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Affichage des articles du février 15, 2016

Front Citoyen 2016 Une échec de rencontre entre les membres de ce groupe d' opposants prévu à Oicha chef lieu du térritoire de Beni aujourd' hui le lundi 15 février 2016 selon Jean Paul Ngahangondi le porte parole de Front Citoyen 2016, nous informe que, malgré les intimidations de l'Administrateur du Territoire de Beni qui a volonterement violé notre droit au libérté de réunion en interdisant la réunion de lancement du front citoyen 2016 au chef lieu du Territoire de Beni le front ctoyent 2016 du territoire de Beni vient d'être lancé en pleine conférence debat qui a eu lieu ce lundi 15/02/2016. Mr Tawoya de l'ARC,TEMBO KALIMULI de l'UNC, Mr. Vecent MUMBERTO de Kml, les Organisations de la Société Civile confondus, les partis politiques de l'Oppositions ont pris part ce Mardi 16/02/2016 Ville morte à Oïcha et environs Nous sommes pour le respect de notre Constitution, non à sa revision, non au troisième mandat du Chef de l'Etat, non au glissement, non au dialogue et Oui aux éléctions cette année 2016.

Beni térritoire dans Une rélation dans un climat des tension entre l'administrateur du térritoire de Beni Bernard Amisi Kalonda et Jean Paul Ngahangondi le président d'une ong de défense des droits del' homme connue sous le non de CRDH en sigle convention pour le réspect des droits del' homme. Dépuis un certain temp l'autorité térritoriale et le président de CRDH sont à couteau tiré Amisi Kalonda accuse Mr Jean Paul Ngahangondi de vouloir intoxiquer la population de Beni térritoire contre les autorités de place ce qui. Soulignons que le président de la CRDH Ngahangondi est nommé comme le porte parole du groupe Front Citoyen 2016 sèction Beni térritoire. Celui ci a publié des messages sur son compte facebook en disant que, Peuple Congolais, preparons nous pour la marche du 18 Fevrier 2016. La démocratie en RDC est menacée par un groupe d'individus. Le respect de l'article 220 de la Constitution est une obligation. Lisons tous cette belle logique. Attention, l

RDC des troubles politique entre la majorité, et l' opposition : Dans la capitale congolaise, tous les signaux semblaient clignoter dans le même sens. La convocation du dialogue ne serait qu’une question de jours. Joseph Kabila l’a fait dire durant le week-end aux deux chambres du parlement par leurs présidents interposés, avant de rencontrer une délégation de la société civile dimanche et celle des diplomates accrédités à Kinshasa Bref, encore quelques petits détails seulement à régler, y compris pour ce qui concerne la médiation, que l’Udps pour sa part souhaite internationale.

Le Congo-Kinshasa ne serait pas lui-même si la vie s’y déroulait comme un long fleuve tranquille, sans se payer le luxe d’une nouvelle polémique sur la voie escarpée conduisant à l’organisation des échéances électorales de 2016. Parmi les questions qui dérangent, celle de savoir avec quelle administration électorale les Congolais comptent aller à leurs élections de fin de mandat présidentiel. Au bout du compte, chacun préfère abuser de la crédulité de la population, avec tous les risques, le jour où celle-ci découvrira enfin la triste vérité, d’une colère exponentielle. Reconfigurer la CENI, constituer un nouveau fichier électoral avec l’accompagnement des partenaires ne sera pas une sinécure, c’est vrai. Mais ce pourrait, idéalement, être le prix à payer pour des élections honnêtes, sans chercher à sacrifier la population dans un cycle incontrôlable de violences. L’opposition commettrait en tout cas une erreur monumentale en faisant croire qu’elle est intellectuellement, moralement e

Rdc Journée ville morte du 16 février 2016 toujours on observe des division aux sein des classes politique chaqun vise sont intérêt personnel pour ceux qui ont unicié cette idé nous disent que cette journé est organisé à mémoire des compatriotes disparue lors dela manifestation en réclamant ouverture dela conférence souveraine àl' époque dela deuxième république sous le régime de Mobutu Seseko. Du conté del' L’UDPS on nous informe que, celui ci dit « oui » au dialogue et «non » à la « ville morte »

L’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, ira au dialogue. Telle est la déclaration phare du Secrétaire général du parti, Bruno Mavungu, le jeudi 11 février 2016 à Kinshasa à la presse. Il justifie cette position du parti cher au sphinx de Limeté, par le refus de plonger le pays dans le chaos et par la raison que participer au dialogue est la décision d’Etienne Tshisekedi, une position, du reste, a-t-il affirmé, partagée par toute la communauté internationale. Pour les observateurs, c’est une manière sans équivoque pour Bruno Mavungu de contrer les forces de l’opposition acquises au chaos qui rejettent le dialogue et qui appellent la population à leur servir de bête de somme pour conquérir le pouvoir par le rejet du glissement. Bruno Mavungu, un pro-dialogue constant, abonde dans le même sens que son président pour qui le dialogue reste la voie royale pour sortir le pays de la crise et le lancer sur la voie de la paix, de la démocratie et du développement. Les consultation