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🔴🇨🇩✍🏾🖕🏿☝🏽👆🏾🙉🙉🙉Ituri : 40 rebelles ADF capturés dans une opération conjointe FARDC-MONUSCO à Makeke en térritoire de Mambasa au sud-Ouest dela province del'Ituri, dans l'Est dela  République  démocratique du Congo. 40 rebelles supplémentaires appartenant au groupe armé Forces Démocratiques Alliées (ADF), ont été capturés lors d'une opération militaire conjointe menée par les Forces Armées de la RDC et les Forces de la mission des Nations-Unies le 09 février 2020 à Makeke, dans la province de l'Ituri. L'information a été donnée à la presse ce mercredi 12 février par le porte-parole militaire de la MONUSCO au cours de la conférence de presse bihebdomadaire du système des Nations-Unies en RDC. "La force poursuit son soutien indéfectible aux FARDC dans leurs offensives contre les ADF. Ces derniers, acculés à l'Est de Beni, se sont dispersés dans la forêt pour se retrouver dans la zone nord-ouest de Beni où de nombreuses exactions en guise de

Beni-térritoire : L'armée repousse une attaque ADF à  MBAU en térritoire  de Beni en proie des massacres dépuis 2014. Des violents combats ont opposé les éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) aux combattants de la rébellion de l'Allied Democratic Force (ADF), la nuit de mardi à ce mercredi 11 fevrier 2020 à Mbau, chef-lieu du secteur portant le même nom sur la route nationale numéro 4 (Beni-Kisangani) dans le territoire de Beni (Nord-Kivu). Les assaillants sont venus de trois axes. Notamment à Kelekele, à l'est du marché central de Mbau ainsi qu'à Kapupa près du bureau administratif du secteur de Mbau. Ils ont été vite repoussés par l'armée, avec le soutien de la police. Selon Esdras Mathe, membre de la société civile locale joint par 7SUR7.CD, des détonations d'armes lourdes et légères ont été entendues mardi dernier entre 20h et 22h30. Il indique que cette situation a poussé certains habitants à vider l'entité. L

La lutte contre l’épidémie se retrouve conjointement affectée par la persistance des violences régionales, les déplacements de population et le contexte politique. Que faire face à cette défiance ? Comment le contexte politique a-t-il freiné la riposte sanitaire ? Comment adapter la prise en charge les nouveaux cas, dans ce contexte sensible ? Les communautés doivent aussi apporter leur soutien au travail des équipes médicales. Il faut pour cela les mettre en confiance.« Le grand problème, maintenant, c’est l’engagement communautaire. Que la population accepte les mesures de riposte et participe à la riposte. Ce que nous voulons maintenant c’est qu’elle soit menée par la population locale, au lieu que ce soit par ce qu’ils appellent les "étrangers". Obtenir « l’adhésion » des populations locales L’opposant a également l’impression que la riposte est aujourd’hui plus gérée par les partenaires que par le gouvernement lui-même. Or, à ses yeux, tout doit êtr