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Affichage des articles du avril 15, 2016

China Airways : selon un rapport du gouvernent chinois, qui vient d’être publié, le récent ralentissement de la croissance de l'industrie des avions d'affaires en Chine n’aura pas d’incidence sur les perspectives à long terme du secteur : le rapport spécial sur l’aviation d’affaires en Chine 2016, publié conjointement par Hurun Report et Minsheng Financial Leasing, montre en effet qu’au moins 1 420 Chinois riches ont les capacités suffisantes pour acheter 1 750 avions d'affaires, qui valent plus de 52 milliards de Dollars US. Plus de 9 000 super riches individuels en Chine ont également les possibilités d'affréter un avion, avec un temps de vol dont les estimations montrent qu’il pourrait atteindre 205 000 heures par an. Au cours des cinq prochaines années, un total de 1 850 personnes devraient acheter 2 320 avions d'affaires, dont la valeur est évaluée à 71 milliards de Dollars US au total. Selon Qiao Kai, vice-président de Minsheng Financial Leasing, l'industrie des avions d'affaires chinois a connu un développement.

Selon Qiao Kai, vice-président de Minsheng Financial Leasing, l'industrie des avions d'affaires chinois a connu un développement constant au cours des dernières années bien que le taux de croissance ait été plus lent en comparaison avec la meilleure période enregistrée. Il y a néanmoins encore beaucoup de marge de croissance en Chine si on fait la comparaison avec les marchés occidentaux matures. Les activités ont commencé à reprendre de la vigueur, en particulier au cours du premier trimestre 2016. Outre les aspects efficacité, indépendance et vie privée, celui de la « face » est devenu une des principales raisons pour l'achat d'avions d'affaires. Selon Rupert Hoogewerf, fondateur et chercheur en chef du Rapport Hurun, les acheteurs de jets d'affaires ont toujours plus de facilité à trouver des partenaires lorsque les gens se rendent compte de leur richesse, illustrée par la possession d'un avion. Mais il y a aussi diverses raisons pour ne pas acheter un

RD-Congo vers un dialogue pour une tradition ? Joséph Kabila sur la trace de Robert Mogabe ? Samy Badibanga un membre del' UDPS refuse : Pourquoi le dialogue proposé par le gouvernement ? Nous voulons le dialogue, mais à certaines conditions : le pouvoir doit au préalable s’engager à respecter la Constitution, en ce qui concerne notamment la durée et le nombre des mandats. Nous souhaitons également que soit nommé un médiateur neutre, qui superviserait le processus. Or ce n’est pas ce que le pouvoir propose. La nomination par l’Union africaine d’ Edem Kodjo au poste de facilitateurne vous satisfait donc pas ? Ce n’est pas une question de personne, mais de méthode. Pourquoi l’UA a-t-elle pris cette initiative plutôt que de s’inscrire dans la dynamique existante ? Les Nations unies avaient déjà entamé des consultations pour la mise en place d’un dialogue auquel Étienne Tshisekedi acceptait de participer. Cela aurait permis d’inclure des partenaires, tels que les États-Unis et l’Union européenne. Alors pourquoi l’UA a-t-elle débuté un nouveau processus ?

Les Nations unies avaient déjà entamé des consultations pour la mise en place d’un dialogue auquel Étienne Tshisekedi acceptait de participer. Cela aurait permis d’inclure des partenaires, tels que les États-Unis et l’Union européenne. Alors pourquoi l’UA a-t-elle débuté un nouveau processus ? Et pourquoi ne dit-elle rien quant au respect de la Constitution et du calendrier des élections ? Est-il encore possible d’organiser la présidentielle dans les limites constitutionnelles, c’est-à-dire avant le mois de décembre ? C’est à la Commission électorale nationale indépendante [Ceni] de le dire, mais, à mon humble avis, ce n’est plus possible. Il ne nous reste que trente-six semaines pour intégrer sur les listes les électeurs qui viennent d’atteindre la majorité, pour réviser complètement le fichier électoral et ensuite le publier. Et lorsque la Ceni se sera prononcée, nous devrons établir des responsabilités. N’avions-nous pas, nous, parlementaires, voté des budgets à la Ceni qui ne lu

Situation sécuritaire à Beni térritoire : la population appelée à dénoncer toute présence suspecte des rebelles ADF : le générale Mbangu Mashita Marcel, commandant Ops SUKOLA I, le confirme dans un point de presse qui l' est tenue à Beni ville le jeudi 14 avril 2016. Mbangu Mashita a appelé, les habitants de sa juridiction à dénoncer toute présence suspecte des rebelles ougandais des ADF. Il craint que les rebelles, traqués dépuis trois ans, dans tout le territoire de Beni par l’armée dans le cadre de l’opération « Sokola » [nettoyez], ne s’infiltrent dans le groupe des civiles qui arrivent dans la ville, et quelques agglomérations du térritoire de Beni. « Parmi eux, il ya des bons et des mauvais déplacés. Les bons sont ceux-là qui n’ont aucun problème. Les mauvais sont les ADF ou leurs dépendant qui peuvent être tentés de quitter la brousse pour la ville », a expliqué cette officier, au grade de générale. La population a été invité à dénoncer les infiltrés aux autorités civiles, notamment au maire de Beni, ou, à l' administrateur du térritoire aussi aux autorités militaires afin que les rebelles ougandais soient mis « hors d’état de nuire ». Lundi dernier, des sources locales ont signalaient un mouvement des rebelles ougandais des ADF de l’est vers l’est du centre commerciale d' Eringeti localité situé à plus au moin 50 km au nord dela ville de Beni sur le tronçon routier Beni Bunia. Ils se dirigeaient vers la Province Orientale, selon la société civile. Ils fuiraient l’opération militaire menée par les Forces armées de la RDC (FARDC) pour démanteler les groupes armés actifs dans le territoire de Beni. L’armée congolaise a assuré que toutes les dispositions étaient prises pour contrer leurs progression.

La RDC s'inquiète de la résurgence d'une vieille rébellion ougandaise dénommée ADF-Nalu (Forces démocratiques alliées – Armée de libération de l’Ouganda), soupçonnée de bénéficier du soutien des islamistes Shebab somaliens. Une menace de plus avec celle du Mouvement du 23-Mars (M23) qui combat l’armée congolaise dans l’est du pays. Depuis une dizaine de jours, cinq localités du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, ont été attaquées et pillées par les rebelles ougandais de l’ADF-Nalu(Forces démocratiques alliées – Armée de libération de l’Ouganda). Des violences ont poussé 65 000 Congolais à chercher refuge en Ouganda voisin, selon la Croix-Rouge ougandaise. les rebelles de l’ADF-Nalu, nouvelle menace pour le Nord-Kivu. La semaine dernière, nouveau coup d’éclat. Les mêmes insurgés ont brièvement tendu une, embuscade contre un convoi des millitaires Fardc, sur le mont Atokaka où le gén Marcel Mbangu s' est déplacé avec d'autres membres d' opération Sukula1 par les troupe

La présence des groupes armée dans le Parc Nationale des Virunga : L’ICCN et le gouvernement provinciale du Nord-Kivu déterminés, à restaurer l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du parc national des Virunga : Emmanuel de Merode ne cesse de saluer l’appui de l’Autorité provinciale du Nord-Kivu dans le cadre de la sécurisation et la reconstitution du parc national des Virunga dans ses limites traditionnelles. La direction du parc national des Virunga tient à confirmer à la population du Nord-Kivu sa détermination à poursuivre les efforts de restauration de l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du parc et la protection des personnes et de leurs biens, indique un communiqué de ce site du patrimoine mondial. Le document signé en date du 12 avril par M. Emmanuel de Merode, Directeur et Chef de site de l’ICCN au Nord-Kivu, assure que c’est dans cadre qu’en date du 27 Mars 2016, M. Tshikahinga Kihundu Oscar surnommé Tango-Tango, commandant de la milice Mai-Mai Mazembe, actifs dans la zone de Kamandi a été arrêté pour son activisme armé semant la désolation dans le parc et les villages.

L’Association culturelle Nande espère que les Institutions de la République vont s’impliquer pour démasquer les auteurs des crimes ignobles et lâches qui se cachent parmi les Hutu. La Communauté Nande ne vise pas que la jeunesse Hutu qui prend des positions irresponsables. Les Nande, qui se disent victimes d’un génocide perpétré par les Hutu avec l’aide des FDLR, souhaitent que la Justice internationale, le cas échéant, mette la main sur les véritables planificateurs, tireurs de ficèle, financiers et autres auteurs intellectuels. Le Premier Vice-président du Comité de Gestion du « Kyaghanda-Kinshasa », c’est-à-dire, l’Association culturelle Nande, a déclaré, le 2 mars dernier, qu’un membre du Gouvernement central a distribué des armes aux jeunes Hutu. La population de Mikiri et Buleghusa a reconnu publiquement le membre du Gouvernement épinglé lors de la visite d’une délégation gouvernementale en février. Il Se peut que les bénéficiaires de ces armes soient passés à l’œuvre en comm

Beni ville : les habitants urbain sont la cible des bandits minue des armes à feu dépuis presque une semaine : ces bandits utilisent, des grosse pierres pour cassé, la plus part des portes des maisons. Le présent article, fruit d’une analyse rigoureuse, sans complaisance et exempte de toute émotivité, effectuée par les analystes de ce blog, permet d’éclairer nos lecteurs sur les enjeux politiques et géopolitiques nationaux et régionaux sous-jacents de l’insécurité qui prévaut dans cette ville du Grand Nord au Nord-Kivu. La valeur ajoutée de cette analyse, dans le scenario d’un conflit qui perdure et aux contours flous, c’est d’être parvenu à identifier les acteurs majeurs de la crise. 1. Un climat politique local exécrable Les tueries de Beni se produisent dans un environnement politique assez exécrable marqué par un vieux conflit de leadership dans le Grand Nord (le Pays des Nandes – territoires de Beni et de Lubero) opposant deux camps : les kabilistes d’un côté, les fidèles deMbusa Nyamwiside l’autre.

Des groupes de bandits opèrent avec les armes blanches depuis quelques semaines dans certains quartiers de Beni-ville au (Nord-Kivu). Des sources locales rapportent que, mercredi 13 avril, que cas d’extorsion de l’argent, des téléphones portables et des vols dans les maisons sont observés presque chaque nuit. Selon l’inspecteur urbain de la Police nationale congolaise (PNC), le colonel Flamand Baliwa Ngoy, les auteurs de ces actes sont en majorité des criminels venus d’autres villes dela Rdc. C’est à ce conflit qu’il faut attribuer l’acte de vandalisme de la nuit du 7 novembre 2014 au cours de laquelle la statue d’Enoch Nyamwisi Muvingi, le grand-frère de Mbusa Nyamwisi, a été amputée du bras gauche et de la tête, probablement au titre de représailles après la destruction, le 2 novembre dernier, de la statue de Joseph Kabila par une foule en colère. Cette foule n’était pas formée des partisans de Mbusa. C’était juste des gens en colère qui protestaient contre les massacres. Quel que