Articles

Affichage des articles du mars 4, 2017

C'est, dans tous les cas, ce qu'elle veut croire qu' en République Démocratique du Congo l'opposition est à deux têtes ; Désormais, il revient aux deux dirigeants du Rassemblement et au nouveau président du Conseil des sages de proposer au chef de l'État le nom de celui qui doit conduire le pays aux élections fixées à la fin de l'année 2017. Une direction de choc ? « Le président du Rassemblement (Félix Tshisekedi) représente et engage la coalition auprès des tiers, alors que le président du Conseil des sages (Pierre Lumbi) assumera, dans le cadre de la mise en application de l'accord du 31 décembre, les fonctions du président du Conseil national de suivi de l'accord (CNSA) » qu'occupait Étienne Tshisekedi avant son décès, a expliqué M. Sessanga. Conseiller spécial en matière de sécurité de Kabila (2011-2015), Pierre Lumbi est l'un des sept frondeurs du Groupe de sept partis (G7) qui avaient quitté la majorité en septembre 2015 pour dénoncer les manoeuvres d'actuel chef de l'État afin de s'accrocher au pouvoir selon les acteurs politique d'opposition :

Pas l'unanimité de part et d'autres « Certaines ambitions sont offusquées », a reconnu M. Sessanga, faisant allusion à trois responsables de petits partis du « Rassemblement » qui n'ont pas accepté cette restructuration en quittant la réunion. À l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti phare du Rassemblement, un responsable a déclaré à l'AFP sous le couvert de l'anonymat que « cette restructuration est la conséquence de la naïveté et du manque d'expérience politique de Félix Tshisekedi », sans toutefois la remettre en cause. D'autres, comme l'opposant Jean-Pierre Lisanga Bonganga, joint au téléphone par Politico.cd, déclare : « Nous voulons qu'on prenne en compte deux choses : l'opportunité et le reflet du combat d'Étienne Tshisekedi. Sans contester l'élection de Félix Tshisekedi comme président du Rassemblement, nous trouvons que ce poste est inopportun par rapport aux exigences de l'accord du 31 décembr

Vers un risque d' une éruption volcanique de Nyiragongo, situé dans la province du Nord-Kivu, àl'Est dela Rép Dém du Congo, d'où la plus part des habitants dela Ville de Goma, sont paniqués, ce dernière temp, àla base craignant d'être victimes dela sirène d’alarme qui pourra, avertir la population de Goma en cas d’une éventuelle éruption volcanique a été déclenchée par le gouverneur de province, Julien. Cette sirène qui devrait aller à 20 kilomètres a été réglée en deçà de sa puissance car beaucoup de gens qui étaient au bureau de l’OVG pour cette cérémonie d’essai n’étaient pas munis de casque. JULIEN PALUKU a précisé en kiswahili pour la population que c’est un plan pour les années à venir afin d’avertir la population en cas d’une éventuelle éruption volcanique, mais aujourd’hui, il n’y a pas de risque. Cette étude d’alarme d’alerte à l’éruption volcanique a été menée depuis 7 ans pour éviter l’erreur de la dernière éruption volcanique de 2002, où faute de ce mécanisme d’alerte, une perte considérable des biens et des vies humaines avait été enregistrée dans la ville de Goma :

Un rwandais du nom de YOUSOUF NTAMUHEZA MUNYABUGINGO a été attrapé le mardi 28 février 2017 par la CENI entrain de se faire enrôler au bureau de l’institut MIKENO dans le quartier Ndosho Commune de Karisimbi dans la ville de Goma. Ce sujet rwandais voulait réussir son forfait avec l’aidé du chef de l’avenue M. RWASAMA BITAKI FABIEN au quartier NDOSHO avec trois témoins. Ce chef d’avenue a pris fuite quand son faux témoignage a été remarqué Le rwandais du nom de YOUSOUF NTAMUHEZA MUNYABUGINGO né le 1er janvier 1974 à GATSIBO avec un passeport délivré à KIGALI en république rwandaise le 8 mai 2014 est arrivé à Goma, soi-disant pour une visite, le dimanche 26 février 2017 et est allé s’installer sur avenue RWASAMA au quartier NDOSHO. Avec l’aide du chef d’avenue BITAKI FABIEN, il s’est inventé une nouvelle identité qu’il est né à MASISI le 1er janvier 1974 et qu’il est de la chefferie de BAHUNDE en groupement KARUBA. Ses trois témoins, GRACIA, HUSMA, ESTHER et le dit chef d’avenue auraie

Plutôt dans l’après –midi, la police avait annoncé que les fidèles de Bundu Dia Mayala commençaient à se rendre après que des éléments des forces de l’ordre aient pénétré dans l’enclos de la résidence de leur chef spirituel située dans le quartier Ma Campagne (Kinshasa-Ngaliema) L’assaut des forces de l’ordre avait été lancé à la mi-journée. Un dispositif policier important est toujours déployé aux alentours de la résidence. Des grenades lacrymogènes ont été utilisées par la police contre les adeptes de Ne Mwanda Nsemi qui résistaient en utilisant des jets de projectiles :

La population aux alentours de la maison du président du mouvement politico-religieux Bundu Dia Mayala (BDM) s’est retirée jusqu’à environ 500 mètres du lieu de l’assaut des forces de sécurité. La police veut déloger les adaptes de Ne Mwanda Semi retranchés depuis plusieurs jours dans la résidence. «Des tirs sont entendus à quelques mètres de la résidence où l’on se trouve. Les militants du groupe Bundu Dia Mayala réplique par des jets de projectiles», raconte le reporter d’ACTUALITE.CD. Deux jeeps de la Police sont sorties de la résidence avec à leur bord une dizaine de civils. « Les forces de l’ordre ont réussi à s’introduire dans la cour. Actuellement, ils font face aux jets de pierres de la part des miliciens de Bundu dia mayala. Mais il est un fait certain que dès que le stock de pierres aura tari ils seront mis hors d’état de nuire. D’ici au petit matin ça sera une question réglée,» précise une communication de la police. Christine Tshibuyi ( @ christine ngtsh1). Fi