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Affichage des articles du juin 9, 2017

La MONUSCO a remis officiellement au Procureur chef de Parquet près du Tribunal de Paix de Beni en République Démocratique du Congo, une salle d’attente pour accueillir les justiciables. Le Parquet près du Tribunal de Paix de Béni dispose dorénavant d’une salle d’accueil pour les justiciables : la cérémonie s’est déroulée en présence du maire de la ville de Béni ainsi que des autorités judiciaires civiles et militaires. Ce projet à impact rapide, initié par la section d’appui à la justice et a l’administration pénitentiaire de la MONUSCO, contribue à l’amélioration des conditions d’accueil des justiciables puisqu’ils seront désormais abriter du soleil et des intempéries en attendant d’être reçus par les magistrats :

« Cette réalisation, qui entre dans la coopération visible entre la MONUSCO et la RDC dans le domaine de la justice en ville de Béni, nous apporte un réconfort de taille. Cette salle d’attente va accueillir des hommes, des femmes, des jeunes et des vieux qui viennent au quotidien pour nous présenter leurs doleances afin d’y apporter des solutions appropriées et ce, en vertu des pouvoirs conférés par la loi » a souligné le Procureur Jean-Claude Batsieba Mayasi, chef de Parquet près du Tribunal de Paix de Béni. Le Maire de la ville de Béni a, quant à lui, a insisté sur le fait que l’amélioration des conditions d’accès à la justice et les conditions d’accueil des justiciables permettent aussi de lutter contre le phénomène de justice populaire. « La justice élève toute une nation. Il n’y a pas de démocratie sans justice » a-t-il poursuivi. Ce projet à impact rapide, d’un montant d’environ six mille neuf cent dollars américains, rentre dans le cadre du renforcement des institutions à l’Es

Après le dernier cas enlèvement des deux agens dela CROIX-ROUGE par un groupe d' inciviques dans la province du Nord-Kivu en proie d' insécurité grandissante de plus en plus, vers la partie Est dela République Démocratique du Congo, Le Comité International de la Croix-Rouge (CICR), a, dans un communiqué publié ce jeudi 8 juin 2017, suspendre jusqu’à nouvel ordre, «tous ses déplacements prévus dans le Nord-Kivu» après l’enlèvement de ses deux agents mercredi dernier au sud du territoire de Lubero (Nord-Kivu). Le CICR suspend tous ses mouvements après enlèvement de ses employés. Le CICR intervient dans la distribution des vivres et des biens de première nécessité en faveur de 5,000 familles au sud de Lubero notamment dans les villages de Kamandi-Gite et Kikuvo. «De tels actes constituent en effet une atteinte à la sécurité des acteurs humanitaires et pénalisent avant tout des populations déjà durement touchées, les privant ainsi de l’assistance dont elles ont désespérément besoin», déplore Christine Cipolla, cheffe de la délégation du CICR en RDC et plaide pour la libération “immédiate” des otages “sains et saufs”. «Nous sommes restés sans leur nouvelle depuis hier. Il y a des informations selon lesquelles les Mai-Mai les ont amenés à Kandole mais on a pas des précisions. Hier même nos services ont été sur le terrain pour retrouver leurs traces mais malheureusement les assaillants ont pris une autre direction» :

Une certaine population de NYAMILIMA est de connivence avec les MAI-MAI. Le commandant de l’opération SOKOLA2 qui mène des offensives contre les groupes armés a réuni la population de NYAMILIMA ce mercredi afin de les avertir de se désolidariser d’avec ces groupes armés qui écument le parc national de VIRUNGA. Selon notre confrère AUSTERE MALIVIKA qui a assisté à ladite rencontre, les MAI-MAI qui sévissent dans le parc national de VIRUNGA et particulièrement dans la région de NYAMILIMA qui ont d’ailleurs attaqué et incendié une position des FARDC à NYABITARE sont des enfants de NYAMILIMA, KISHARO, BURAMBA, ISHASHA, LUNYASENGE de LUBERO mais aussi des natifs de RUTSHURU cité et de KIWANJA. Le commandant de l’opération SOKOLA2 a aussi demandé aux parents de sensibiliser leurs enfants à choisir la vie en quittant la brousse. Ajoutons que des bataillons des commandos sont envoyés là-bas pour le ratissage mais également pour permuter d’autres militaires. Procès des ADF à Beni: le colonel