Articles

Affichage des articles du décembre 9, 2015

LED RIGHT MAN IN DR CONGO: According to United Nations-the Tabeau is dark.Against the truths to harm.DRC has provided many efforts to advance democracy and this has been repeatedly recognized in agency reports and resolutions and UN structures such as the Security Council.Most of these reports, resolutions and agreements systematically begin with such phrases: Significant progress has been made in the Democratic Republic of Congo.These advances are often listed both as regards the security situation, democracy, the economy and other sectors.Then it is deplorable to play against truths we denounce above, especially the one that claims that the opposition is expressed as a whole, whereas as recently as last week, a new platform of opposition has emerged to support this dialogue.The Abbot Leonard Santedi, Secretary General of the National Episcopal Conference of Congo (CENCO) add the following at the same time: For us, dialogue remains a royal and peaceful way out of the crisis and even a constructive element of any system democratic, which corresponds well to our doctrine.The church has always preached that. "Everyone, including reporters from AFP, witnessed the consultations that President Kabila had led, following the request of a section of the opposition, consultations in which all the sociopolitical and economic layers, and even the diplomatic corps, had voted for this dialogue, convinced that this is the path indicated to prevent the clashes that marred previous election cycles.As an illustration, we can recall that Cardinal Laurent Monsengwo, which we know the positions relative to power in Kinshasa, said the following at the end of his meeting with the Head of State in the framework of these consultations : dialogue is the subject daily.He must have a dialogue if we know exactly what we want.And apparently the President knows the object of this dialogue, and I say that dialogue is good, provided that you know exactly what you want.For proof, one can quote this passage from the AFP report, dated Tuesday, December 8, 2015, which claims that the opposition accuses the whole presidential clan to maneuver to allow the head of state to stay in power beyond his term (December 2016) seeking to delay the holding of presidential elections, and sees as a "trap" the recent "national dialogue" in order "to peaceful elections" announced by Kabila However, no reports or almost not mentioned.On the contrary, often it seems that all these reports contribute to annihilate these efforts, sow discouragement and plunge into despair Congolese to prepare the ground for the psychological occurrence of insurgency.It is tradition that the UN and the organizations that are branches publish reports on the situation of human rights at the end of each year.And 2016 was no exception to the rule, DRC either.Last Tuesday, MONUSCO and the Joint United Nations Office for Human Rights (UNJHRO) have released their report on the general situation in the DRC for 2015 graduate.We can mention here the case of events of January 2015 had been used as a pretext to trigger an uprising, but the specialized services managed to choke.These aborted events had been carefully prepared with the so-called civic structures competition came from West Africa with funding from the National Indowment for Democracy (NED), a structure dependent on the US State Department who had acted through the USAID.Although things are wrong in this report that will need to peel the contents in detail.All the more so that the rendering that is made by the Western media, including AFP, conflates the political situation of the time, marked by the utmost efforts for a dialogue leading to peaceful elections, and past events, some dating back to January 2015 but which are rendered as a confrontational form, clearly able to load up on the pretext that he works for the narrowing of democratic space.It will be here not the first time that we stigmatize this tendency of some organizations, including the UN and its representation in DRC, MONUSCO, and the UNJHRO, at present everything as black and premeditated acts aimed at this narrowing of democratic space.Many events took place and that have been demonstrated as insurgent acts intolerable in a state of law, but the external partners of the DRC and the well-known media did not want to listen.

The Joint United Nations Office for Human Rights (UNJHRO), which published this Wednesday, September 9, 2015 in Kinshasa, its monthly report on the main trends of violations of human rights committed in the month of August 2015 Democratic Republic of Congo (DRC), has recorded at least "409 cases of violations" throughout the country."A total of 409 violations of human rights perpetrated in August, an increase compared to the month of July 2015 during which, we recorded 393 violations," said the UNJHRO Director in DRC, José Maria Aranaz who introduced the monthly report to the press.Overall, the situation of human rights in the DRC is very worrying.Arbitrary executions, rape, arbitrary arrest and detention, torture, cruel, inhuman and degrading treatment and looting committed by state agents and armed groups.Despite the call in July 2009 the President of the DRC's "zero tolerance" policy towards the perpetrators of violations of human rights within the

DROIT DEL' HOMME EN RDCONGO : Selon nations-unies, le tabeau est sombre. Des contre-vérités pour nuire. La RDC a fourni bien d’efforts pour faire avancer la démocratie et cela a été reconnu à plusieurs reprises dans des rapports et résolutions d’organisme et structures onusiennes tels que le Conseil de Sécurité. La plupart de ces rapports, résolutions et accords commencent systématiquement par ce genre de phrases : D’importants progrès ont été enregistrés en République démocratique du Congo. Ces progrès sont souvent énumérés aussi bien en ce qui concerne la situation sécuritaire, la démocratie que l’économie et d’autres secteurs. Il est alors déplorable de lire des contre-vérités que nous dénonçons plus haut, surtout celle qui prétend que l’opposition s’est exprimée dans son ensemble, alors que pas plus tard que la semaine passée, une nouvelle plate-forme de l’opposition a vu le jour pour soutenir ce dialogue. L’Abbé Léonard Santedi, Secrétaire Général de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) ajoutera ce qui suit à la même occasion : Pour nous, le dialogue reste une voie royale et pacifique de sortie de crise et même un élément constructif de tout système démocratique, ce qui correspond même à notre doctrine. L’église a toujours prêché cela ». Tout le monde, dont des reporters de l’AFP, a été témoin des consultations que le Président Kabila avait menée, suivant la demande d’une frange de l’opposition, consultations au cours desquelles toutes les couches sociopolitiques et économiques, et même le corps diplomatique, s’étaient prononcés pour ce dialogue, convaincues que c’est la voie indiquée pour prévenir les heurts qui ont émaillé les précédents cycles électoraux. A titre illustratif, nous pouvons rappeler que le Cardinal Laurent Monsengwo, dont on connait les positions par rapport au pouvoir en place à Kinshasa, avait dit ce qui suit au sortir de son entretien avec le Chef de l’Etat dans le cadre de ces consultations : le dialogue est l’objet de tous les jours. Il faut bien qu’il y ait un dialogue si l’on sait exactement ce que l’on veut. Et apparemment le Président connait l’objet de ce dialogue, et moi je dis que le dialogue est bon, à condition que l’on sache exactement ce que l’on veut. Pour preuve, l’on peut citer ce passage de la dépêche de l’AFP, datée de mardi 8 décembre 2015, qui prétend que l'opposition dans son ensemble accuse le clan présidentiel de manœuvrer pour permettre au Chef de l’État de rester au pouvoir au-delà du terme de son mandat (décembre 2016) en cherchant à retarder la tenue de la présidentielle, et voit comme un "piège" le récent "dialogue national" en vue "d'élections apaisées" annoncé par M. Kabila Cependant, aucun des rapports, ou presque, n’en fait mention. Au contraire, on a souvent l’impression que tous ces rapports concourent à annihiler ces efforts, semer le découragement et plonger les Congolais dans le désespoir pour préparer psychologique le terrain à l’occurrence d’activités insurrectionnelles. Il est de tradition que l’ONU et les organismes qui en sont des démembrements publient des rapports sur la situation des droits l’homme en fin de chaque année. Et 2016 n’a pas échappé à la règle, la RDC non plus. Mardi dernier, la Monusco et le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH) ont rendu public leur rapport sur la situation générale en RDC pour l’année 2015 finissante. Nous pouvons citer ici le cas des événements de janvier 2015 qui avaient été utilisés comme prétexte pour déclencher une insurrection, mais que les services spécialisés sont parvenues à étouffer. Ces événements avortés avaient été minutieusement préparés avec le concours de structures dites citoyennes venues d’Afrique de l’Ouest grâce au financement de la National Indowment for Democracy (NED), une structure dépendant du Département d’Etat américain qui avait agi à travers l’USAID. Bien de choses restent à redire de ce rapport dont il faudra éplucher le contenu dans les détails. Ceci d’autant plus que le rendu qui en est fait par les médias occidentaux, l’AFP notamment, fait l’amalgame entre la situation politique de l’heure, marquée par les derniers efforts pour un dialogue devant conduire à des élections apaisées, et les événements passés dont certains datent de janvier 2015 mais qui sont rendus sous une forme conflictuelle, manifestement pour charger le pouvoir en place sous prétexte qu’il travaille pour le rétrécissement de l'espace démocratique. Ce ne sera, ici, pas la première fois que nous stigmatisons cette tendance de certaines organisations, dont l’ONU et sa représentation en RDC, la Monusco, ainsi que le BCNUDH, à tout noircir et tout présenter comme des actes prémédités tendant à ce rétrécissement de l'espace démocratique. Bien d’événements se sont déroulés et qui ont été démontrés comme étant des actes insurrectionnels insupportables dans un Etat de droit, mais les partenaires extérieurs de la RDC et les médias bien connus n’ont rien voulu entendre.

Le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme (BCNUDH), qui a publié, ce mercredi 09 septembre 2015 à Kinshasa, son rapport mensuel sur les principales tendances des violations des droits de l’homme commises au mois d’aout 2015 en République démocratique du Congo (RDC), a enregistré au moins « 409 cas de violations » sur l’ensemble du territoire national. « Au total de 409 violations des droits de l’homme perpétrées au mois d’aout, représente une hausse par rapport au mois de juillet 2015 au cours duquel, nous avions enregistré 393 violations», a souligné le Directeur du BCNUDH en RDC, José Maria Aranaz qui a présenté ce rapport mensuel à la presse. Dans son ensemble, la situation des droits de l’homme en RDC est très préoccupante. Exécutions arbitraires, viols, arrestations et détentions arbitraires, torture, traitement cruels, inhumains et dégradants et les pillages sont commis par les agents de l’Etat et les groupes armés. Malgré l’appel en juillet 2009 du Président de