouveau Microsoft revendique la supériorité de Edge sur Chrome, Opera et Firefox. Musique. !

Quand des ingénieurs d'entreprises rivales s'opposent les uns aux autres, cela donne une confrontation d'un genre forcément unique. Imaginez une battle de rappeurs ou de breakdance. Vous visualisez? Bien, alors à présent, oubliez tout cela. Une battle d'ingénieurs en informatique, ça n'a définitivement rien à voir. Vous prenez des ordinateurs, un protocole scientifique (ou qui se présente comme tel) et une grille de paramètres de configuration pointue, ou juste longue. Ah et des navigateurs surtout, car c'est cette catégorie de logiciels qui est l'outil de la battle. Si vous passez votre vie sur Netflix, optez pour Edge Enfin, il vous faut l'instrument de la discorde : le titre de navigateur le moins gourmand. En clair, celui dont l'utilisation vous permet de moins souvent vous mettre en quête de votre chargeur. Bref, et d'une certaine façon, de vous sentir libre. Et ils sont quelques candidats en lice pour y prétendre. Sauf que voilà, ils ne

Chérubin Okende: «Le compromis sur l’ordre des scrutins ne résout pas le problème d’alternance» Le président du Front social des indépendants républicains (FSIR), Chérubin Okende, estime que l’accord trouvé entre la majorité présidentielle (MP) et l’opposition présente au dialogue sur l'ordre des scrutins ne résout pas la question d’alternance en 2016. Les participants au dialogue ont levé l'option que le cycle électoral débute par la présidentielle pour se terminer par les locales. !

«Le compromis sur les séquences des élections à prioriser ne résout pas le problème d’alternance imposée par la constitution au sommet de l’Etat», a-t-il affirmé jeudi 15 septembre à Radio Okapi. Le FSIR qui a quitté la MP pour basculer dans l’opposition est d’avis que les opposants qui siègent au dialogue ne font que consacrer le glissement et endossent la responsabilité de la non-tenue de la présidentielle le délai constitutionnel. Chérubin Okende a également estimé que les opposants -présents au dialogue- font preuve « de boulimie du pouvoir » et manifestent leurs ambitions de conduire le pays à la transition pour se partager des postes. Pour sa part, le président du Mouvement du 17 mai (M17), Augustin Kikukama pense que les opposants présents au dialogue se sont fait piéger. Le président de ce parti du centre redoute que le dialogue en cours ne débouche sur une transition de trente-six mois. «Les seize mois qu’on a donnés, c’est pour enrôler les électeurs mais il n’y a pas enc

Dialogue national en cours en République Démocratique du Congo : l’Opposition politique obtient la Primature, ça chauffe dans la salle dela cité del'Union Africaine à Kinshasa ! A quelques heures de la fin du Dialogue politique en République démocratique du Congo, les esprits s'échauffent. L'opposition, Vital Kamerhe en tête, veut une "date" pour la ténue de la présidentielle, alors que la Majorité recommande cette tâche à la CENI. La Rédaction @politicocd. !

L’ONG Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) demande à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de se prononcer sur la convocation ou non de l’électorat de la prochaine présidentielle conformément à la constitution de la RDC. Le vice-président de cette structure, André Kyomba Djibwe, a fait cette demande, à travers une déclaration dont une copie est parvenue vendredi 16 septembre à Radio Okapi: «C’est une obligation constitutionnelle. Jusqu’à 18h30, heure de Kinshasa, les délégués de la Majorité et ceux de l’Opposition n’arrivaient toujours pas à trouver un consensus pour « boucler » l’accord final sanctionnant le Dialogue politique qui s’est ouvert depuis le 1er septembre 2016. Pour Vital Kamerhe, co-modérateur pour le compte de l’opposition, il faut « à tout prix » que la date de la présidentielle soit « clairement mentionnée » dans l’accord final. « Non », rétorque la Majorité présidentielle. Pour la famille politique du président Joseph Ka

UN MESSAGE CLAIRE D'UN MEMBRE DELA SOCIÉTÉ CIVILE URBAIN DE BUTEMBO VILLE, AUX COMPATRIOTES QUI PARTICIPENT, DÉPUIS QUELQUES JOURS, AU DIALOGUE POLITIQUE EN COURS, EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : Je suis citoyen congolais comme la plupart d'entre vous. J'ai l'obligation de vous rappeler avant la signature de votre accord final: ce n'est pas au nom du peuple que vous serez autorisés à installer une DICTATURE à façade démocratique. Evitez les antinomies. Rassurez-vous que le texte que vous signerez n'énerve pas la constitution pour ne pas vous attirer la colère et la courroux de toute la nation: nos ancêtres, les vivants et les générations fures. Sinon soyez prêts à en assumer toutes les responsabilités. Relisez encore la constitution avant toute signature. !

Aux termes de l'accord, "la présidentielle, les législatives nationales et les législatives provinciales (…) se dérouleront exactement le même jour", a déclaré à la presse le ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, comodérateur du dialogue pour le compte de la Majorité présidentielle. "Nous avons retenu d’un commun accord que la séquence présidentielle, législatives nationales et provinciales (…) doit se passer le même jour", a confirmé Vital Kamerhe, comodérateur de la frange minoritaire de l'opposition ayant accepté de dialoguer avec le pouvoir. Les deux parties ont indiqué qu'elles laisseraient le soin à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de fixer la date à laquelle se tiendront ces scrutins en fonction du temps nécessaire à la constitution de listes électorales fiables. Avant la suspension des travaux, la délégation de l'opposition insistait pour "tenir en priorité la présidentielle". La majorité, au contra

La chambre basse du parlement en République Démocratique du Congo, pourrait interpeller dans les heures qui suivent, le Ministre National de l’Intérieur pour des explications tenantes par rapport à la situation sécuritaire de BENI. Déjà à l’ouverture de la session parlementaire de ce jeudi à Kinshasa, les élus du peuple ont observé une minute de silence en compassion aux victimes des carnages de BENI. Cette session essentiellementbudgétaire connaitra le vote de la loi sur la réduction des comptes de l’exercice budgétaire 2017 nous l’a fait savoir l’Honorable DJUMA BALIKWISHA, Président du caucus des élus du Nord-Kivu. !

Lors de son passage à Beni ville la cible du dernier massacres contre les habitants civils, Evariste Boshab a promé la restauration de la sécurité ! Les Forces armées de la RDC (Fardc) ont renforcé leurs positions dans plusieurs villages récupérés des mains des rebelles islamistes des Forces démocratiques alliées (ADF) à dominance ougandaise. Reportage de notre correspondant Charly Kaseraka. Avec ce déploiement de l’armée, la population locale veut vite reprendre le chemin des champs de cacao dans cette zone où plus de 600 civils ont été tués, en deux ans, dans des massacres répétés attribués aux ADF, selon des chiffres de l’ONU. L’armée congolaise qui combat cette rébellion depuis deux ans, affirme avoir fait des progrès dans la lutte. Plusieurs positions rebelles sont désormais sous son contrôle. Mais en fait, la situation sur terrain reste volatile. Le correspondant de VOA Afrique a suivi les FARDC dans le fin fond de la forêt pour rencontrer de courageux et téméraires villageois