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Affichage des articles du avril 14, 2016

Ingérence dans les affaires intérieur dela Rdcongo : Le peuple congolais n’acceptera jamais que son pays tombe de nouveau dans la tentative de balkanisation à laquelle il a pu échapper grâce à la vigilance de ses dirigeants. Depuis quelque temps, l’on assiste à un remue-ménage dans les chancelleries occidentales en RDC, lesquelles s’immiscent de manière ostensible dans les affaires intérieures congolaises comme si l’on était encore à l’époque de la guerre froide. Période sombre pour le Congo-Kinshasa, pour avoir perdu un leader charismatique, Patrice Lumumba, accusé à tort de « communiste » et froidement assassiné par les forces du mal. A ce jour, tous ces agissements observés auprès de ces partenaires, qui frisent clairement le « néocolonialisme », laissent croire que, malgré leur indépendance conquise aux années 60, les pays africains continueraient à recevoir des ordres de ceux-là mêmes qui les avaient colonisés. Faute de quoi, il faut remplacer leurs dirigeants qui résistent à « leurs maitres à penser ».

Dans cette servitude où l’on veut encore enfermer le Congo-Kinshasa, le peuple congolais n’acceptera jamais que son pays tombe de nouveau dans la tentative de balkanisation à laquelle il a pu échapper grâce à la vigilance de ses dirigeants. Ces derniers se sont battus jusqu’au sacrifice suprême pour préserver l’intégrité territoriale du Congo, son indépendance, l’unité nationale, la paix, la sécurité et la cohésion nationale. Ces acquis ont permis d’amorcer aujourd’hui le développement et la modernisation du pays, avec comme point d’orgue son émergence à l’horizon 2030. Dès lors, il serait dommage de voir ces acquis être mis en cause par ceux qui voient d’un mauvais œil la RDC user de sa souveraineté pour diversifier sa coopération avec des partenaires d’autres continents comme l’Asie. Certes, dans cette vision de développement, Kinshasa n’a pas rejeté ses partenaires traditionnels, loin de là. Son souci majeur est de coopérer avec tout le monde sans exclusive pour réussir son essor

Beni Lubero : climat politique au sein du peuple Nande-Yira après la défection dela majorité présidentiel du président nationale du RDC/KML mr Mbusa Nyamwisi, avant les élections du 28 novembre 2011 : toute fois le président Joséph Kabila Kabange avait-il accepté le pardon de Mgr Sikuli Vasaka Makala ? Il ya quelques mois Melchisedech Sikuli avait démandé pardon au nom du peuple nande à Kabila pour avoir vêtu son ti-shirt portant sa photo à une chèvre. Mgr pensait que cet acte peut être la source des plusieurs difficultés qui nous frappent ce dernier temps, nous mêmes aussi on pensait que après ce pardon notre calvaire prendra fin. Aujourd'hui nous nous étonnons de voir Kabila continuer à nous tourner fort le dos. "On ne se fatigue pas pendant que le batiment est encore en chantier" Nous voulons voir Mgr partir encore auprès de Kabila et lui supplier d'accepter son pardon enfin que nous soyons en paix. L’imprévisible Mbusa Nyamwisi rejoint l’opposition Antipas Mbusa Nyamwisi a finalement rompu avec le suspens quant à sa position politique.

Lors d’une conférence de presse tenue le lundi 12 septembre 2011 à Kinshasa, ce leader du RCD/K-ML a annoncé sa volonté de contribuer pour une alternance politique en RDC. L’ancien Ministre à la décentralisation de la RDC invite les partis politiques et organisations de l’opposition à harmoniser leurs vues pour une alternance crédible en RDC. C’est clair, Mbusa Nyamwisi a rejoint l’opposition. Il fallait s’y attendre. Le RCD/K-ML, son parti politique, n’a jamais signé son adhésion à la Majorité Présidentielle. Avant l’annonce de sa candidature, Antipas Mbusa Nyamwisi ne vivait plus dans sa résidence officielle de la Gombe. Il avait opté pour une résidence privée dans la commune de Kintambo avant de se rendre en Afrique du Sud. Preuve qu’il n’était plus en bon terme avec le pouvoir. Nul n’ignore qu’il a été, avec d’autres, à la base de la création d’un courant novateur au sein de l’alliance pour la Majorité présidentielle. Pour lui il y a des gens dans des officines informelles qui

Hôpitale générale de référence d' Oicha : les prestataires de soins continue avec leurs mouvement de grève. Les infirmiers et médecins en zone de santé d’Oicha viennent d’étendre le mouvement de grève sur la semaine de ce lundi 11 avril au samedi 16 avril. Cette mesure a été prise au cours de l’assemblée générale évaluative qu’ils ont tenu dimanche 10 avril dernier dans la salle de réunion de l’Institut Technique médicale/Oicha. Dans cette séance, les agents de santé ont évalué leur mouvement de grève lancé depuis lundi 4 avril dernier où seulement le service minimum est rendu au public dans tous les 25 aires de santé que compte la zone d’Oicha. Le porte parole de l’intersyndical des associations de santé signale que la première phase de cette grève a été respectée par toutes les structures sanitaires de la zone de santé. Dr Janvier ajoute aussi que certaines autorités, sans dire lesquelles, ont promis répondre aux revendications de prestataires de santé.

Le mouvement de grève déclenché, par la FEC centre de négoce du chef lieu du térritoire de Beni à Oicha, dépuis lundi 04 avril 2016 à paralysé également les activités commerciales, et quelques activités des soins de santé, à l' hôpitale générale d' Oicha. Des boutiques, magasins, et petits commerces sont fermés sur l' axe routier, Mavivi Kainama. Une nouvelle assemblée évaluative sera tenue à la fin de la semaine en cours. Les grévistes se disent conscients des conséquences qui peuvent découler de cette grève au niveau de la communauté, mais ils veulent rappeler aux autorités congolaises certaines promesses qu’elles ont tenues afin de régler différents problèmes liés à l’insécurité qui ronge la zone depuis plus de deux ans. D’après Dr Janvier LUKANDO, c’est pour le bien être de la population que les médecins et infirmiers sont en grève. Rappelons que parmi les points revendiqués par les grévistes figurent la prise en charge du personnel soignant et la restauration de la pa

Nord-Kivu Julien Kahongya ordone la libre circulation dela population dans tout les Barrières dela province : La semaine passée, sur la radio de Beni le Maire de ville Nyonyi Bwanakawa a fait passer un communiqué qui exige sur ordre du gouverneur du Nord-Kivu de ne plus demander de cartes d’électeurs ni aucun autre document à un poste de barrière! Voici en intégralité son communiqué (l’audio) Une manière de déclarer la libre circulation des personnes et des biens sur toute l’étendue de la province ! Une mesure à saluer ? A priori, le communiqué peut donner à penser à un gouvernement responsable qui veut enfin que ses filles et ses fils circulent librement, comme il se doit dans un pays qui respecte les droits de ses citoyens. Et vu les tracasseries dont elles étaient victimes à chaque poste de contrôle, les populations vont certainement s’en réjouir et saluer cette mesure. Elles ne seront plus humiliées. Elles ne recevront plus fouettées. Elles n’auront plus à payer pour faire passer son sac de manioc ou son panier de poissons.

Le gouverneur et tous ceux dont il est au service se sont rendus compte que les stratégies qu’ils ont mises à place pour réaliser leur projet d’invasion ne sont plus un secret et que le peuple n’est plus dupe. Ce qui les mettait dans une position de plus en plus incertaine, quant à leur avenir politique. Exiger de ne plus demander aux voyageurs leurs cartes d’identité n’est qu’un changement de stratégie pour précipiter l’invasion du territoire à plus bref délai et la balkanisation du pays. D’ailleurs leur plan de balkanisation est déjà voué à l’échec car les peuples congolais ont compris et ils sont prêts à défendre leur Pays au prix du sang et de leur vie. Il y va donc de l’unité et de l’intégrité du territoire qui viennent d’être violées par cette décision. Que faire ? Au niveau local Le peuple du grand Nord doit se lever comme un seul homme, à travers ses structures citoyennes notamment la société civile, contre cette décision et exiger sans conditions le retour au contrôle de to

En acceptant le dialogue, l’UDPS veut que les conséquences soient tirées des élections chaotiques de 2011 et surtout qu’un nouveau calendrier électoral consensuel soit mis en place,. Car, pour cette formation politique c’est le contentieux électoral non réglé de 2011 qui est à la base de la situation déplorable dans laquelle se trouve la RDC depuis 2011. Ce qui plonge la RDC, selon l’UDPS, dans sa feuille de route, «dans une nouvelle crise de légitimité qui ne permet pas à l’Etat Congolais de fonctionner normalement ». Ainsi, le contentieux électoral de 2011 se trouve être la cause essentielle de la crise politique actuelle en RDC. C’est pourquoi, dans la conception de l’UDPS, ce dialogue doit mettre autour d’une table deux camps : « Etienne Tshisekedi et ses alliés pour le camp du changement, d’une part, et Joseph Kabila et les siens pour le camp du statu quo». Selon l’UDPS les résultats attendus du dialogue doivent permettre d’identifier les responsables de la fraude électorale des élections du 28/11/2011.

« Il faudra que les responsables à l’origine de la fraude électorale soient écartés de la gestion du pays à tous les niveaux et du déroulement du processus électoral en cours », souligne le même document. L’ULTIMATUM DU 24 AVRIL « Eu égard aux expériences passées, les cyc1es électoraux 2006 et 2011 où les membres de la CENI ont été instrumentalisés, il convient de mettre en place une CENI dont les membres sont constitués de manière paritaire, à savoir 12 membres dont 6 sont désignés parle camp du système KABILA et 6 autres désignés par le camp du changement; mais tous devront être choisis uniquement au sein de la Société civile ». C’est ce qu’attend l’UDPS du dialogue en ce qui concerne le processus électoral. Par ailleurs, le parti de la 10ème rue attend que le dialogue remette en cause la désignation des membres de la Cour constitutionnelle. « Nous prenons note de la promulgation de la loi organique portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle (du 15 octobre

Eden Kodjo consulte, quelques classe, politique avant la ténue du dialogue : l’UDPS n’a plus d’objection fondamentale pour que le dialogue ne puisse se poursuivre. A ce jour, mr Kodjo a bésoin d’un peu de temps pour ceux qui ne sont pas chaud parce qu’il y a un dialogue inclusif. Mais on ne peut pas non plus rester indéfiniment sans avoir la moindre perspective pour un pays aussi déterminant dans le continent africain. C’est la raison pour laquelle il laissera toujours la place pour les frères qui exprimeront le besoin de s’asseoir avec nous. Au sujet des délais constitutionnels Edem Kodjo explique que tous les jours qui passent sont des jours qui ne nous permettent pas de dire que nous allons respecter ces délais dans les meilleures conditions. Alors que faisons-nous ? Est-ce que nous allons attendre pour que le délai soit épuisé pour commencer à nous poser des questions ? Ou bien, en hommes d’Etat, prudents et généralement avisés, nous voyons quelles sont les dispositions qu’ensemble autour d’une table.

Plus d’objection pour l’UDPS S’agissant des partis de l’opposition, Edem Kodjo dit avoir noté une grande évolution, notamment en ce qui concerne l’UDPS. « J’avais été à Bruxelles moi-même pour rencontrer notre aîné, le président Etienne Tshisekedi et nous avons discuté ». A l’époque, mentionne-t-il, il y avait un doute sur la position de l’UDPS sur la poursuite du dialogue. Pendant que j’étais à Paris, j’ai rencontré la veille de Pâques une délégation conjointe de l’UDPS et de la mouvance présidentielle, qui m’a fait part du désir de l’UDPS, si on levait un certain nombre d’équivoques, notamment par rapport à M. Edem Kodjo s’il était facilitateur ou envoyé spécial. Ce qui a permis à Mme Zuma de définir le vrai travail du Facilitateur de manière claire et nette. A partir de ce moment là, l’UDPS n’a plus d’objection fondamentale pour que le dialogue ne puisse se poursuivre avec Edem Kodjo comme facilitateur international. Selon lui, la grande première étape était de savoir si l’UDPS