La monnaie congolaise continue, de perdre sa valeur dans le tôt de change de dollards, contre le franc congolais, sur toute l'étendu nationale du pay : ce qui alimente, l' instabilité d'activités commerciale dans la région de Beni-Lubero vers l'Est dela République Démocratique du Congo précisement, au Nord-Kivu ce dernier temp, la vie des paysans, devient de plus en en plus intenable, en particulier en territoire de Beni-Lubero, où à part l’insécurité qui a jeté des milliers d’habitants sur le chemin de déplacement, d’exil, des milliers des pauvres citoyens qui ayant fuis leurs terres, leurs champs, leurs villages par crainte d’être égorgés, de se voir calciné dans leurs maisons, aujourd’hui ils se retrouvent coincé par le taux de change, qui rend la vie de plus en plus difficile, la vie devient intenable, et curieusement personne n’en parle, les victimes n’ont que leurs deux yeux pour pleurer et des bouches pour se lamenter, et de se laisser embarquer par « une naïveté qui ne dit pas son nom, sans que aucune autorité compétente ne s’en inquiète, et on se fie à accepter l’inacceptable.» ! Nous sommes en face des autorités qui profitent de notre « naïveté », au point que si nous ne résistons pas à leur façon de faire, rien ne changera, et ils vont continuer à nous traiter comme leurs moutons :...............
Tôt de change dollards contre franc congolais, alimente, l' instabilité d'activités commerciale dans la région de Beni-Lubero vers l'Est dela République Démocratique du Congo précisement, au Nord-Kivu ce dernier temp, la vie des paysans, devient de plus en en plus intenable, en particulier en territoire de Beni-Lubero, où à part l’insécurité qui a jeté des milliers d’habitants sur le chemin de déplacement, d’exil, des milliers des pauvres citoyens qui ayant fuis leurs terres, leurs champs, leurs villages par crainte d’être égorgés, de se voir calciné dans leurs maisons, aujourd’hui ils se retrouvent coincé par le taux de change, qui rend la vie de plus en plus difficile, la vie devient intenable, et curieusement personne n’en parle, les victimes n’ont que leurs deux yeux pour pleurer et des bouches pour se lamenter, et de se laisser embarquer par « une naïveté qui ne dit pas son nom, sans que aucune autorité compétente ne s’en inquiète, et on se fie à accepter l’inacceptabl