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Affichage des articles du février 11, 2017

Précisement en Rdcongo : Qui cherche à récupérer politiquement la disparition de la figure emblématique de l’opposition congolaise ? A peu près tout le monde... majorité et opposition confondues. Presque 10 jours après l’annonce de son décès, le retour de la dépouille d'Etienne Tshisekedi à Kinshasa fait toujours polémique. Et aucune date n’est avancée pour des funérailles que les Congolais veulent nationales. Le décès du patriarche intervient avant la mise en oeuvre d’un accord crucial pour l’avenir politique du Congo. La plus grande confusion règne autour du retour du corps de l’opposant Etienne Tshisekedi à Kinshasa pour ses obsèques. Dans une ambiance plutôt malsaine, majorité et opposition tentent de tirer un avantage politique de la mort du Sphinx de Limete :

Le pouvoir redoute que les cérémonies ne se transforment en manifestation politique et a immédiatement proposé à la famille de mettre à disposition un avion pour rapatrier le corps et la famille à Kinshasa, et de prendre en charge les obsèques. En juillet dernier, le retour d’Etienne Tshisekedi dans la capitale congolaise après deux ans d’exil médical en Belgique avait rassemblé plusieurs centaines de milliers de partisans dans les rues. Un « risque » que les autorités congolaises voudraient bien garder sous contrôle. « Pas de nouveau gouvernement, pas de rapatriement du corps » Du côté l’opposition, pas question de se soumettre aux volontés du pouvoir et d’un gouvernement « illégitime ». L’UDPS à Kinshasa pose même ses conditions au retour du corps de Tshisekedi : pouvoir « définir le lieu et la forme de l’enterrement, l’érection d’un mausolée au centre-ville de Kinshasa et la prise en charge des frais par l’Etat ». Mais surtout, l’UDPS exige la nomination du nouveau Premier ministr

LIGUE DES CHAMPIONS 2017 : LE TOUR PRELIMINAIRE ALLER : L'édition 2017 de la plus prestigieuse compétition interclubs d’Afrique débute ce week-end (10-12 février). Le Coton Sport Garoua, qui affronte Atlabara FC, sera l’un des rares clubs réputés à disputer le tour préliminaire aller de la Ligue des champions :

Pour le tpmazembe, les commentaires faisant suite à la publication d’un article de « Jeune Afrique » font penser que le TP Mazembe réduira son budget, ce qui sous-entendrait une baisse de ses ambitions. Dommage que la direction du club n’ait pas été consultée, car ce sont des assertions qu’elle désire corriger. Voici la nouvelle stratégie du club telle qu’elle nous a été exposée. Le TPM entend diminuer ses recrutements à l’étranger mais n’a nullement rabaissé son budget tel que cela a été affirmé à tort. Le Chairman Moïse KATUMBI a les moyens d’offrir à son club les plus grandes stars du football africain et il n’hésitera pas à le faire si besoin il y a et si l’opportunité se présente. Dans le passé, il a souvent été reproché au club de se tourner vers des étrangers pendant que la RDC révélait des jeunes pétris de talents. Le palmarès du club a démontré que ces recrutements ont été judicieux et efficaces. Ils étaient nécessaires dans la mesure. Rail Kadiogo (Burkina Faso) – Diables N

Le colonel SHABANI de la 31ème Brigade a été vu, selon les prévenus, à maintes reprises à Medina. C’est l’un des prévenus qui ont comparu à l'audience de ce vendredi 10 février 2017 qui a fait cette révélation. Ce prévenu est allé jusqu’à qualifier ce procès de Sketch. Autre révélation qu’il a faite, « aucun ADF n'est égorgeur! » L’auteur de ces allégations s’appelle SULEIMANI ZAKARIA, imam d’une mosquée de Goma. Ce prévenu raconte qu’il a travaillé dans le mouvement ADF. Et de demander que si jamais, il y a un seul ADF déjà attrapé avec des machettes, qu’on le présente en public. Il ajoute que dans la forêt de Beni, il existe trois groupes, à savoir l’ADF, le NALU et les FARDC. Deux autres prévenusont abondé dans le même sens en accompagnant leur co-prévenu dans ces déclarations foudroyantes :

Encore des noms cités, dans le dossier des massacres de Beni. Il s’agit de Nyonyi Bwanakawa Masumbuko Jean Edmond, Maire de Beni et pour une nouvelle fois le général Muhindo Aakilimali alias Mundos. Un autre officier vient d’être cité. Mais selon les autorités provincial du Nord-Kivu, les ADF/NALU recruteraient habituellement dans des Mosquées : les recrutements du groupe rebelle ADF/Nalu se font habituellement au sein des Mosquées dans la province du Nord-Kivu, a indiqué jeudi, le Général Mukuntu Kiyana officier du ministère public près la Cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu qui siège en chambre foraine à Beni dans le procès contre les présumés ADF-Nalu, au cours d’une interview accordée à un correspondant d’une chaine de radio émettant dans la ville de Beni. Cet Officier supérieur l’a déclaré lors de la poursuite des audiences des ADF/NALU en ville de Beni en a ajoutant qu’il y aurait un Imam qui avait été arrêté au mois de septembre 2015 par les services de renseignements à

Accusé d’être un membre de la rébellion des ADF, Suleimani Banza a nié en bloc et a clamé son innocence aujourd’hui face aux juges de la cour opérationnelle militaire de Beni. Ce musulman de nationalité congolaise a même été plus loin en désignant le Général Akili Mundos et certaines autorités politiques de Beni, dont le maire Nyonyi Bwanakawa, comme des éléments moteurs dans les massacres.« La vérité finira par triompher », a ainsi déclaré Suleimani Banza, qui comparaissait aux côtés d’imams congolais. Si le Général controversé est mis en cause depuis plusieurs mois pour son rôle dans l’activité des présumés-ADF à Beni, l’accusation lancée contre le maire de la ville est beaucoup plus étonnante :

Au procès des ADF à BENI, les révélations créent d’autres révélations. Le maire de la ville NYONYI BWANAKAWA était utilisé par l’avocat général des FARDC, le général Major TIMOTHEE MUKUTU pour infiltrer les ADF. Leur stratégie était de ses rapprocher de petits pillons ADF afin de remonter la filière. Devant le premier président de la cour militaire opérationnelle du Nord-Kivu, l’avocat général des FARDC comme ministère public a précisé que le maire NYONYI BWANAKAWA était en contact, sur son autorisation, avec de petits pillons ADF ainsi ces derniers avaient cru qu’il était l’un de leurs chefs et lui livraient les secrets qui lui permettait de remonter jusqu’à leurs chefs. Le maire NYONYI BWANAKAWA, en se faisant passer pour un ADF a ainsi réussi à tirer le ver du nez d’un certain AMULI BANZA SULEYMAN un ADF assez loquace qui a fait la différence entre NALU (Armée nationale pour la libération de l’Ouganda) et ADF (force démocratiques alliées). Selon le Général Major TIMOTHEE MUKUTU, par