Articles

Affichage des articles du avril 8, 2017

Le Générale MBANGU MARCEL Secteur Nord et son collègue FALSIKABWE qui contrôle le partie Sud tout les deux, évaluent les opérations contre les ADF, dans la région de Beni, situé dans la province du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocratique du Congo ; Selon le Premier sources différentes, les tueurs ce sont les ADF-Nalu. Il ne faut pas chercher ailleurs. Mais l'exercice d'aujourd'hui devant la notabilite de Beni, pour les un c'est un bilan depuis la scission du secteur avec possibilité soit de rester ou d'être remplacer ou encore de déclaré finie cette OPS, Gen. bangu et Falsikabwe : La mort brutale et plus ou moins mystérieuse des officiers Mamadou Ndala (janvier 2014) et Lucien BAUMA (août 2014), le non-paiement régulier de la solde des militaires engagés, au front et surtout l’implication des officiers dans le commerce illégal des ressources naturelles, notamment le bois, l’or et le coltan, constituent des éléments qui ont contribué à l’affaiblissement de l’armée. À ce propos, il faut aussi souligner que ce commerce illégal auquel s’adonnent certains officiers de l’armée est financé par les fonds mêmes qui devraient servir au paiement de la solde des militaires. Selon la journaliste Caroline Hellyer, il est possible que les derniers massacres commis dans le territoire de Beni soient l’œuvre des ADF, mais ça pourrait être aussi l’œuvre de certains miliciens maï-maï qui ont des liens avec les ADF. En effet, quand ils ont des intérêts communs, les ADF et les groupes maï-maï peuvent travaillent ensemble, mais il peuvent se dissocier ensuite. Le procès des présumés auteurs de l’assassinat du colonel Mamadou Ndala, chef de l’opération militaire Sokola 1 menée, à partir de janvier dernier, contre les ADF, a récemment fourni quelques détails qui révèlent une complicité confirmée de certains officiers de l’armée congolaise avec les ADF. Le 3 novembre, devant la cour militaire de Beni, un ancien officier rebelle ADF dont le visage a été masqué et l’identité non révélée, a accusé un haut officier FARDC, le lieutenant colonel Nzanzu Birosho, d’avoir reçu, du haut commandement des rebelles ADF, une somme de 27.000 dollars américains, pour planifier un coup meurtrier contre le colonel Mamadou Ndala. Toujours selon l’ancien chef rebelle ougandais, c’est le colonel Nzanzu Birosho des Fardc qui aurait organisé l’embuscade dans laquelle est tombé le colonel Mamadou Ndala. C’est lui qui aurait donné la trajectoire du convoi du colonel Mamadou et l’heure à laquelle il avait quitté Beni pour se mettre sur la route de Mavivi en partance pour Eringeti. L’ancien officier rebelle ADF a expliqué aussi comment c’était le colonel Nzanzu Birosho qui, au sein des FARDC, avait la charge de contacter les Adf pour des opérations diverses. C’est lui qui leur livrait des armes, des munitions, des tenues militaires, des renseignements sur les opérations et d’autres moyens nécessaires à leurs activités criminelles. Sur la base de ce témoignage, le 7 novembre, le ministère public de la Cour militaire de Beni a requis une peine à perpétuité contre le colonel des FARDC, Birocho Nzanzu, poursuivi pour trahison, participation au mouvement insurrectionnel dénommé «ADF-Nalu», en lui fournissant munitions, uniformes et insignes de grade. Pour le ministère public, ce lieutenant-colonel a directement participé à l’assassinat du colonel Mamadou, en fournissant un appui essentiel au commando es ADF qui a tué le colonel Mamadou Ndala. Ça arrange tout le monde de tout labelliser ADF. C’est le meilleur moyen de nuire au Président Joseph Kabila, à l'armée congolaise et à la Monusco. Attribuer l’accomplissement de ces massacres à l’ADF permet d'envoyer toutes sortes de messages, tels que "le président Kabila ne contrôle pas le territoire", "les FARDC sont incapables d'anéantir, les groupes armés. Les ADF en font partie et c’est cela qui leurs a permis de survivre pendant si longtemps, de se disperser en petits groupes pendant la première phase de l’opération militaire Sokola menée contre eux et, probablement, de se réorganiser quand l’opération militaire contre elles a connu une baisse d’intensité. Même selon le Rapport final du Groupe d’experts pour la RDCongo du 23 janvier 2014, l’ADF finance ses activités grâce à un réseau d’entreprises et de contacts dans les villes de Butembo, de Beni et d’Oicha au Nord-Kivu. Pour cela, les ADF ne sont pas un groupe aux contours clairement définis. Les ADF sont mélangés avec la population. Certains peuvent être votre voisin de maison. D’autres ne sont actifs qu’une partie du temps. En bref, les ADF font partie d’un réseau plus vaste composé de politiciens et des responsables militaires locaux, d’hommes forts et de certains groupes d’intérêts économiques. Ce serait une lecture dangereuse de la situation. Ce réseau criminel a souvent, la main mise sur certaines parties du commerce, de l’économie locale, de la société civile, de l’armée, de la politique, et de l’administration publique, en térritoire de Beni.... :

L’objectif de cette réunion était d’évaluer l’opération «Sokola 1» lancée depuis plus de quatre mois par l’armée régulière dans la région, avec l’appui de la Force de la Monusco. L’insécurité provoquée par les rebelles de l’ADF dans le territoire de Beni, préoccupe de plus, le gouvernement congolais. C’est ce qui explique la rencontre qui a eu lieu, le vendredi 07 mars 2017, entre Mbangu Mashita, et Falsikabwe. L’Etat-major général des Forces armées de la RDC (FARDC) a divisé en deux secteurs opérationnels le commandement des opérations Sokola 1 au Nord-Kivu, ont indiqué vendredi 2 septembre des sources militaires à Radio Okapi. Ce changement de stratégie mis en place depuis mardi dernier vise à accentuer la pression militaire sur tous les groupes armés actifs dans les territoires de Beni et Lubero. Le premier secteur de commandement porté désormais le nom du « Secteur opérationnel Sokola 1 Nord ». Il est placé sous le commandement du général Marcel Mbangu. Sa base été fixée dans

EN Rép Dém du Congo, les acteurs politique sont entrain, d'aller vers un climat des tensions : Les membres d'une partie politique UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), la principale formation de l'opposition, dénonce la "présidence à vie programmée" de Joseph Kabila. La République démocratique du Congo a un nouveau premier ministre qui n'est pas sur la même longueur d'onde que le président Kabila. Le président congolais Joseph Kabila a nommé vendredi l'opposant Bruno Tshi­bala Premier ministre, selon une ordon­nance présidentielle lue à la télévision na­tionale. Ce dernier se retrouve donc pro­pulsé à la tête d'un gouvernement de tran­sition chargé d'organiser une élection pré­sidentielleà la fin de cette année. Cette décision devrait aviver les tensions au sein de l'opposition au chef de l'Etat après l'échec, la semaine dernière, d'une médiation visant à mettre en oeuvre l'ac­cord du 31 décembre dernier sur les mo­dalités de son départ. La RDC se trouve dans une impasse poli­tique depuis le 19 décembre, date à la­quelle le président Joseph Kabila a achevé son mandat mais a décidé de se mainte­nir au pouvoir. Or Tshibala a été exclu de l'UDPS le mois dernier après avoir contesté la désigna­tion des successeurs à Etienne Tshisekedi, le fondateur de l'UDPS mort le 1er février dernier à l'âge de 84 ans. Bruno Tshibala est un ancien secrétaire général adjoint et porte-parole de l'UDPS :

L'ancien Secrétaire général adjoint de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), Valentin Mubake, a donné un meeting dans son domicile à Kinshasa, expliquant les dessous de son éradication du parti, qu’il réfute pourtant. « En présence de son Directeur de Cabinet, le président Kabila m’a dit: moi on m’a donné deux dossiers [il fait allusion aux deux points de blocage au niveau de la CENCO: la Primature et la présidence du CNSA], alors j’ai décidé de lancer les consultations pour trouver une solution à ce problème. Et donc je t’ai invité comme personnalité politique, avec l’expérience que tu as… qu’en penses-tu?« , relate M. Mubake sous les acclamations de ses partisans. « Kabila m’a dit, ma répétition avec UDPS n’a pas commencé aujourd’hui. Je n’ai jamais voulu médiatiser ça, à la demande des intéressés. Pas plu tard que les jours passés, Félix [Tshisekedi] était ici, avec le Conseiller spécial du président Sassou Nguesso, Monsieur Abbas. Moi je croyais qu’il étai

Après la nomination de Bruno Tshibala à la tête de l’exécutif, en République Démocratique du Congo, les réactions fusent de partout, dans les quatres coins du monde ce, dernier temp. Le président de l’ASADHO estime que, cette nomination viole l’esprit de l’Accord du 31 décembre et la Constitution de la République. D’après Jean-Claude Katende, en nommant, Tshibala à la Primature, Joseph Kabila a choisi, la voie de la confrontation avec le peuple congolais. « En choisissant de violer respectivement, la Constitution et l’Accord politique, le président a choisi, la voie de la confrontation avec l’opposition et le peuple congolais. Une voie de nature à plonger encore le pays dans un chaos indescriptible », a dit Jean Claude Katende. Le défenseur des droits de l’homme estime que tout comme Samy Badibanga, Bruno Tshibala aurait une tâche difficile pour mettre en exercice son plan de travail qui devrait conduire notamment à l’organisation des élections, car, dit-il, il est nommé dans des conditions de débauchage :

Le secrétaire général de l’UDPS explique qu’il n’était pas question de répondre aux consultations initiées par Joseph Kabila que son parti considère comme le problème, avant la signature de l’Arrangement particulier. Selon lui, les discussions avec le leadership devaient concerner uniquement la question de la nomination du Premier ministre. “Il est le problème et nous, nous n’avons pas intérêt à le transformer en solution. Nous savons qu’il a toujours donner l’impression d’être la solution. Monsieur Kabila souffle le chaud et le froid. Et comment vous voulez que nous allions nous faire consulter chez Monsieur Kabila en qui nous ne reconnaissons aucune légitimité en dehors de l’Accord qu’il a intentionnellement bloqué ? Nous lui avons demandé qu’avant toute rencontre avec le leadership du Rassemblement, il doit donner des signaux forts, avant tout avec la signature de l’Arrangement particulier et c’est dans le cadre de la désignation du Premier ministre qu’une discussion pouvait se ten

Dans une ordonnance présidentielle lue à la télévision nationale, Bruno Tshibala a été nommé, au poste de Premier ministre de la République démocratique du Congo. « Le Président de la République, vu la constitution, telle que modifiée par la loi n°11/002 du 20 Janvier 2011 portant révision de certains articles de la constitution du 18 février 2006, spécialement en ses articles 78,79 et 90 ; vu l’accord politique pour l’organisation des élections apaisées, crédibles et transparentes en république démocratique du congo. ORDONNE : 1. Est nommé au poste de premier ministre tshibala Tshishimbi bruno. 2. Sont abrogées, toutes les dispositions antérieures contraires à cette ordonnance« , dit l’ordonnance présidentielle. Cette nomination intervient dans le cadre de l’application de l’accord du 31 décembre dernier. L‘ancien Porte-parole du Rassemblement et Secrétaire général adjoint de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a été nommé par ordonnance présidentielle au poste de Premier ministre par le président Joseph Kabila, conformément à l’annonce faite mercredi. Bruno Tshibala nommé Premier ; Peu de temps après l’annonce officielle de cette nomination, Martin Fayulu, député congolais et membre de l’autre aile du Rassemblement qui soutenait la candidature de Félix Tshisekedi à ce poste, fait savoir que les opposants congolais maintiennent la marche prévue pour le 10 avril prochain pour demander l’application de l’accord signé le 31 décembre dernier. « Le Rassemblement confirme la marche pacifique du lundi 10. Congolais, n’oubliez pas que c’est le PEUPLE D’ABORD. Mobilisons-nous! » lance le député national Martin Fayulu via son compte Twitter. Premier parti membre du Rassemblement à réagir le PSN (Parti au Service du Peuple) affirme pour sa part que cet accord du 31 décembre a été « violé », appelant également à population à rejoindre cette mobilisation. « La constitution a été violée. L’accord de la St Sylvestre gardait le pays du chaos total. Et maintenant l’accord a été aussi violé. Nous revenons à la case de départ et le peuple n’a autre choix que de se prendre en charge. Au rassemblement et a la dynamique nous appelons la population a se mobiliser en force en appui à la manifestation lancée par le Rassemblement« , écrit Eric Bukula, Secrétaire général de ce parti membre de la Dynamique et l’opposition. Ancien Secrétaire général adjoint de l’UDPS, M. Tshiabala a rejoint la dissidence au sein du Rassemblement en mars dernier. Il se considère pourtant comme membre du parti d’Etienne Tshisekedi. À ce sujet, Martin Fayulu appelle à la mobilisation générale le 10 avril A l’issue de la nomination de Bruno Tshibala au poste du Premier ministre, le député Martin Fayulu, cadre du Rassemblement, appelle à la mobilisation générale pour la marche prévue le 10 avril prochain, mais dans ce stade pour c'est difficile de savoir ce qui va arriver, encore une fois de plus :

La République démocratique du Congo a un nouveau Premier ministre. Il s'agit de Bruno Tshibala, l'ancien secrétaire général adjoint de l'UDPS, le parti d'Etienne Tshisekedi. Ancien parce qu'il a été exclu il y a quelques semaines après s'être désolidarisé de la nouvelle direction du parti. Sa nomination est le résultat des tractations entre la majorité présidentielle et une frange de l'opposition après l'échec de l'application de l'accord signé le 31 décembre dernier entre pouvoir et opposition. Détenteur d’un diplôme en droit, Bruno Tshibala est connu comme membre de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) depuis de longues années. Lui-même revendique 36 ans de lutte aux côtés de l’opposant historique Etienne Tshisekedi. Originaire du Kasaï, ce sexagénaire a été secrétaire général adjoint et porte-parole de l'UDPS avant d’être désigné porte-parole du Rassemblement des forces acquises au changement. Mais Bruno Tshibala a

En Rdcongo ; Lambert Mende le porte parole du gouvernement central affirme que, la nomination de Bruno Tshibala respecte l’esprit de l’accord signé le 31 décembre entre le Pouvoir et l’Opposition, qui confie ce poste au Rassemblement. « Le Président [Kabila] a exercé son pouvoir discrétionnairesur base de la liste qui lui a été transmise par le Rassemblement« , dit le ministre congolais. Pour lui, cette nomination intervient après que Joseph Kabila ait accordé suffisamment de temps aux opposants pour mettre fin à leurs divergences, considérant que le Président a fait la volonté du Rassemblement, puis qu’il a reçu de leur part une liste de candidats. « Après avoir donné un délai d’élégance au Rassemblement pour régler ses problèmes internes. Mais puisqu’il a reçu quand même une liste, il y a choisi au sein du Rassemblement une personnalité dont il est incontestable qu’elle est de cette plateforme de l’opposition… donc nous n’avons pas à considérer que cela a été fait en dehors de l’accord du 31 décembre« , explique Lambert Mende :

Une information anodine, mais tout de même intéressante. Bruno Tshibala Nzenze, qui vient d’être nommé, par le président dela République Démocratique du Congo, le vendredi 07 avril 2017, au poste de Premier ministre, par ordonnance présidentielle est toujours poursuivie par la justice congolaise. Alors que, cette nomination de M. Tshibala, qui fait partie d’une aile dissidente et minoritaire du Rassemblement, risque d’être boudée, par une partie de l’opposition, Lambert Mende demande à se remémorer de « la » personne du nouveau Premier ministre, parlant qu’il est un « opposant incontestable« , rappelant son séjour en prison à la fin de l’année dernière. « Nous n’avons jamais rêvé d’une figure qui fasse unanimité dans ce pays. Nous sommes en démocratie, et il n’y a jamais de l’unanimité (…) Déjà, au sein d’un même groupe qui s’appelle Rassemblement, il y a des dissensions, forcément lorsqu’on parle de désigner une personnalité à la tête d’une institution publique comme le gouvernement