Tuerie de Mambabiyo : Le bilan est très lourd avec la découverte de quatre autres corps des civiles qui fait au totale de 17 morts. Des victimes ont était tué dans la nuit du dimanche à Lundi, vers trois heures du matin où 13 personnes ont trouvé la mort. Dépuis ce jour là, un homme reste introuvable, jusqu' en présent, après, une serie de génocide d' un groupe des hommes armée, contre les habitants. Cela a poussé les gens de cette contrée dan un climat des tensions et le déplacement, massif dela populations en majorité, des hommes, femmes et des enfants, avec des bétails, et se sont dirigé vers MAY-MOYA et OICHA. Les militaires déployées sur le lieu de drame ont, retrouvé des tracts dans lesquels les ADF revendiquaient cette attaque, évoquant des représailles contre les civils à la suite des bombardements de leurs positions par les FARDC, a rapporté le commandant des opérations Sokola 1. A en croire la même source, dans le même document, les rebelles ougandais somment l’armée d’arrêter ses bombardements.

POUR UNE TRÉS LARGE DIFFUSION
RAPPORT D’EVALUATION HUMANITAIRE ET DES MASSACRES EN VILLE ET TERRITOIRE DE BENI DÉPUIS Octobre, 2014. La groupe des Adf-Nalu née de la fusion de groupes armés opposés au Président Ougandais YOWERI KAGUTA MUSEVENI au pouvoir depuis 1986, le groupe armé de l’Allied Democratic Forces/National Army of Libération of Uganda (ADF/NALU) doit sa triste renommée à des combattants qui se sont, au fil des années radicalisés. A l’origine, composé essentiellement des militants du Tabliq ( mouvement missionnaire Musulman), aujourd’hui, ce groupe armé étranger dirigé depuis 2007 par Jamil MUKULU (chrétien converti à l’Islam) serait composé d’islamistes, en majorité.
Positionné dans le maquis sur les pentes et au pied du Mont Rwenzori en R.D.Congo depuis 1997, l’ADF/Nalu a été, pour la première fois, la cible de la traque de la MONUC (devenue MONUSCO) et les FARDC en 2005. Comme cette traque n’avait pas été concluante, le gouvernement avait lancé les opérations «Rwenzori» le 25 juin 2010 en vue d’en finir avec l’ADF/Nalu présent sur le sol congolais depuis bientôt 3 décennies. Les conséquences humanitaires ont été énormes (déplacements massifs des populations et pertes des biens et des récoltes, détérioration avancée de l’économie locale,… 219 personnes tuées et 350 personnes portées disparues). Malheureusement, ces opérations avaient connu un arrêt brusque laissant le temps aux rebelles de se réorganiser et de commettre d’innombrables exactions infra humaines illustrées par l’enlèvement des centaines des personnes.
La traque de ce groupe armé dite opération «SOKOLA» lancée depuis 2013 se trouve aujourd’hui ponctuée par une situation inouïe d’enlèvements et des massacres par les présumés ADF en grande échelle des paisibles citoyens de la ville et du territoire de Beni. En effet, dans l’espace de 47 jours soit du 1er Septembre au 16 Octobre 2014 un carnage inouï a été vécu en territoire et en ville de Beni à la base non seulement de la psychose au sein de la population mais aussi du deuil (massacre de près de 80 personnes) et des déplacements massifs de la population.
2. «Holocauste» du 02 septembre au 09 octobre 2014
Les enlèvements et les assassinats des paisibles citoyens par les présumés ADF/Nalu au courant de la période du 02 septembre au 09 octobre 2014 sur l’axe Oicha Eringeti ont été à la base de la situation humanitaire critique sur l’axe OICHA-ERINGETI. En effet, dans la nuit du 02 au 03 octobre 2014 près de 50 éléments des présumés ADF/Nalu ont fait incursion dans la localité de MUKOKO où ils ont enlevé, tué des personnes, pillé de l’argent, des chèvres et de la volaille. Ainsi les localités de Mukoko et de Kokola situées sur la nationale N° 4 s’étaient complètement vidées de leurs habitants laissant derrière eux la plupart de leurs biens pour trouver refuge à Oicha, ville de Beni, Eringeti,... Comme si cela ne suffisait pas, le dimanche 05 octobre 2014 vers 19 h00 un autre groupe assimilé aux éléments ADF a réussi aussi à faire incursion dans le village LINZOSISENE à plus ou mois 25 km au Nord de la cité de OICHA où ils ont enlevé une dizaine des gens dont le Chef du village. Bilan: déplacement massif de la population, 5 personnes tuées, 8 disparues et 4 blessées. C’est de partout, a Béni et dans les environs, que l’on a élevé des protestations pour dénoncer ce regain de violence. Notamment de la Société civile, du Nord-Kivu par le biais de Me Omar Kavota, qui en assume les fonctions de vice-président et de porte-parole. Ce dernier a demandé en effet au gouvernement et à l’armée une riposte, face à une situation qui ne pouvait qu’inquiéter plus d’un. Surtout que d’ennemi n’est pas encore complètement anéanti », comme l’a indiqué Me Omar Kavota, à RFI (Radio France Internationale). Dans l’opinion, on est au moins rassuré que la riposte va vite intervenir, dans la perspective de neutraliser une fois pour toutes les rebelles de l’ADF.
En finir avec cette comptabilité macabre.
Les rebelles ougandais se sont donc illustrés par une série d’incursions au cours des quelles ils ont tué, blessé kidnappé et pillé plusieurs habitations. Ce jour là, 13 personnes ont étaient décapités a la machette, des maisons incendiées, 4 disparitions des civiles enrégistré, des médicaments du centre de Santé dela place emporté, et plusieurs biens des malades pillé, par les faut Adf-Nalu. Beaucoup d' habitants de cette contré ont passé la nuit, à belle étoile dans la brouse sous les arbres craigant leurs vie en danger. Dépuis hier on costante un mouvement de déplacement dela populations en majorité, des hommes, femmes et des enfants, avec des bétails, et se dirigent vers MAY-MOYA et OICHA. la tuerie à eu lieu à 6Km du camp de la Monusco et de Fardc présent à May-Moya. Dans leur viseur, les localités de May-Moya, Kisiki et Maibo, sur la route d’Eringezi. La veille de l’attaque du 5 octobre, une autre incursion des ADF a été signalée dans le même territoire de Béni. Même chose dans la localité de Linzo Sisene.

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