Des hommes armés en provenance del'Ouganda sont entrée encore de nouveau dans la partie Est du térritoire de Beni, situé au Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : ONG la CRDH dénonce avec la dernière énergie l' Incursion des éléments de l' armée Ougandaise ( UPDF ) tous vêtus en tenue militaire updf et bien armés, dans la nuit du lundi 10 octobre 2016, vers 23heures locale. d'après une sources dela société civile dela place, ils sont passés par les villàges Mampopia et bugando dans le groupement Bahumu dans la chefferie de Watalinga. une situation qui créée une psychose au sein des habitants de ce coin du pay, craignant un éventuel massacre de cette dernière. Pour rappel, la CRDH a denoncée hier lundi un deployement terrible de l'armée Ougandaise avec des armements importants à la frontière Congolo- Ougandaise mais, certains parmi nous ont pris cet alerte à une blague d'amis. Chers tous, l'heure est plus que grave. Prenons nos responsabilitésen mains comme des bons citoyens de cette République. Signalons ici bas que ce groupe des hommes armés venu des pays étrangers n'ont pas à leurs première incursion dans la région de Beni dépuis des années à nos jours. !
Un génocide est en cours à Beni. Ceci devient de plus en plus clair et dramatiquement manifeste. En effet, un génocide ne se définit pas a le nombre des personnes tuées, mais par les motivations des tueurs. Tuer une personne pour des raisons de divergence biologique ou culturelle est un acte de génocide. En plus, un génocidaire ne revendique souvent pas ses crimes. Il stigmatise la catégorie visée par des calomnies et des discours de appelant au mépris ou à la haine. Sans ouvertement parler de génocide, les commanditaires tiennent des discours qui poussent à justifier des violences contre les victimes. On les traite de porte malheur, de tribalistes, de riches, de privilégiés...bref, de responsables des misères de la contrée et de leurs propres malheurs. A présent, essayons de comparer ce qui se passe à Beni aux caractéristiques des génocides. La ressemblance est frappante. D'abord, les tueries ne sont pas accompagnées du moindre discours politique. On tue la population. Point barr...