Articles

Affichage des articles du avril 10, 2016

Rdcongo dans un climat des tensions au sein des classes, politique: le G7 l' un de parti politique del' opposition, rejette catégoriquement le Dialogue National et met en garde Edem Kodjo : dans une conférence de presse ce samedi 9 avril 2016 au cours de laquelle, il rejette le Dialogue national et met en garde Edem Kodjo. Le G7 dit s’inscrire dans la logique de la résolution 2277 du Conseil de Sécurité qui réaffirme le respect de la Constitution et l’organisation des élections dans les délais qu’elle prescrit. Lesquels peuvent encore être respectés, dit ce regroupement politique. « Le peuple congolais n’acceptera jamais un troisième faux penalty », affirme le G7. Le G7 relève que dans le communiqué de l’Union Africaine qui annonce la nomination d’Edem Kodjo comme facilitateur, il n’est nullement fait mention de la résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies. « Le G7 souligne que la mission confiée à Kodjo n’a de chance de réussir que si elle s’intègre dans la résolution 2277 du Conseil de Sécurité.

L'opposition en ordre dispérsé, peut présenter, un seul candidat ? Katumbi a levé un coin de voile sur les consultations qui mènent auprès des opposants. Prolongement du mandat de Kabila ou son 3e mandat ? Le peuple ne sera pas d’accord. Le mandat du Président de la république, c’est un mandat du peuple congolais. Même la MP est d’accord avec nous sur ce point. Le Président de la république n’a pas le droit d’avoir le 3e mandat ou une prolongation de son mandat actuel. Concrètement qu’est-ce que vous ferez ? Nous sommes en pourparlers avec le Front citoyen, avec toutes les forces vives pour que nous ayons des marches pacifiques au mois de juillet. Pourquoi mois de juillet ? Parce que c’est la période des vacances de nos enfants. Nous ne voulons pas qu’à cause de la politique que nos enfants ratent l’année scolaire 2016. Il y a 15 mois, il y avait des manifestations à Goma et à Kinshasa notamment. Il y a une dizaine de morts à la suite de la répression policière. Le pouvoir vi

Dialogue nationale en République Démocratique du Congo : bientôt le comité préparatoire ; Réagissant à la nomination d’Edem Kodjo par l’Union Africaine comme facilitateur du dialogue national en RDC, Aubin Minaku salue la constance de J. Kabila. La présidente de la commission de l’Union africaine, Dr Nkosazana Dlamini Zuma, a nommé l’ancien Premier ministre togolais Edem Kodjo facilitateur du dialogue national en RDC. Dans un communiqué publié sur son site Internet mercredi 6 avril, l’Union africaine indique que cette nomination « vise à aider à la convocation d’un dialogue global, en vue de régler les problèmes liés aux prochaines élections » en RDC. Tout en saluant l’acte posé par Mme Zuma, l’honorable Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale et Secrétaire général de la Majorité Présidentielle estime qu’il était important que tous, majorité-opposition, peuple congolais, opérateurs politiques, société civile, nous puissions saisir la portée, l’importance de cette décision. Il l’a dit à la presse internationale convoquée à cet effet, hier en son cabinet de travail.

«Le G7 espère que monsieur Edem Kodjo ne vient pas ici [à Kinshasa] pour transformer la grand-messe voulue par ider la Majorité présidentielle à créer une nouvelle légitimité extraconstitutionnelle», a interpellé samedi 9 avril Olivier Kamitatu, cadre de cette plateforme de l’opposition, au cours d’une conférence de presse. La présidente de la commission de l'Union africaine (UA), Dr Nkosazana Dlamini Zuma, a nommé l’ancien Premier ministre togolais Edem Kodjo facilitateur du dialogue national prévue dans quelques jours à venir en RDC selon la MP. «[Cette désignation] n’est encore moins une occasion pour transformer la grande messe voulue par la majorité présidentielle en assemblée constituante qui élaborerait une nouvelle constitution et instituerait un nouvel ordre politique sur le modèle de la deuxième République», a martelé Olivier Kamitatu. Ce cadre du G7 ne souhaite pas non plus que l’arrivée d’Edem Kodjo remette en cause la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nation

Les autorités du Congo-Kinshasa, en colère contre les étrangers, surtout les américains en ce jours : Mr Jason Stearns, chercheur américain spécialiste de la RDC a été expulsé du Congo après avoir été cité dans un article publié de l’agence de presse américaine Bloomberg consacré à une personne proche du président congolais Joseph Kabila et dont le nom est repris dans les “Panama Papers” dévoilant des investissementsde certaines personnalités à travers le monde dans des paradis fiscaux. Les autorités de Kinshasa ont expulsé un chercheur américain spécialiste de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris vendredi de source officielle. Selon une source diplomatique, Jason Stearns, directeur du Groupe d’étude sur le Congo à l’Université de New York, a été renvoyé jeudi soir par avion en Europe d’où il devait gagner les États-Unis vendredi. M. Stearns “a trompé les services de l’immigration” sur son lieu de résidence à Kinshasa, a déclaré à l’AFP un haut responsable congolais, ajoutant que l’universitaireavait été invité en RDC “par une ONG qui n’est pas régulièrement enregistrée” dans le pays.

Le dossier suspectant les mouvements « Y’en a marre » et « Balai Citoyen » d’être instrumentalisés par les Américains pour déstabiliser la République Démocratique du Congo RDC continue à défrayer la chronique à Kinshasa où un conseiller du président Joseph Kabila persiste à pointer le doigt accusateur sur l’implication américaine via l’ambassade US à Ouagadougou qui aurait boutiqué le complot sans succès. La descente à Kinshasa des mouvements citoyens ouest-africains « Y en a marre » et « Balai citoyen », respectivement du Sénégal et du Burkina Faso, continue à défrayer la chronique. Pour Kinshasa, il s’agit d’une tentative de déstabilisation du régime Kabila. Un conseiller diplomatique, très écouté, du chef de l’Etat, Joseph Kabila, pointe du doigt accusateur les américains. Qui par l’intermédiaire de leur ambassadeur à Ouagadougou, ont planifié et financé le déplacement et le séjour dans la capitale congolaise des activistes sénégalais et burkinabé. Il s’agit d’un diplomate, origina