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Affichage des articles du mai 6, 2016

Coupe dela confédération dela CAF 2016 match aller du barage Le TP Mazembe au pied du mur : La plus grande partie des regards pointeront dimanche en direction du stade Kamalondo à Lubumbashi. Le vénérable Tout Puissant Mazembe s’apprête à y jouer sa saison. Eliminé de la Ligue des champions Orange dont il était et est encore le tenant de la couronne, il va abattre son va-tout lors des barrages pour l’accession à la phase de poules de la Coupe de la Confédération Orange. Les Corbeaux ne vont pas bien. La pléiade d’internationaux qui composent le groupe a échoué contre le Wydad de Casablanca, actuel leader du championnat marocain et, plus encore, vient de boucler une série de trois matches sans victoire et de 180 minutes sans but. A Lubumbashi on attend désormais avec impatience d’apercevoir le rayon de soleil qui relancera la machine. Le Stade Gabésien, son adversaire ce dimanche, ne figure pas parmi l’élite du football tunisien.

En championnat il occupe la douzième place sur seize et reste sur un nul à la maison face au CA Bizertin. A priori les Congolais sont grandissimes favori de ce match de barrage mais c’est souvent dans de telles circonstances qu’on se laisse piéger. Les Congolais sont prévenus. Ils ont zéro droit à l’erreur. Si Gabès créerait une énorme surprise en écartant le TP Mazembe, on attend, en revanche, la qualification des deux autres clubs tunisiens en lice, l’Etoile du Sahel et l’Espérance. Les Sahéliens, dépositaires du trophée, feront face aux Gabonais du CF Mounana, sans grandes références sur la scène continentale. Les hommes de Faouzi Benzarti, écartés de la Ligue des champions aux seuls tirs au but par Enyimba, ont tous les arguments pour suivre la voie de la saison passée même s’ils sont engagés dans un sacré bras de fer en championnat avec ses deux challengers, le CS Sfaxien et l’Espérance. Les Tunisois sont un peu dans la même position que leurs collègues de So

Nouvel attaque des hommes armée, non identifié, au Sud du térritoire d' Irumu, précisement à Biané, une village situé tout près du centre de katabey, vient d'etre attaqué, dans la nuit, du jeudi 05 mai 2016 avec de pillage, vol, massacre, et des maisons incendiées. Après le passage de ces hommes minue des armes à feu, et arme blanche on assiste à un déplacement dela population en route vers Komanda, Oicha, Beni ville et Butembo. le bilan serait lourd rensegne une source locale dela place.

Au sud du térritoire d' Irumu, deux personnes ont été grièvement blessées à la machette le samedi 14 novembre 2015 dernier au cours d’une attaque des cinq villages de la chefferie de Walese Vonkutu dans le Sud du territoire d’Irumu en Ituri (à la limite avec le Nord-Kivu), ont rapporté lundi 16 novembre les représentants de la société civile locale dela place. Plusieurs biens des villageois ont par ailleurs été emportés par les assaillants, ont-ils précisé. Au regard de leurs modes opératoire, la société civile d’Irumu attribue cette attaque aux rebelles ougandais des ADF, actifs dans la région. Les assaillants portaient des fusils et des machettes. Selon Daniel Erabo Sezabo, président de la société civile locale, les mutins auraient profité du déplacement des FARDC du 905e régiment vers le Nord-Kivu pour opérer dans la quiétude. Ils ont ciblé particulièrement les villages de Madibe, Masomé, Apinzi 1, 2 et 3, situés tous à environ 100 kilomètres au sud de Bunia. Ils ont pillé nota

En ce qui concerne le climat politique en Rdc entre Katumbi et Kabila qui va l' emporter ? : L'opposant congolais Moïse Katumbi a décidé d'officialiser sa candidature à la présidentielle en RDC mercredi 4 mai. Est-ce la bonne stratégie ou bien est-il parti trop tôt comme le déplorent certains au sein de l'opposition ? A Gorée au Sénégal, en décembre dernier, l'opposition congolaise s'était mise d'accord sur une stratégie : pas question d'annoncer une candidature sans la certitude que la présidentielle aurait lieu dans les temps, c'est-à-dire avant fin 2016. Depuis, cette perspective n'a fait que s'éloigner. La commission électorale elle-même estimant qu'il faudrait plus d'un an pour réviser le fichier électoral. Voilà sans doute pourquoi, si elle n'étonne personne, la décision de Moïse Katumbi de se déclarer candidat mercredi 4 mai en irrite certains au sein de l'opposition. A leurs yeux, c'est non seulement prématuré, mais contreproductif.

L'opposant Moïse Katumbi a déclaré jeudi à Lubumbashi avoir écrit à la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco) pour solliciter leur "protection", au lendemain de sa déclaration de candidature à l'incertaine présidentielle prévue avant la fin de l'année. "J'ai adressé une lettre à la Monusco pour solliciter leur protection car je suis en danger, ma sécurité n'est plus assurée", a dit à un journaliste de l'AFP l'ex-gouverneur de l'ancien Katanga. "Depuis ce matin, ma maison a été encerclée par les forces de l'ordre, par quatre fois", a dit M. Katumbi, ajoutant que "deux de [ses] gardes du corps ont été arrêtés à leurs domiciles". Mercredi, le ministre congolais de la Justice a déclaré avoir ordonné l'ouverture d'une enquête sur "le recrutement de mercenaires" étrangers, dont des Américains, liés selon lui à Moïse Katumbi. "Je demande une enquête internationale

Moïse Katumbi vers une mouvement insurectionnel contre les institutions nationaux, en République Démocratique du Congo ? Depuis quelques temps, Moïse Katumbi, ancien Gouverneur de l’ex-province du Katanga et transfuge de la majorité aujourd’hui aligné dans l’opposition, faisait l’objet d’enquêtes sur son implication éventuelle dans des entreprises de subversion et même d’insurrection. Les différentes initiatives des services compétents étaient plutôt présentées comme des actes de persécution d’un opposant par le régime en place. L’intéressé s’en servait pour jouer à la victimisation avec un appui bien curieux de certains milieux occidentaux, principalement américains. Personne, en tous cas, jusque-là, ne donnait le moindre crédit à l’objectivité et la justesse du travail des services de sécurité. Jusqu’à mercredi 04 mai 2016 lorsque le Ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba annonce avoir ordonné une enquête judiciaire sur «le recrutement de mercenaires» étrangers proches de Katumbi.

Selon le Ministre de la Justice, les services se sont intéressés à Katumbi après avoir observé dans son entourage immédiat, après sa démission de ses fonctions de Gouverneur, la présence des gardes du corps d’origine étrangère. Une présence pour le moins suspecte parce qu’en terme de garde rapprochée, il s’agit de « plus de 400 étrangers, anciens marines américains et commando sud-africains (qui) seraient en situation irrégulière au Katanga depuis novembre 2015 au lendemain de la démission de Moise Katumbi en se faisant passer pour des agriculteurs dans la ferme de l’ancien gouverneur ». Certains membres de cette garde – 4 au total dont un américain - ont été arrêtés le 24 avril dernier à Lubumbashi à l’occasion d’une manifestation de l’opposition dispersée par la police. Ces personnes ont été transférées à Kinshasa. Sans détour, le Ministre de la Justice a évoqué la piste d’une « épreuve de coup de force » au cas où les élections ne se tenaient pas dans les délais exigés par l’oppos

Julien Paluku Kahongya est arrivé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni le jeudi 05 mai 2016, après un nouveau massacre des civiles qui a eu lieu, dans la soirée, du 03 mai 2016 où 19 personnes ont trouvé, la mort, à Eringeti. Après son arrivé à Oicha, le gouverneur a présidé, une réunion de sécurité au beaureau du térritoire de Beni. Selon autorité provinciale, c'est avec tous les membres du comité de sécurité provincial que, le Quartier générale est, momentanément, délocalisé, à Beni ville. Selon la même source, l'appartenance aux camps différents ne doit pas enlever aux acteurs socio-polit leurs humanisme. La situation au Nord-Kivu mérite attention. Quand une partie de la Rép est attaquée, cela merite compassion envers le peuple meurtri et non une moquerie suivie de satisfaction. La population de BENI garde espoir que ce qui arrive préoccupe les autorités à tous les niveaux pour qu'en fin la paix durable revienne. D' après une source locale à Eringeti, l'ennemi s'est infiltré des périphéries.

Le gouverneur du Nord-Kivu, qui a directement fait un déplacement à Beni, s’est dit « surpris ». Venu au nom du Président de la République, Julien Paluku a adressé un message de compassion envers les victimes de ce nouveau carnage. « Nous venons voir et essayer de comprendre les enjeux de cette insécurité et voir comment, ensemble avec le comité local de sécurité, juguler cette problématique », a-t-il expliqué à la presse. Les versions sur les vrais auteurs de ces massacres continuent en effet de diverger bien que le procès dernièrement organisé dans ce dossier ait prouvé qu’il s’agit bien de rebelles de l’ADF. C’est la même version qui est donnée par les autorités gouvernementales. Mais dans le grand Nord-Kivu, des curieux continuent à s’interroger sur ceux qui tuent réellement des gens aussi massivement alors que cela n’a jamais été vécu dans la zone. Les quelques rescapés de ces massacres déjà interrogés donnent différentes versions, disant notamment que « ces tueurs s’habillent