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Affichage des articles du juillet 25, 2019

En 11 mois la dixième épidémie d’Ebola en RDC a déjà coûté la vie aux 1744 personnes en Ituri, et Nord-Kivu

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Il s’agit de la dixième épidémie d’Ebola en RDC et de la plus importante connue par le pays. C’est également la deuxième plus grave épidémie d’Ebola au monde, après celle qui a frappé l’Afrique de l’Ouest de 2014 à 2016. Près d'un an après les premiers cas, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré que cette épidémie constitue une urgence de santé publique de portée internationale. « C'est une urgence. Il existe un risque très réel que l'épidémie d'Ebola se propage aux pays voisins, et la communauté internationale devrait donc s'unir d'urgence pour s'assurer que cela n'arrive pas. Cela signifie qu'il faut accroître les investissements pour que les partenaires sur le terrain disposent des ressources dont ils ont besoin pour traiter chaque cas et retrouver chaque contact. RDC-Ebola : 2 592 cas et 1 743 décès, un taux de létalité de 67 % Jeudi 25 juillet 2019 Le bilan de l’épidémie de la maladie à virus Ebola s’élève à ce jour à 2

Nord-Kivu ; Sous une forte émotion, les corps des 9 personnes tuées à Oicha ont été inhumés au chef-lieu du térritoire de Beni dans l'Est de la Rdc

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🔴 Inhumation sur fond d’émotion de 9 civils massacrés par les rebelles ADF. Inhumation sur fond d’émotion  ce mercredi de 9 civils massacrés à Oïcha  dans la soirée lundi 22 juillet. Toutes les couches sociales  se sont jointes aux familles éprouvées. Les activités socio-économiques sont restées paralysées sur appel des forces vives locales. Plusieurs familles se sont recueillies autour de leurs membres victimes des massacres des civils perpétrés par les ADF lundi soir. Si les autres ont été inhumés mardi, d’autres ont été amenés dans le cimetière de Mabasele ce mercredi 24 juillet sur fond d’émotion. Pendant ce temps, toute la commune d’Oicha était en deuil sur appel des forces vives. PHILIPPE BONANE félicite tous ceux qui se sont joints aux familles éprouvées. « Nous nous sommes dits qu’il n’est pas logique de  pouvoir travailler alors que plusieurs de nos compatriotes sont morts. Ca prouve qu’à Oicha on est une famille. Il fallait qu’on paralyse nos activités pour inh