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Affichage des articles du août 18, 2016

Dépuis quelques jours en République Démocratique du Congo, l’analyste Kajepa voit la main de Katumbi dans le feu qui frétille au sein des acteurs politique du parti l’Udps, ce dernier temp. Selon ce compatriote, le leader de l’Udps se serait brûlé les doigts, derrière son alliance contre-nature avec l’ancien gouverneur du Katanga Moïse Katumbi. L’analyste pro-Majorité revient à la charge. Cette fois-ci, il s’intéresse à l’Udps dont il lit, à sa manière, de mauvais signes de temps. Kajepa Molobi, fidèle à sa ligne, voit dans l’éviction de Bruno Mavungu de l’Udps, des dissensions nées d’une affaire mal négociée. Selon lui, en effet, des tireurs des ficelles, tapis dans l’ombre, auraient recommandé sa mise à l’index, un peu comme pour se débarrasser d’un homme devenu, apparemment, trop encombrant. !

Le texte intégral, ci-dessous, remet à la surface des questions de fond à l’Udps et invite, en même temps, ses cadres à la vigilance patriotique. Les dollars de Katumbi brûlent les doigts du lider maximo Voilà quelques jours, nous nous inquiétions, dans les colonnes de ce journal, qu’un des partis politiques incarnant l’opposition congolaise depuis de nombreuses années ait été vendu. Nous n’avons pas caché l’identité de l’acheteur, ni même celle du vendeur. Nous savions que ceux qui ont consacré leur force et leur intelligence à implanter cette organisation dans la société congolaise ne laisseront pas ce patrimoine national qu’est l’UDPS, perdre son âme en tombant entre les mains d’un mercenaire qui a pour seule ambition politique de vendre le pays tout entier aux multinationales pour empocher quelques millions au passage. Notre cri a été entendu au-delà de nos espérances. L’exclusion du Secrétaire Général, M. MAVUNGU, ne s’explique que par le fait qu’il a tenté à de nombreuses rep

La présence d'un groupe des rébélles minis, des haches, machettes, couteaux, et des armes à feu individuel, a été signalé, de plus, à Mulolya : Un village situé, tout près, àl'Ouest d'Oicha, dans la journée du mercredi 17 août del'année, en cours. Face à cette situation d'instabilité sécuritaire, déja, les habitants de ce coin, étaient entrain, de quitté cette localité craignant, d'être victimes des massacres des civils encours, dans le térritoire de Beni. Mais sélon la société noyau d'Oicha, qui disait que, ces rébélles seraient, parmi les Adf qui ont attaqués la localité de May-Moya, dans la nuit du mercredi, 17 août 2016 où, deux civils ont été tués, lors d'une nouvel incursion dans les heures nocturne. Signalons ici bas que, dans cette même attaque un autre habitant dela place a été, grièvement blessé. Ces criminels du groupe des Adf-Nalu, sont toujours visible tout, près des grandes aglomérations du térritoire entier, qui est, la cible d'incursions répétitive, meurtrière ces derniers années antérieur.

Qui sont réellement les ADF Nalu ? Les ADF-Nalu (Forces démocratiques alliées – Armée de libération de l’Ouganda), sont une rébellion ougandaise qui sévit dans la région du « Grand Nord », partie septentrionale de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Edouard, fief de l’ethnie Nande. Une région devenue une "poudrière" La rébellion de l’ADF-Nalu sévit dans la région du « Grand nord », partie nord de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Edouard, fief de l’ethnie Nande. C’est « une poudrière », s’alarme, sous couvert d’anonymat, un expert militaire occidental, redoutant que cette rébellion ne devienne un nouveau foyer de troubles qui s’appuierait sur les revendications des Nande qui s’estiment aujourd’hui délaissés par Kinshasa. Dans la journée de ce mercredi 17 août 2016, un convoi des hommes armés, a été aperçu, par un groupe des taximans d'Oicha, à Mulolya une localité situé, conté

De nouveau couvres-feu, est instauré à Beni ville, et Butembo dans les deux villes situés, dans la partie Nord dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, à partir de ce jeudi 18 août 2016 : Aucune circulation et la présence dela des habitants n’est autorisée de 19 heures trente à 6 heures du matin. Selon Jean Edmon Bwanakawa Nyonyi, l'actuel maire dela ville de Beni, c’est pour faire face à l’insécurité dans ce territoire que cette décision a été prise. En plus du couvre-feu, le Conseil du urbain de la ville, a aussi interdit aux populations d’exercer les activités champêtres dans les zones opérationnelles, pendant la nuit. Mercredi 17 août dans la soirée, le climat des tensions a baissé, dans cette ville la cible de dernier, attaque meurtrière qui a coûté la vie, à plus de cinquante civils, et àl'heure actuel, un calme timide s'observe, dans tout les quartiers dela ville, après une vive tension entre les policiers, appuyés par les millitaires Fardc, et les manifestants, à majorité des hommes, femmes, et enfants, avec des banderoles portés, à leurs têtes sur les quels ont pouvait lire nous voulons la paix, durable dans la région de Beni, et non la guerre ! Nous sommes fatigué, et nous demandons à notre gouvernement central, et la Monusco de bien protéger la population, victimes de plusieurs éxactions, et crimes grave contre l'humanité, avec des massacres succèssive. Dépuis le matin de ce jeudi 18 août 2016 les gens sont visible dans les avenues, mais pas comme d'abitude ! quelques portes des magasins, boutiques, pharmacies, kiosques, alimentions, sont ouvert. De part et d'autres, on observe des hommes, femmes, enfants, qui se régroupent pour, évaluer la marche dela population à Beni ville, et térritoire, dans toute journée du mercredi 17 août 2016.

Le calme est revenu dans la soirée du mercredi 17 août à Beni ville, au (Nord-Kivu), après une vive tension observée suite aux manifestions des jeunes organisées dans la matinée pour protester contre le massacre des civils dans le territoire de Beni. Selon le maire de Beni, Nyonyi Bwanakawa, trois personnes ont été tuées lors de ces manifestations. Jusque ce mercredi tard dans la soirée, plusieurs militaires FARDC et les éléments de la police quadrillaient encore les entrées principales de Beni et le boulevard Nyamwisi, l’artère principale de la ville que tentaient d’emprunter les jeunes pendant leurs manifestations. D’après Nyonyi Bwanakawa, les manifestants étaient venus, des différentes entités voisines de la ville de Beni. Il annonce un bilan de trois morts: «La plupart des manifestants sont venus des entités voisines à la ville de Beni. Et le bilan définitif fait état d’un policier tué. Il y a un manifestant qui avait reçu une balle perdue et malheureusement il en est aussi