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Affichage des articles du juin 13, 2017

Les millitaires congolais FARDC, appuyées par la Force de la Monusco et les gardes de parc de l’Institut national de conservation de la nature (ICCN), ont repris à des groupes armés plusieurs villages au sud du lac Édouard, dans les territoires de Rutshuru et Lubero, au Nord-Kivu, a annoncé ce mardi 13 juin la mission onusienne. « Ces opérations conjointes, menées depuis trois semaines, visent à neutraliser les groupes armés qui sévissent dans cette région, et y commettent toutes sortes d’exactions contre les civils. La Monusco apporte essentiellement un appui technique et logistique aux FARDC, aussi appuyées par les gardes de l’ICCN », ajoute la même source qui précise que dans le territoire de Lubero, les villages Tchondo, Chanika, Birua, Kamuhororo, Kafunzo ont été repris. À ce sujet, le térritoire de Rutshuru situé dans la la province du Nord-Kivu, àl' Est dela République Démocratique du Congo, plusieurs villages et localités sont repris aux mains des miliciens Maï Maï, et autre groupes armés, 8 900 ménages toujours en fuite :

Des pêcheries situées sur la côte ouest du Lac Édouard, notamment Kamandi, Lunyasenge, Vuhoyo, où ces groupes armés ont installé leurs quartiers généraux en vue des activités criminelles, ont aussi été détruits. Cette opération a notamment occasionné la mort de deux cadres du groupe armé Mai-Mai Charles et l’arrestation de douze miliciens. Une vingtaine d’entre eux se sont rendus aux FARDC et à la Monusco, alors que des armes et des munitions ont été récupérées. Georges Katsongo, président de la coordination territoriale de la Société civile, cité par la MONUSCO, estime que plus de 8 900 ménages sont toujours en fuite. Les FARDC, appuyées par la Force de la Monusco et les gardes de parc de l’Institut national de conservation de la nature (ICCN), ont repris à des groupes... L’attaque contre la prison de Beni en ce jour, entrainant la libération de tous les criminels redoutables qui s’y trouvaient, intervient juste un jour après le même genre de phénomène contre la prison de Matete

Après la dernière attaque meurtrière contre la prison centrale de KANGBAYI en Ville de Beni dans la partie Est dela République Démocratique du Congo, le président d' une ONGDH-CEPADHO, le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) Omar Kavota accuse la rébellion ougandaise des ADF d’être l’auteure de l’attaque contre la prison de Beni survenue le dimanche 10 juin 2017. Omar Kavota souligne que le mode opératoire de cette attaque prouverait que c’est les ADF qui en sont les auteurs. Attaque de la prison de Beni : Omar Kavota (CEPADHO) accuse les ADF Le président du Le Centre d’études pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) Omar Kavota accuse la rébellion ougandaise des ADF... Dassault pyscauses s'observe d' ici et là. en Ville et térritoire de Beni, au conté Est dela République Démocratique du Congo, après l’évasion de dimanche dernier, 11 juin 2017 courant, ou beaucoup de commerces n’ont pas ouvert ce lundi. Donc la ville de Beni s’est réveillée, timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de :

"La prison de Kangwayi de la ville de Beni a été attaquée par des assaillants dont l'identité n'est pas encore connue. Lors des échanges de tirs entre les forces de l'ordre et les assaillants, nos services ont [comptabilisé] 11 morts dont 8 éléments des forces de l'ordre", a déclaré à la presse le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku. "Pour l'instant, sur 966 prisonniers, il ne reste que 30 détenus dans la prison". Psychose à Beni après l’évasion de dimanche, beaucoup de commerces n’ont pas ouvert ce lundi. La ville de Beni s’est réveillée timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de... La ville de Beni s’est réveillée timidement ce lundi 12 juin 2017 au lendemain de l’attaque de la prison centrale Kangbayi ayant causé l’évasion de la quasi-totalité de détenus, soit 936 sur 966. «Il y a la psychose. Beaucoup de commerces n’ont pas o