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L’hôpital général de Référence d’Oicha a réceptionné ce mardi 31 mai 2016, une ambulance offerte par le gouvernement de la RDC. Il s’agit d’une jeep blanche de Marque NISSAN avec plaque d’immatriculation N° E.S.T.A 0475/16 qui a été reçue sous les applaudissements des infirmiers et malades qui étaient réunis dans la cours de l’hôpital. Le délégué de la division provincial de la santé, Monsieur Mathieu Muhasa venu de Goma explique que c’est dans le contexte particulier de l’insécurité que le gouvernement a décidé d’affecter cet engin dans la zone de santé d’Oicha. Mais ce dernier était destiné au territoire de Masisi, a-t-il expliqué aux participants venus nombreux pour participer aux cérémonies de remise officielle de cette ambulance. Pour sa part, l’administrateur assistant du territoire de Beni a demandé au médecin directeur de veiller à sa bonne marche et à son entretien. Maliyamungu Sebuyange a tenu à informer aussi qu’il s’agit du résultat de plusieurs correspondances écrites

Pour Bienfait Bin Mwaka, président des forces vives du groupement Banande-Kainama, les auteurs de l’insécurité en ville et territoire de Beni bénéficient sans doute du soutien des pays voisins. Il est anormal, selon lui que chaque fois que les assaillants enregistrent des blessés dans leur rang, ces derniers se font soigner dans le district ougandais de Budibudjo frontalier avec la RDC.«Je confirment que ces blessés sont soignés en Ouganda et passent par Kamango. Ils ont peur d’être détecté par les congolais raison pour la quelle, lorsque vous lisez des rapports publiés par plusieurs organisations, ils citent effectivement les pays voisins comme le Rwanda et l’Ouganda, raison pour la quelle que ces blessés sont soignés en Ouganda», a-t-il déclaré. Le 29 novembre, des centaines d’assaillants identifiés comme des rebelles ougandais ADF ont mené plusieurs attaques simultanées contre les positions de l’armée congolaise, de la Monusco et différentes structures d’Eringeti, une localité du te

Selon les chercheurs, scientifique dela planète, le développement des activités industrielles humaines a fait passer la planète de l'ère géologique de l'holocène à celle de l'anthropocène. Autrement dit, nous sommes passés d'une ère post-glaciaire commencée 10 000 ans avant Jésus-Christ, durant laquelle une relative stabilité du climat a permis à la civilisation humaine de se développer, à une nouvelle ère caractérisée par notre propre influence sur la planète. Une étude scientifique australienne publiée ce samedi conclut à la disparition de cinq îles de l'archipel Salomon, dans le Pacifique, à cause de la montée des eaux et de l'érosion cotière. En cinq ans, deux villages ont été forcés de se relocaliser. Le réchauffement climatiquecontinue à faire des ravages. Cinq îles des Salomon, un archipel du Pacifique, ont disparu en raison de la montée des eaux et de l'érosion côtière révèle une étude australienne publiée ce samedi dans Environmental Research Lett

"Le signal d'une balise d'un enregistreur de vol a pu être détecté par les équipements de la société Alseamar déployés sur le bâtiment de la Marine nationale Laplace", indique le directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses, Rémi Jouty. EgyptAir : de la fumée dans le cockpit de l'avion avant le crash Le navire hydrographique Laplace était arrivé mardi sur la zone du crashpour participer aux recherches de l'épave et des boîtes noires. Le signal, poursuit le BEA, a pu être détecté "à partir de l'analyse des données radar disponibles et du signal de la balise de détresse qui ont permis de définir une zone de recherches prioritaire et les moyens à mettre en oeuvre. Ce travail a été effectué en étroite coordination avec les autorités égyptiennes." Le navire est équipé de trois engins immergés (DETECTOR-6000) de la société française Alseamar, capables de détecter les "pings" (échos sonar) des boîtes noires jusqu'à 5.000 mètres

Il est reproché aux trente-huit personnalités congolaises visées, qui se recrutent essentiellement dans le pré-carré présidentiel, de cautionner la violence perpétrée contre les citoyens et toute velléité d’intimidation vis-à-vis de l'opposition. Les mesures punitives envisagées devraient se traduire par le refus d’octroi de visas, le gel des avoirs et, éventuellement, des poursuites judiciaires devant les juridictions internationales. Citée dans cette affaire comme la source ayant transmis à Washington les noms des dirigeants et hauts fonctionnaires congolais responsables des actes d’intimidation, de harcèlement et de détention des membres de l‘opposition et des leaders de la société civile, la Monusco est montée au créneau pour apporter un démenti sanglant à cette allégation. « La Monusco a un mandat clair qui ne fait aucunement mention de transmission des noms à une quelconque institution pour des sanctions », a laissé entendre son directeur de l’Information publique cité par r

Né le 22 juillet 1961, Appolinaire Malu-Malu était malade depuis de longs mois et avait dû démissionner de la Présidence de la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante) en octobre 2015, pour poursuivre des soins à l'étranger. Il est décédé aux USA, à l'âge de 54 ans. Originaire du Nord-Kivu, ce prêtre catholique, docteur en Sciences politiques de la faculté de Grenoble (France) a été vice-recteur puis recteur de l'université de Butembo (Nord-Kivu). Expert au Service présidentiel d'études stratégiques, il devient Président de la CENI et organise en 2006 les premières élections démocratiques du pays. Fin 2007, il est notamment chargé des travaux préparatoires de la Conférence de Goma en vue d'une issue à la guerre du Kivu. En 2011, le Comité permanent des évêques membres de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) le nomme directeur général de l'Institut Panafricain Cardinal Martino pour l'enseignement social de l'Eglise, institut

Ce déplacement du chef du gouvernement entre, selon certaines sources, dans le cadre de préparatifs de festivités marquant le 56ème anniversaire de l’accession de la RDC à l’Indépendance, le 30 juin 1960 prévues dans cette province. Il était accompagné dans ce déplacement du Général Major Gabriel Amisi Kumba, commandant de la première zone de défense des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Aussitôt rentré de Kindu, le 1èr ministre Augustin Matata Mponyo a présidé la Troïka stratégique, ce lundi 30 mai 2016 à l’hôtel du gouvernement. Au tour de la table, on a noté la présence du ministre d’Etat et ministre du Budget, Michel Bongongo, du ministre de l’Economie, Modeste Bahati Lukwebo, du ministre des Finances, Henri Yav Mulang, du gouverneur de la Banque Centrale du Congo, Déogratias Mutombo, et du directeur de cabinet du Premier Ministre, en qualité de rapporteur. C’est au sortir de cette réunion que le ministre de l’Economie Nationale, Modeste Bahati Lukweb

Il faut préciser qu’au total trois personnes, dont deux hommes et une femme ont trouvé la mort au cours des échanges des tirs entre l’armée loyaliste et des rebelles présumés ADF lundi 30 mai à KOKOLA. Nos confrères de Radio Moto Oïcha rapportent que tout a commencé lorsque ces assaillants ont fait une incursion dans cette localité située en territoire de Beni. Les échanges des tirs sont partis de 14 heures à 17 heures 45. Les victimes décédées sont KAKULE NZALAMINGI, le post nommé MACHOZI, les deux étant des enseignants à l’Institut LUGHENDO d’Eringeti et une certaine KASOKI, épouse de militaire. Les deux premières victimes venaient d’Oïcha pour retirer leur salaire. Contacté le matin de ce mardi 31 mai, le porte-parole du secteur opérationnel SOKOLA 1, confirme la nouvelle. Le lieutenant MAK HAZUKAY poursuit que l’attaque a eu lieu pendant qu’un groupe armé voulait s’échapper en passant d’une rive à une autre de la route nationale numéro 2. Il rassure que l’Armée poursuit encore l’