Vers un risque d' une éruption volcanique de Nyiragongo, situé dans la province du Nord-Kivu, àl'Est dela Rép Dém du Congo, d'où la plus part des habitants dela Ville de Goma, sont paniqués, ce dernière temp, àla base craignant d'être victimes dela sirène d’alarme qui pourra, avertir la population de Goma en cas d’une éventuelle éruption volcanique a été déclenchée par le gouverneur de province, Julien. Cette sirène qui devrait aller à 20 kilomètres a été réglée en deçà de sa puissance car beaucoup de gens qui étaient au bureau de l’OVG pour cette cérémonie d’essai n’étaient pas munis de casque. JULIEN PALUKU a précisé en kiswahili pour la population que c’est un plan pour les années à venir afin d’avertir la population en cas d’une éventuelle éruption volcanique, mais aujourd’hui, il n’y a pas de risque. Cette étude d’alarme d’alerte à l’éruption volcanique a été menée depuis 7 ans pour éviter l’erreur de la dernière éruption volcanique de 2002, où faute de ce mécanisme d’alerte, une perte considérable des biens et des vies humaines avait été enregistrée dans la ville de Goma :

Un rwandais du nom de YOUSOUF NTAMUHEZA MUNYABUGINGO a été attrapé le mardi 28 février 2017 par la CENI entrain de se faire enrôler au bureau de l’institut MIKENO dans le quartier Ndosho Commune de Karisimbi dans la ville de Goma. Ce sujet rwandais voulait réussir son forfait avec l’aidé du chef de l’avenue M. RWASAMA BITAKI FABIEN au quartier NDOSHO avec trois témoins. Ce chef d’avenue a pris fuite quand son faux témoignage a été remarqué
Le rwandais du nom de YOUSOUF NTAMUHEZA MUNYABUGINGO né le 1er janvier 1974 à GATSIBO avec un passeport délivré à KIGALI en république rwandaise le 8 mai 2014 est arrivé à Goma, soi-disant pour une visite, le dimanche 26 février 2017 et est allé s’installer sur avenue RWASAMA au quartier NDOSHO. Avec l’aide du chef d’avenue BITAKI FABIEN, il s’est inventé une nouvelle identité qu’il est né à MASISI le 1er janvier 1974 et qu’il est de la chefferie de BAHUNDE en groupement KARUBA. Ses trois témoins, GRACIA, HUSMA, ESTHER et le dit chef d’avenue auraient été corrompus pour lui apporter de faux témoignages. Ce citoyen rwandais est passé aux aveux pour reconnaitre qu’il n’est pas congolais mais étant visiteur a découvert la rentabilité de business en RDC et a voulu s’enquérir de la nationalité congolaise pour la facilite de ses trafics. Le secrétaire exécutif provincial de la CENI Nord Kivu M. RAPHAEL AKILIMALI, l’a remis à la justice conformément à la loi congolaise qui interdit la double nationalité tout en signifiant que la CENI va porter plainte contre ce rwandais et ses complices.
Le M23, dans son programme de lancer sa nouvelle expédition de rébellion au Kivu et en Ituri, vient de refondre son plan de déploiement initial, tel que BLO le publia il y a quelques semaines. Actuellement, toute la préoccupation de Makenga Sultani et ses hommes de troupes est concentrée sur la ville de Goma qui devient la première cible privilégiée de la rébellion du M23. L’unité constituant l’état major général a été positionnée à Tongo, à l’ouest du territoire de Rutshuru, sous le commandement suprême du colonel Makenga lui-même. Stratégiquement, il a été décidé que la localisation de Makenga, qui tient lieu du quartier général s’établisse plus loin à l’intérieur par rapport à Goma, pour se mettre à l’abri d’une contre-offensive directe des forces de l’armée nationale pouvant facilement trouver de renfort en utilisant l’aéroport qui s’y trouve. Cependant, Makenga pourra déménager à Goma aussitôt après la prise de contrôle de cette ville par deux unités qui sont déjà déployées en positions avancées pour l’encercler.
L’une d’elles s’est installée dans le rayon de Kibumba, dans le parc de Virunga, sous le commandement du Lieutenant-Colonel Willy MIHIGO alias SECO ou SECOPER, qu’on reconnaît être frère direct à Laurent Nkunda. Un de ses principaux objectifs est de couper la ville de Goma de ses sources d’approvisionnement par l’axe nord. L’unité militaire du M23 de Kibumba est une force assez dense dont la ramification se tend de Rugari à Kibumba, jusque dans les volcans de Nyiragongo, se rapprochant des contrées de Kibati. La sérenité de cette unité provient du fait qu’elle a la facilité de recevoir de renfort, en cas de besoin, à partir des partenaires du M23 se trouvant dans les pays voisins de l’Est, et d’avoir l’avantage d’un bon terrain de repli de...
La représentation de la communauté musulmane de BENI, se dit inquiète du contenu du livre « L’avènement du djihad en RD Congo : les islamistes ADF, un terrorisme mal connu » du journaliste NICAISE KIBEL BEL OKA. Les membres de cette communauté sont allés, jeudi exprimer leur inquiétude auprès du maire de la ville. L’imam chargé des cultes musulmans à BENI, le Cheikh ALI AMIN, dit que beaucoup de révélations dans ce livre concernant l’islam sont discutables. Notons que notre confrère précise dans son livre que le recrutement pour la formation au djihad se passe dans les mosquées et l’islamisme radical a bel et bien infiltré la communauté islamique du Congo et la COMICO est impuissante face à cette infiltration. Le Cheikh ALI AMIN demande que le maire de la ville le réunisse avec le journaliste NICAISE KIBEL BEL pour certains éclaircissements car le lecteur de ce livre peut avoir des préjugés. Le journaliste écrivain de 58 ans réplique que les gens s’agitent inutilement car le livre ne parle pas de la COMUCO mais des islamistes. En plus les événements actuels situent les djihadistes dans le RUWENZORI tandis que la COMUCO est à BENI.
Revenu du territoire de BENI où il était en mission, le professeur COME SEKIMONYO WA MAGANGO demande à la CENI de ne pas se focaliser sur la date d’ouverture des centres d’enrôlement mais de prolonger le délai selon la date du début effectif des opérations d’enrôlement. Le professeur SEKIMONYO WA MAGANGO dit avoir été à OICHA, à BENI, à BUTEMBO et dans un village de LUBERO où il a pu constater l’engouement pour l’enrôlement mais le début avait été difficile suite au problème d’insécurité et il faut en tenir compte.

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