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Affichage des articles du mars 3, 2016

Afrique des présidens pointent leurs nez en 2016 sur les deux rives du fleuve Congo (République démocratique du Congo et Congo) et au Bénin et avec elles, le spectre d'une révision constitutionnelle. La tentation de modifier la loi fondamentale pour briguer un énième mandat se précise. Les jeunes, dirigés en moyenne par des hommes qui ont trois fois leur âge, sont les premiers à s'y opposer. L’ancien président burkinabè Blaise Compaoré espérait modifier, encore une fois, la Constitution pour briguer un nouveau mandat présidentiel en 2015 après vingt-sept ans de règne. Il a été obligé de quitter le pouvoir le 31 octobre 2014. S’attaquer à la Constitution à la veille d’un scrutin présidentiel s’apparente à une figure imposée sur le continent. Plus de la moitié des pays d'Afrique subsaharienne où la limite des deux mandats présidentiels a été atteinte a respecté cette «tradition» entre 1990 et 2008 selon le rapportsur la gouvernance en Afrique, publié par la Commission des Nations unies pour l’Afrique en 2009.

2001 Assassinat de Laurent-Désiré KABILA en République Démocratique du CongoLe 16 janvier, le président congolais est assassiné par son garde du corps au palais présidentiel de Kinshasa. Son fils Joseph est immédiatement désigné pour lui succéder. 2002 Tentative de coup d’Etat en Côte d’Ivoire et début de la rébellionLe 19 septembre, des soldats rebelles venus du Burkina Faso prennent les villes de Korhogo (Nord) et Bouaké (Centre) et occupent progressivement la moitié nord de la Côte d’Ivoire. 2003 Accords de Marcoussis sur la crise ivoirienneSignés le 26 janvier à Linas-Marcoussis (France), ces accords entérinent le maintien au pouvoir du président Gbagbo,la formation d’un gouvernement d’union nationale et la mise en place d’une force internationale d’interposition. 2003 Premier Sommet de l’Union Africaine à Maputo (Mozambique)Créée en 2002 à Durban(Afrique du Sud), l’Union Africaine met en place ses nouvelles institutions : Commission,Parlement panafricain,Conseil de paix et

Rdc : la Majorité présidentielle et leurs alliés avec d' autres composante comme, Palu affirment, le soutien, fidélité, appui à l’autorité morale envers le président dela République Démocratique du Congo Joseph Kabila Kabange soulignons que, les députés du PALU, élus de la Ville province de Kinshasa ont affirmé leurs détermination à soutenir, la main dans la main les actions politiques sociaux économique du chef del' État congolais qui continue de réconstruire le pay pétit à pétit après une période dela guerre d' agréssion, déclaché par les pays voisins. Ce, dans une déclaration lue hier devant la presse par- l’honorable Marie Muabi Tumba. Cette déclaration fait suite à la fronde du Groupe de 7 chefs des partis politiques. Ci-dessous, la déclaration lue par l’honorable Marie Muabi Tumba. Nous, Honorables Députes élus de la ville de Kinshasa et Membres de la Majorité Présidentielle et de son Allié, le PALU. - Suivons attentivement évolution et marche de notre famille politique et tenons à rappeler ce qui suit :

Décidément, Henri Mova Sakanyi le sécretaire générale du pprd reste ferme dans ses actions. Il désire ne point être perturbé par des épiphénomènes en gestation au sein de la classe politique congolaise. Il opte, à vrai dire, pour un investissement probant de toute la nation dans l’œuvre de la consolidation des acquis d’hier pour projeter un avenir radieux pour le Congo, pays de ses ancêtres et patrimoine commun de tous les congolais. C’est dans cette perspective qu’il organise des cafés politiques pour informer, former et forger les consciences dans une culture de la paix, du réalisme politique etc. Et, dans ce mouvement, le Secrétaire général du Pprd et ses adjoints aimeraient drainer l’ensemble du peuple congolais, pour ôter définitivement les zones d’ombre qui pointent à l’horizon. Soutien indéfectible Le parti du peuple pour la Reconstruction et la démocratie soutient, visiblement, le Chef de l’Etat, sa politique et actuellement sa vision économique telle que consignée da

Tuerie de Mambabiyo : Le bilan est très lourd avec la découverte de quatre autres corps des civiles qui fait au totale de 17 morts. Des victimes ont était tué dans la nuit du dimanche à Lundi, vers trois heures du matin où 13 personnes ont trouvé la mort. Dépuis ce jour là, un homme reste introuvable, jusqu' en présent, après, une serie de génocide d' un groupe des hommes armée, contre les habitants. Cela a poussé les gens de cette contrée dan un climat des tensions et le déplacement, massif dela populations en majorité, des hommes, femmes et des enfants, avec des bétails, et se sont dirigé vers MAY-MOYA et OICHA. Les militaires déployées sur le lieu de drame ont, retrouvé des tracts dans lesquels les ADF revendiquaient cette attaque, évoquant des représailles contre les civils à la suite des bombardements de leurs positions par les FARDC, a rapporté le commandant des opérations Sokola 1. A en croire la même source, dans le même document, les rebelles ougandais somment l’armée d’arrêter ses bombardements.

POUR UNE TRÉS LARGE DIFFUSION RAPPORT D’EVALUATION HUMANITAIRE ET DES MASSACRES EN VILLE ET TERRITOIRE DE BENI DÉPUIS Octobre, 2014. La groupe des Adf-Nalu née de la fusion de groupes armés opposés au Président Ougandais YOWERI KAGUTA MUSEVENI au pouvoir depuis 1986, le groupe armé de l’Allied Democratic Forces/National Army of Libération of Uganda (ADF/NALU) doit sa triste renommée à des combattants qui se sont, au fil des années radicalisés. A l’origine, composé essentiellement des militants du Tabliq ( mouvement missionnaire Musulman), aujourd’hui, ce groupe armé étranger dirigé depuis 2007 par Jamil MUKULU (chrétien converti à l’Islam) serait composé d’islamistes, en majorité. Positionné dans le maquis sur les pentes et au pied du Mont Rwenzori en R.D.Congo depuis 1997, l’ADF/Nalu a été, pour la première fois, la cible de la traque de la MONUC (devenue MONUSCO) et les FARDC en 2005. Comme cette traque n’avait pas été concluante, le gouvernement avait lancé les opérations «Rwenzor