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Affichage des articles du octobre 16, 2016

Couve-feu est instauré de nouveau dans la ville de Beni pour cause d'insécurité grandissante en cours dans la région de Beni, situé dans l'Est dela République Démocratique du Congo, vers la partie Nord-Est dela province du Nord-Kivu : En ces jours des vives tensions s'observe entre les agens spécialisés, et la population de Beni, qui disent se prendre en charge contre les tuerries, vols, déplacements massif, et incendies, à répétion dans cette partie du pay, où les rébélles étrangers, sont accusés des plusieurs éxactions, et crimes grave contre les habitants civils ce dernier temp. Pendant ce moment, les gens de Beni-Ville s'interrogent sur de nouveau mésure du couvre-feu, selon eux, qui va plonger encore de plus la population dans les troubles et des pyschoses. !

À partir de ce Samedi 15/10/2016 le couvre-feu commence à 20h00' locale en ville de Beni, telle est la décision qui ressort d'une réunion de securité tenue aujourd'hui. Quiconque sera attrapé après ces heures, pourra subir la rigueur de ladite décision. « Pendant la période du couvre-feu, seules les forces de sécurité ont le droit de circuler », a expliqué à l’AFP le maire de Beni, Edmond Masumbuko. « Il a été décidé qu’un couvre-feu soit instauré au niveau de la ville de Beni pour permettre aux forces de l’ordre de comprendre ce qui se passe à Beni. Ce couvre-feu sera aussi couplé par des bouclages a déclaré, le maire de la ville, Jean Nyonyi Bwanakawa. De quoi excéder les populations de Beni, victimes depuis 2014 de récurrentes attaques de groupes armés. Selon l’ONU, ces agressions ont fait plus de 700 morts. Elles sont attribuées par le gouvernement congolais et la Mission de l’ONU en République Démocratique du Congo, la (Monusco), aux rebelles ougandais, présent dans la

Cinq personnes ont trouvés la morts dans la Ville de Butembo, après une vive tensions et échauffourées meurtrière, qui ont opposé dépuis tôt le matin de ce samedi 15 octobre 2016, les forces de sécurité à un groupe d’hommes en arme blanche dans les environs du Mont Carmel sur la colline MISEBERE en commune Bulengera. Àla mairie de Butembo, ce groupe d’hommes suspectés se sont promis se concerter ultérieurement pour la paix durable dans la ville. Une foule immense d’habitants entourant mairie a assisté à cette négociation en plein air dans les enceintes d’une mairie surmilitarisée. C’est après cette entente primaire que les forces de sécurités ont raccompagné le groupe suspecté dans leur fief sur la colline de Misebere. Une manière de les sécuriser et éviter les représailles de la population qui craint la naissance d’un groupe rebelle dans la ville. Un autre objectif était d’aller constater les dégâts et récupérer les armes que ces présumés assaillants ont ravi aux militaires. Les habitants que la Radio Moto Butembo Beni a rencontrés pendant ce fait appelle les autorités locales à enquêter sur la présence des hommes qui se font passer pour des chrétiens sur la colline Misebere. Jusque là des sources officielles ne parlent d’aucun bilan des heurts de ce matin. Mais les présumés assaillants ont déclaré avoir causés des dégâts humains et matériels. En outre, nous apprenons que pendant le passage de ces hommes suspectés en ville, les habitants ont perdu leurs biens au cours de leur fuite. Des accidents des circulations ont été aussi enregistrés. Cela arrive après que les jeunes de Misebere et environs ont passé la nuit de vendredi à ce samedi à la belle étoile en train de veiller sur leur sécurité. Alors, les hommes suspects que la police et les FARDC ont combattus ce matin sont soupçonnés d’être en préparation d’une attaque contre la ville de Butembo. Ce sont les habitants de ce coin de la commune Bulengera qui ont ainsi alerte les services de sécurité. Des habitants curieux de MUKUKA témoignent que cette bande de présumés assaillants a riposté devant la police et l’armée loyaliste. Ces suspects auraient même ravis des armes des forces de sécurité. Des dégâts humains seraient aussi enregistrés, affirme des sources concordantes. Ce groupe d’hommes suspecté dit s’être opposé aux FARDC puis que ces dernières sont allées déranger leur séance de prière dans leur bastion. Ils se font donc passer pour un groupe de chrétiens qui prient régulièrement Dieu dans cette partie de la commune Bulengera. Ces hommes, une trentaine, ont fait ces déclarations au conseil urbain de sécurité devant l’hôtel de ville ce samedi matin. C’était après qu’ils venaient de parcourir à pied toutes les artères principales de la ville à partir du lieu d’où ils ont été interceptés. Habillés en salopette kaki, mouillés de tache de sang pour certains, chaussés en bottes jaunes, ils étaient muni de lance pierre, des cailloux et des couteaux et machettes. Derrière eux, une foule qui les accompagnaient avec peur et curiosité. En ce moment là, des forces de sécurité qui inspectaient leur comportement. Concrètement, leur destination était la mairie. Devant l’autorité urbaine, ils ont Justifié leur action consistant en la prière. Selon eux, ils réagissent mal contre ceux qui les provoquent. Ils ont demandé à SIKULY’UVASAKA MAKALA de leur donner un mouton pour réparation du préjudice causé à leur cérémonie de prière. Le maire a répondu positivement à cette requête avant de les appeler au sérieux et à dire vraiment ce qu’ils veulent.

Le calme est revenu, à BUTEMBO, dans l'après-midi de ce samedi 15/10/2016, après une mi-journée très ajitée selon EDGAR MATESO qui est le vice président dela société civile urbaine de Butembo, situé dans la partie Est dela Rdc, au Nord-Kivu. Le bilan provisoire fait étant de 5 morts dont 2 élèves, 2 enseignants du Complexe Scolaire Mwamba et 1 militaire FARDC avec plusieurs blessés graves. Les enseignants et les élèves sont victimes d'une roquette tombée sur leur école située au quartier Mutiri où les BLANC-BLANC se sont rencontrés avec les FARDC. Nous semblons apprendre que 2 autres corps, celui d'un militaire et d'un civil, viennent d'être découvert dans une vallée près du mont Carmel. Nous suivons et vous ferons la suite si nous en trouvons autres détails. L’accrochage avec l’armée a commencé après que les membres de la secte ont pris les armes dans une position de l’armée située au quartier Mutiri. Alertés, des militaires, venus en renfort, ont ouvert le feu.