Articles

Affichage des articles du juin 26, 2019

Après l'incendie du véhicule dela riposte contre maladie à virus Ebola en Beni-Ville le député national Julien - kahongya monte au créneau

Image
🇨🇩✍🏿  LE DÉPUTÉ NATIONAL ÉLU DE CE TERRITOIRE, JULIEN PALUKU, INVITE UNE FOIS DE PLUS LA POPULATION À COLLABORER AVEC LES ÉQUIPES DE LA RIPOSTE D'UNE MALADIES À VIRUS EBOLA.  Donc pour lui, l’éradication de la maladie à virus Ebola à Beni, Butembo et Lubero passe par un engagement ferme de toutes les couches de la population. Ceci implique notamment la collaboration avec les équipes de riposte contre Ebola et l’observance des règles d’hygiène édictées par le personnel soignant. Cet appel vient de Julien PALUKU KAHONGYA, député national élu du territoire de Lubero. Dans son message audio adressé ce Mardi 25 Juin aux habitants de Lubero, Beni et Butembo, Julien PALUKU KAHONGYA regrette au plus haut point le nombre des morts causées par la maladie à virus Ebola, depuis son apparition dans cette partie de la Province du Nord Kivu. Il plaide de nouveau pour une franche collaboration entre la population et les équipes de riposte, particulièrement dans le territoire de Lube

Beni-Rdc ; La réouverture de l’axe routier Mbau-Kamango par le commandement des opérations Soko 1 qui pourtant était fermé à cause de l’activisme des ADF

Image
🔴BENI-NEWS : APRÈS LA TUERIE DES TROIS ÉLÈVES SUR L’AXE MBAU-KAMANGO, L’ARMÉE DEMANDE À LA POPULATION DE NE PAS ALLER LOIN DU PK25. La population du territoire de Beni devra veiller au strict respect des instructions données par l’armée loyaliste pour emprunter les axes jadis interdits de fréquentation, notamment l’axe MBAU-KANGO. Propos du major MAK HAZUKAY tenu ce mardi 25 juin 2019 devant la presse de Butembo. Commentant l’incident survenu lundi dernier sur cet axe avec la mort par balle de trois élèves finalistes, le porte-parole des opérations SUKOLA I parle des victimes des tirs croisés de l’ADF et des FARDC. Il n’existe pas d’insécurité zéro dans toutes les régions du monde. D’après le major MAK HAZUKAY, seul le civisme de la population compte pour éviter des pertes en vies humaines. Il invite les uns et les autres à ne pas se servir de l’annonce de la réouverture graduelle de l’axe MBAU-KAMANO, pour trafiquer sans aucune précaution. Le porte-parole des opérations SU

Kasindi - Rdc ; Si la population réclame l’ouverture d’une audience publique, c’est son droit ( société civile )

Image
🔴Kasindi-Beni térritoire : l’autorité locale rassure de la tenue d’une audience publique contre 10 présumés bandits présentés à la population. « Nous voulons que la justice soit appliquée après l’arrestation et la présentation de ces 10 présumés bandits ». Ces propos tenus le mercredi 22 mai dernier par la population de Kasindi ont eu une réponse rassurante ce lundi 24 juin. Outre l’apport de la société civile locale, l’autorité locale confirme avoir amorcé des lobbyings afin qu’une audience publique soit organisée au cœur du poste frontalier de Kasindi. La population avait demandé à l’autorité compétente d’organiser une audience publique après la présentation de 10 présumés bandits par le chef du secteur Rwenzori devant le bureau communal. Kambale Sivavuyirwa Bathélemy, représentant de l’Etat à Kasindi encourage ses administrés et rassure.  La semaine passée j’étais avec le procureur de la République. Je lui ai demandé d’organiser chaque fois les audiences foraines à Kasindi

Guidon Shimiray Mwissa est pointé du doigt dans l'augmentation des cas de viols à Masisi, Walikale, Lubero, et Rutshuru vers l'Est de la Rdc

Image
🔴🙊🙉🙈RDC : le chef de guerre Guidon sous le coup d’un mandat d’arrêt Guidon Shimiray Mwissa est notamment pointé du doigt par plusieurs sources dans l’inquiétante augmentation des cas de viols dans le Masisi, au Nord-Kivu. La justice militaire congolaise du Nord-Kivu a émis un mandat d’arrêt contre Guidon Shimiray Mwissa. RFI s’est procuré le document daté du 7 juin 2019, dont le procureur militaire, le général Timothée Mukuntu, a confirmé l’authenticité. « Participation à un mouvement insurrectionnel », « crime de guerre par recrutement d’enfants » et « crime contre l’humanité par viol ». Voilà les motifs qui figurent sur le mandat d’arrêt lancé contre Guidon Shimiray Mwissa par la justice militaire, qui avait ouvert un dossier contre lui en mars 2018. Depuis, plusieurs victimes ont été entendues, précise l’auditeur général de l’armée Timothée Mukuntu. Déjà sous sanctions de l’ONU, le chef de guerre est à la tête depuis 2015 d’une coalition de groupes armés, baptisée N