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Affichage des articles du mars 22, 2016

La Communauté Yira du monde entier pleure aujourd'hui la perte d'un des plus grands artisans de la paix, de la justice et de la démoctatie. Le Père Vincent Machozi; le réunificateur du peuple Nande. Un combattant de la liberté. Il était un exemple puissant de sacrifice et de force de l'âme. Son courage, son humilité, son amour envers sa Communauté, sa Province et sa République ont assuré sa place dans l'histoire. Sa vision nous guidera toujours. Nous sommes inspirés par son engagement pour la promotion de la paix, la justice, le developpement et la Communion en Rdc. Père Vincent Machozi a été mon intime ami, conseiller et formateur dans mon domaine des droits humains. Il m'a montré qu'un changement fondamental en RDC et en Afrique est possible et doit être poursuivi lorsque la liberté et le bien être d'un peuple sont en Cause. A dieu Père Vincent Machozi mon collaborateur et père spirituel. Nous allons poursuivre votre combat jusqu'au bout.

48h avant son assassinat, Le Père assomptionniste VINCENT MACHOZI, Président mondiale de la communauté nande (Yira), a publié ce qui suit sur son site "beni-lubero online" et qui peut être considérer comme son testament au peuple congolais : Deux hommes dela nationalité, rwandaise lourdement, armés avec passeports tanzaniens sont arrêtés à Isale-Bulambo D’après une source proche de l’ANR Isale-Bulambo, le jeudi 17 mars 2016, deux rwandais armés ayant comme documents de voyage des passports de la République Unie de Tanzanie ont été arrêtés à Bulambo, Groupement Isale-Bulambo, Cheffferie des Bashu, Territoire de Beni, Province du Nord-Kivu, R.D.Congo. L’arrestation a eu lieu à la barrière du service Transcom à l’entrée de l’agglomérationde Bulambo, chef-lieu du groupement Isale-Bulambo. Les deux sujets rwandais étaient interpellés lors d’un contrôle de routine par les agents du service Transcom dont la mission est le contrôle des documents des engins roulants (permis de cond

Vie politique en Rdc après le chaos des élections du 28 novembre 2011 : Est-il encore possible d’organiser la présidentielle dans les limites constitutionnelles, c’est-à-dire avant le mois de décembre ? C’est à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de le dire mais à mon humble avis, ce n’est plus possible. Il ne nous reste que trente-six semaines pour intégrer sur les listes les électeurs qui viennent d’atteindre la majorité, pour réviser complètement le fichier électoral et ensuite le publier. Et lorsque la Ceni se sera prononcée, nous devront établir des responsabilités. N’avions-nous pas, nous, parlementaires, voté des budgets à la Ceni qui ne lui ont pas été attribués ? Je pense que le pouvoir a intentionnellement refusé d’organiser les élections. Etienne Tshisekedi, le Chef de l’UDPS, avait accepté un « pré-dialogue » avant de se rétracté. Ses atermoiements ne sont-ils pas l’une des raisons du retard qui a été pris ? Le respect des textes et l’Etat de droit ont toujours été sa boussole.

Dispositions constitutionnelles Aux termes de l’article 73 de la Constitution, « le scrutin pour l’élection du Président de la République est convoqué par la Commission électorale nationale indépendante, quatre-vingt dix jours avant l’expiration du mandat du Président en exercice ». « Le Président de la République élu entre en fonction dans les dix jours qui suivent la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle. Avant son entrée en fonction, le Président de la République prête, devant la Cour Constitutionnelle, le serment ci-après : « Moi…. élu Président de la République Démocratique du Congo, je jure solennellement devant Dieu et la nation : *.d’observer et de défendre la Constitution et les lois de la République ; *.de maintenir son indépendance et l’intégrité de son territoire ; *.de sauvegarder l’unité nationale ; *.de ne me laisser guider que par l’intérêt général et le respect des droits de la personne humaine ; *.de consacrer toutes mes forces à l

OMS : Journée mondiale de lutte contre la tuberculose 2016: s’unir pour mettre fin à la tuberculose 24 mars 2016 À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre la tuberculose, l’OMS appelle les gouvernements, les communautés, la société civile et le secteur privé à «s’unir pour mettre fin à la tuberculose». L’OMS et les partenaires encouragent le dialogue et la collaboration qui permettent d’unir les individus et les communautés autour de nouveaux moyens de mettre fin à l’épidémie de tuberculose. OMS Ces efforts pluridisciplinaires et plurisectoriels permettent, d’une manière générale, d’accélérer les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable, en contribuant à d’autres domaines, notamment l’élimination de la pauvreté, la couverture sanitaire universelle, la santé de la mère et de l’enfant, la protection sociale et la justice.

La tuberculose est toujours responsable de près de 4 500 personnes chaque jour, malgré des efforts considérable à travers le monde. En France, la survenue de cas groupés relance le débat sur la vaccination systématique par BCG, abandonnée depuis 2007. Le point à l'occasion de la journée mondiale contre la tuberculose. La tuberculose est une maladie infectieuse transmissible, avec des signes cliniques variables. Provoquée par une mycobactérie, elle atteint le plus souvent les poumons (des formes plus rares s'attaquent aux os, aux reins, aux intestins...). Autrefois soignée dans les sanatoriums, elle a été réduite par l'utilisation des antibiotiques dans les années 50. Mais dans le monde, la maladie continue de tuer une victime toutes les 20 secondes ! "Les mesures prises un peu partout dans le monde pour enrayer l'épidémie de tuberculose sont en train d'avoir un impact. Toutefois, ce recul est bien trop modeste. Si, grâce aux efforts coordonnés à l'échelle

Situation politique en Rdcongo chaqun vise son intérêt personnel : Conseiller de la République, Roland Ngoie Kiloka analyse froidement la situation politique actuelle du pays concernant le processus électoral qui se trouve actuellement en impasse. Pour ce membre de la Commission des affaires étrangères, intégration régionale, juridique et administrative au Conseil économique et social, l’opposition « médiatique » et un groupe d’ONG nationales dont ACAJ et l’ASADHO, ne disent pas la vérité au peuple, par rapport aux vrais problèmes du processus électoral. Il explique que la Constitution de la République recommande à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de convoquer l’électorat pour la présidentielle 90 jours avant la fin du mandat du chef de l’Etat. Or, le fichier électorat de 2011 pose un vrai problème reconnu de tout le monde. Il faudra en exfiltrer plus de 2 millions de personnes décédées, intégrer plus de 10 millions de nouveaux majeurs et aussi identifier puis enrôler les Congolais de l’étranger.

L’opposition, en ces jours dit-il, parler d’ailleurs d’un fichier électoral « corrompu ». A la Majorité présidentiel, on reconnait les imperfections de ce fichier et on appelle à sa réactualisation. Donc, la révision intégrale du fichier électoral s’impose, tel que préconisé par la CENI qui a l’expertise technique en la matière. « On ne peut pas aller aux élections avec ce fichier de 2016. C’est évident. Comment alors convoquer un électorat qui n’existe pas jusqu’à présent ? Qui doit aller élire ? Si nous voulons des élections techniques, il faut suivre la CENI. Si nous voulons des élections politiques, il y aura des contestations », prévient Roland Ngoie Kiloka. Et de poursuivre : « L’opposition médiatique et quelques ONG connaissent toutes ces difficultés et ne veulent pas dire la vérité à la population ». Devant ce tableau, la voie royale pour résoudre ce problème reste le dialogue, soutient-il. Par ailleurs, concernant l’interprétation du deuxième alinéa de l’article 70 de la Co