Couve-feu est instauré de nouveau dans la ville de Beni pour cause d'insécurité grandissante en cours dans la région de Beni, situé dans l'Est dela République Démocratique du Congo, vers la partie Nord-Est dela province du Nord-Kivu : En ces jours des vives tensions s'observe entre les agens spécialisés, et la population de Beni, qui disent se prendre en charge contre les tuerries, vols, déplacements massif, et incendies, à répétion dans cette partie du pay, où les rébélles étrangers, sont accusés des plusieurs éxactions, et crimes grave contre les habitants civils ce dernier temp. Pendant ce moment, les gens de Beni-Ville s'interrogent sur de nouveau mésure du couvre-feu, selon eux, qui va plonger encore de plus la population dans les troubles et des pyschoses. !

À partir de ce Samedi 15/10/2016 le couvre-feu commence à 20h00' locale en ville de Beni, telle est la décision qui ressort d'une réunion de securité tenue aujourd'hui. Quiconque sera attrapé après ces heures, pourra subir la rigueur de ladite décision. « Pendant la période du couvre-feu, seules les forces de sécurité ont le droit de circuler », a expliqué à l’AFP le maire de Beni, Edmond Masumbuko. « Il a été décidé qu’un couvre-feu soit instauré au niveau de la ville de Beni pour permettre aux forces de l’ordre de comprendre ce qui se passe à Beni. Ce couvre-feu sera aussi couplé par des bouclages a déclaré, le maire de la ville, Jean Nyonyi Bwanakawa. De quoi excéder les populations de Beni, victimes depuis 2014 de récurrentes attaques de groupes armés. Selon l’ONU, ces agressions ont fait plus de 700 morts. Elles sont attribuées par le gouvernement congolais et la Mission de l’ONU en République Démocratique du Congo, la (Monusco), aux rebelles ougandais, présent dans la région de Beni dépuis plus de vingt cinq ans à nos jours. Aujourd'hui, la Ville de Beni ressemble à une ville morte à la tombée de la nuit suite au couvre-feu décrété par les autorités du pays. Aucun mouvement des civils n’est perceptible même dans des endroits jadis très mouvementés. C’est seulement le vrombissement des groupes électrogènes et la lumière des lampes qui font espérer la vie. Lutte contre l’activisme des terroristes de l’ADF, la mairie de Beni lance les couvre-feux urbains. Monsieur Nyonyi Bwanakawa a annoncé le samedi, dans la soirée que sur instruction de sa hiérarchie les couvre-feux seront désormais observés à partir de 20 heures sur toute l’étendue de la ville d’où les habitants sont interdits de circuler au delà de l’heure précitée.
Selon le maire de Beni, cela vise a dénicher certains collaborateurs des terroristes de L’ADF qui se cacheraient parmi les populations. Son collègue de BUTEMBO, une ville voisine vers le sud peut aussi également décréter une mesure du couvre feu, là bas.
Le maire de Beni (Nord-Kivu), Nyonyi Bwanakawa, a annoncé dans la soirée du samedi 15 octobre 2016 la mesure portant couvre-feu dans la ville sur les antennes de la RTGB.
« Au vu de certains indices qui font espérer la paix durable dans notre ville, le conseil urbain de sécurité, en accord avec le gouvernement central, a décidé de lever le couvre-feu. Vous pouvez de nouveau circuler librement la nuit », a-t-il expliqué à ses administrés qu’il a toutefois invités à demeurer « vigilants ».
Cris de joie
Cette annonce a suscité l’extase dans le chef des habitants de Beni qui étaient obligés de se terrer dans leurs maisons à partir de 18 h30, depuis octobre 2014.
Cris de joie, coups sifflets et des réjouissances populaires s’en sont suivis. Pour célébrer la levée de la mesure de couvre-feu, certains tenanciers des boutiques et des bistrots ont ouvert leurs portes pendant toute la nuit.
Quelques habitants, surtout ceux du quartier Tamende-Kati, ont placé des écrans géants à l’extérieur pour la retransmission du match de la CAN 2015 RDC-Cap Vert. Depuis le 13 août, le ministre de l’Intérieur Evariste Boshab a instauré un couvre-feu interdisant aux habitants de Beni de circuler librement la nuit. Selon lui, cette mesure peut mettre fin aux massacres perpétrés par les ADF dans cette ville. Salutaire ou pas, cette décision est une menace pour la prostitution. Ce métier qui nourrit et scolarise plusieurs familles depuis que les femmes ne peuvent plus accéder à leurs champs assiégés par les ADF.
Cette décision est jugée subjective par beaucoup de gens à Beni car elle ne tient pas compte de tous ceux qui gagnent leur pain quotidien grâce à la prostitution. J’ai interviewé M.F, une prostituée, veuve et mère de trois enfants, qui préfère rester anonyme.
À BENI-VILLE : dans la journé du samedi 15 octobre 2016, plus de 150 jeunes garcons ont bradé la peur pour fouiller la forêt où se cachent les rebelles-égorgeur
s,sont rétournés à BENI dans l' après-midi du samedi vers 17heures locale.
Ils ont découvert 3 campements à peine abandonnés par les inciviques des Adf-Nalu.
Au 1er camps, ils ont trouvés le reste de papaye mangé aujourd'hui et une note écrite interdissant à quinconque toute progression, surce meme papier les rebelles ont laissé un numéros., de Téléphone pour contact. En effet c'était difficile pour l'équipe d'appeler ce numéros faute de réseau sur place dans cette forêt. L'équipe n'a pas cédé à l'interdiction des rebelles de progresser. Elle a continué sa fouille jusqu'à découvrir 2 autres camps rebelles encore abandonnés. Là bas, le reste du riz mangé il y 1jour ont indiqué ces jeunes gens qui ont précisés que, les rebelles savaient qu'on les traquaient. C'est après ce travail que l'équipe a regagné BENI visiblement fatiguée mains fier de sa détermination.
QUESTIONS : 1) OÙ SONT PARTIS CES REBELLES?
2) COMMENT LES HÉLICO DE LA MONUSCO QUI CIRCULENT SUR CETTE PARTIE N'ARRIVENT PAS À RÉPÉRER CES CAMPS REBELLES DÉCOUVERT PAR LA POPULATION ?
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