Articles

Affichage des articles du août 17, 2015

« Dialogue politique : Tshisekedi sera là »

'' Sauf imprévu, le président national de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba, devrait conduire en personne la délégation de son parti politique au Dialogue politique encore en projet en République Démocratique du Congo. Cette information a été livrée par son fils, qui est en même temps Secrétaire Général en charge des Relations Extérieures de l’UDPS, Félix Tshisekedi, hier mercredi 12 août 2015 sur les antennes de la radio Top Congo. Ce jeune opposant, qui ne cesse de monter en flèche dans l’opinion tant nationale qu’internationale, a rappelé que le sphinx de Limete se trouve toujours en convalescence en Belgique, où il séjourne depuis le mois d’août 2014, et qu’il se remet lentement mais sûrement de son mal. Félix Tshisekedi a soutenu qu’au regard de l’évolution de l’état de santé de son père, il est physiquement et mentalement prêt à participer au Dialogue national inclusif que l’UDPS considère comme la seule panacée pour

'' La ceni du pasteur Ngoy Mulunda "

'' Contestations des résultats des élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2011 analyse sociologique Phases électorale Pendant la phase électorale, les activités de vote ont eu un désordre sur le plan organisationnel. Nous avons remarqué que certains bureaux ouvraient les portes à temps et d'autres ont connu un retard d'ouverture caractérisé par le fait que certain bureaux n'avaient pas des isoloirs, des bulletins présidentiels tantôt législatifs qui causera la mort d'homme dans certain centre ; casse des mobiliers ...etc Il sied de signaler que certains individus dans la ville de Lubumbashi n'ont pas pu voter du fait que leurs noms ne se retrouvaient plus aux endroits où ils pouvaient voter, quelqu'un qui se fait enrôler dans la commune de Kamalondo son nom est apparu dans la commune de la Rwashi à quelque deux ou cinq kilomètres et vice versa La phase postélectorale Cette phase a connue des tensions surtout dans le camp de l'o

"Culture of Lendu ethnic group"

'' Following the events of independence of several African countries, much beyond black population of the continent have abandoned their traditional culture encêtres.[Lendu population today] Although they are very attached to their culture, their original home ago many have abandoned their traditional way of life for the western lifestyle.Some young people have emigrated to Europe or North America, in particular to pursue higher education. (Years ago-600-1450) The history of the entire continent appears as a recent and difficult undertaking.For a long time, only Egyptology, Islamic studies and colonial history have, each in its view, addressed;it should be noted, moreover, that the ancient writing systems, in Egypt, Meroe, Ethiopia, are still far from having made all information attendues.Les sources written in Arabic, by authors who did that exceptionally experienced across the continent, European archives and explorers accounts are reliable sources when necessary to ask scie

« Culture du groupe éthnique Lendu »

'' Suite àl'événement d'indépendance des plusieurs pays d'Afrique,beaucoup dela population noire du continent ont abandonnée leurs culture traditionnel des encêtres. [Population Lendu d'aujourd'hui ] Bien qu'ils soient très attachés à leurs culture,dépuis leurs foyer d'origine des nombreux ont abandonné leur mode de vie traditionnel pour le style de vie occidental. Certains jeunes ont émigré en Europe ou en Amérique du Nord,afin notamment de poursuivre des études supérieures.(dépuis années de-600 à 1450) L'histoire du continent tout entier apparaît comme une entreprise récente et difficile. Pendant longtemps, seules l'égyptologie, l'islamologie et l'histoire coloniale l'ont, chacune de son point de vue, abordée ; il faut noter du reste que les très anciens systèmes d'écriture,en Égypte,à Méroé,en Éthiopie,sont encore loin d'avoir apporté toutes les informations attendues.Les sources rédigées en arabe, par des auteurs qu

Les éléctions del'année 2006 en République Démocratique du Congo

'' Les élections de 2006, validées par de nombreux observateurs étrangers et massivement suivies par la population, n’ont pas « rétabli » le système démocratique au Congo : elles l’ont pratiquement fondé. En effet, à part les années difficiles, de l’indépendance de 1960 jusqu’au coup d’Etat de Mobutu en 1965, jamais le pays n’a vécu dans un régime démocratique, où les dirigeants auraient eu des comptes à rendre à leurs administrés. Durant les 80 années de colonisation, la politique n’avait pas sa place au Congo. Léopold II, souverain tout puissant, tenait en mains les rênes d’une colonie qui était d’abord une entreprise économique, où il s’agissait de tirer les indigènes de leur « indolence naturelle » pour les « mettre au travail ». Lorsque la Belgique, réticente et sensible aux critiques internationales, reprit le Congo en 1908, elle édifia la « trinité coloniale » qui reposait sur trois piliers : l’administration, chargée de gérer le territoire, les missions, chargées d’é

« RDC : la nostalgie du maréchale Mobutu»

« RDC : la nostalgie du maréchale Mobutu» '' Le 7 septembre 1997, l’ex-président du Zaïre décédait à Rabat, au Maroc, loin des siens. Cette mort en exil était l’épilogue d’une lente agonie. Quinze ans après, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d’un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d’une dictature à bout de souffle.Le 7 septembre 1997, l'ex-président du Zaïre décédait à Rabat, au Maroc, loin des siens. Cette mort en exil était l'épilogue d'une lente agonie. Quinze ans après, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d'un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d'une dictature à bout de souffle. Une messe du souvenir sous le signe de l’intimité à Rabat, quinze ans après la mort de Mobutu Enfants de Mobutu Que reste-t-il de Mobutu ? RD Congo RDC : veuves de Mobutu, mais pas trop Les soeurs jumelles Bobi et Kosia ont été les dernières compagnes de Mobutu Sese Seko. Elles vivent toujours à Rab

« RDC : la nostalgie du maréchale Mobutu»

« RDC : la nostalgie du maréchale Mobutu» '' Le 7 septembre 1997, l’ex-président du Zaïre décédait à Rabat, au Maroc, loin des siens. Cette mort en exil était l’épilogue d’une lente agonie. Quinze ans après, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d’un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d’une dictature à bout de souffle.Le 7 septembre 1997, l'ex-président du Zaïre décédait à Rabat, au Maroc, loin des siens. Cette mort en exil était l'épilogue d'une lente agonie. Quinze ans après, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d'un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d'une dictature à bout de souffle. Une messe du souvenir sous le signe de l’intimité à Rabat, quinze ans après la mort de Mobutu Enfants de Mobutu Que reste-t-il de Mobutu ? RD Congo RDC : veuves de Mobutu, mais pas trop Les soeurs jumelles Bobi et Kosia ont été les dernières compagnes de Mobutu Sese Seko. Elles vivent toujours à Rab

Le chaos du maréchale Mobutu

«Coup d'états et guerres civiles : les enjeux de la guerre civile et la chute de Mobutu » '' Après la fin de la guerre froide, les coups d'État et les guerres civiles commandités par les deux blocs capitalistes ou communistes prennent une nouvelle tournure gr%oce à l'accélération de la mondialisation. Les grandes puissances accordent plus d'importance en l'Homme de Mobutu qui ferait leur affaire sur le plan économique au Congo et dans la région des Grands Lacs. Ainsi, comment Mobutu était arrivé à régner pendant si longtemps et en même temps à provoquer un marasme économique, inciter des guerres ethniques ou tribales qui sont les facteurs politiques, économiques et sociaux qui ont conduit à la décadence de l'État congolais, au coup d'État et au déclenchement de la guerre civile ? Deux événements majeurs ont conduit aux incidences sociales : la fin des antagonismes idéologiques et politiques entre le bloc de l'Est et de l'Ouest, et le refus d

«Afrique : guerres depuis 1960 La disparition d'un homme, c'est une tragédie; la disparition de millions de gens, c'est la statistique.»

'' Depuis 1960, les guerres et massacres en Afrique : plus de 9,5 millions de morts. Depuis 1990, les guerres en Afrique : plus de 200 milliards d'euros.Guerres en Afrique depuis 1960 PaysPériodeNombre de morts(1)Types Afrique du Sud1983-199620 000Guerre civile Algérie1991-200460 000Guerre civile Angola1961-197550 000Guerre d'indépendance Angola1975-20021 000 000Guerre civile Burkina Faso / Mali1985 -1986200Guerre entre états dite "Guerre de Noël" Burundi1993-2005100 000Violences ethniques Centrafrique2004-2007Guerres civiles Centrafrique2012-2013500Guerres civiles Congo Brazzaville Congo Kinshasa1977-198310 000Répression dissidents Congo Kinshasa1996-20054 000 000Guerres civiles Côte d'Ivoire2000-20073 000Guerre civile Djibouti1991-19941 000Rébellion Egypte196710 000Guerre avec Israël Ethiopie1961-1991250 000Guerre d'indépendance de l'Erythrée Erythrée / Ethiopie1998-2000100 000Guerre entre états Guinée-Bissau1962-197415 000Gu

«RDC : Mobutu – « Après moi le déluge ! »

'' 16 ans après la fin du règne du Maréchal Mobutu, président du Zaïre entre 1965 et 1997, la République démocratique du Congo n’a toujours pas chassé ses vieux démons politiques: instabilité politique, complot, démocratie dirigée, dictature,… Depuis lors, les signes indiens demeurent visibles dans le paysage politique congolais. Plus grave encore, la guerre ravage l’Est du pays et fait des millions de victimes. Or à l’époque, Mobutu, fervent admirateur de Nicolas Machiavel, aurait déclaré : « Après moi, c’est le déluge ». Expression prêtée à Louis XV qui voulait faire savoir à ses partisans qu’il se moquait complètement de ce que pourrait faire son dauphin Louis XVI. Depuis quelques années et au vu de la situation qui frappe le pays, de nombreux Congolais tentent de redorer l’image ternie de l’ex-dictateur du Zaïre, Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Zabanga. Pourrait-on alors parler de syndrome de Stockholm? Toutefois, il y a lieu de souligner que les événements politiques en

Histoire du Congo : le régime de Mobutu

Après l’échec d’un gouvernement de coalition, Mobutu prend le pouvoir fin 1965 et, ayant déposé Kasavubu, se proclame président.En 1966, il instaure un régime autoritaire de type présidentiel, s’appuyant sur un parti unique, le Mouvement populaire de la révolution (MPR), entériné par une nouvelle Constitution l’année suivante. Les mines exploitées par des sociétés étrangères sont nationalisées. En 1970, Mobutu, élu pour un mandat présidentiel de sept ans, lance un vaste programme d’africanisation et de « retour à l’authenticité », à l’origine d’un conflit avec l’Église catholique, opposée à la déchristianisation des prénoms pour une reprise des prénoms traditionnels. En 1971, Mobutu décide de changer le nom du pays, qui devient le Zaïre, le nom du fleuve Congo, également Zaïre, celui des villes et du lac Albert qui est rebaptisé Mobutu (la partie ougandaise du lac conservant le nom du mari de la reine Victoria). Les revenus du pays, toujours très dépendants de l’exportation du cuivre,

Histoire des pouvoirs politiques du Congo

Depuis la Constitution de 1967, révisée en 1978, le Zaïre, dirigé par Mobutu Sese Seko, se caractérisait par un régime présidentiel autoritaire à parti unique. Après les manifestations des étudiants et des opposants de 1989 et 1990, le Zaïre entre dans une transition chaotique vers la démocratie. En avril 1990, le président annonce l’abandon du parti unique. L’année suivante, après de nouvelles grèves et émeutes, soixante partis sont officiellement reconnus et une Conférence nationale est constituée, afin de doter le pays d’une nouvelle Constitution, qui doit être soumise à référendum. En juin 1994, un nouvel accord entre Mobutu et les partis d’opposition démocratique permet d’instaurer un partage du pouvoir entre le président et une institution législative, appelée Haut Conseil de la république — Parlement de transition. Après sa prise de pouvoir, en mai 1997, Laurent-Désiré Kabila dissout l’ensemble des institutions et forme un gouvernement constitué de ses proches, assumant seul l

Histoire du Congo : La présidence de Laurent-Désiré Kabila et l’enlisement dans la guerre civile

En mai 1997, les troupes de l’AFDL entrent dans Kinshasa, et Kabila s’autoproclame président de la nouvelle République démocratique du Congo (RDC).Mobutu quitte le pays pour se réfugier au Maroc, où il meurt à Rabat la même année. Concentrant tous les pouvoirs, Laurent-Désiré Kabila se heurte à une forte contestation de la part des anciens opposants à Mobutu, écartés du pouvoir et dont il fait arrêter certains (Tshisekedi est mis en résidence surveillée), ainsi que des anciens mobutistes eux-mêmes. Le régime s’appuie sur les populations de l’est du pays, en particulier le Katanga, région natale de Kabila. Il refuse, par ailleurs, toute enquête de la part de l’ONU sur la disparition d’au moins 200 000 Hutu dans les forêts de l’est du pays, vraisemblablement massacrés par ses alliés rwandais d’alors. Un rapport de l’ONU, publié en 1998, accuse pourtant la RDC et le Rwanda de « crimes contre l’humanité ». Le comportement hégémonique des Rwandais qui ont aidé Kabila ne tarde pas à faire r

LES SYSTEMES POLITIQUES EN AFRIQUE NOIRE PRE-COLONIALE

Il est évident que ce travail ne prétend pas rendre compte de tous les systèmes politiques en vigueur en Afrique noire pré-coloniale. J'ai donc décidé d'étudier, à la fois des royaumes et des Etats, mais aussi des ethnies dans lesquels le pouvoir du roi n'est jamais absolu. Je commencerai ce sujet par quelques généralités sur le pouvoir en Afrique puis m'attarderai sur l'étude de cas précis (constitution mossi et du Cayor, structures politiques dans l'empire du Ghana et du Mali, organisation sociale chez les Ewés et les Yoroubas....). Ce travail permettra aussi de mieux comprendre le mode d'organisation des sociétés traditionnelles. Mon but final en faisant ce sujet est de pousser la réflexion sur les systèmes politiques africains contemporains : il serait judicieux aujourd'hui, étant donné les échecs relatifs des modèles démocratiques occidentaux importés en Afrique, de redéfinir un modèle politique « à l'africaine », qui tienne compte des composa