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Affichage des articles du mars 22, 2017

Bien que la chance d'un désastre pour la planète Terre dans une année donnée peut être assez faible, il augmente au fil du temps, et devient une certitude proche dans les mille ou dix mille prochaines années. À ce même occasion, le moment-là, nous aurions dû nous étaler dans l'espace, et vers d'autres étoiles, de sorte qu'une catastrophe sur la Terre ne signifierait pas la fin de la race humaine. La notion d'exode massif et de transplantation d'une planète est, à la surface, un concept attrayant. Mais nous demandons rarement, voire jamais, pourquoi nous devrions faire une telle chose en premier lieu. Avons-nous vraiment gagné le droit de coloniser d'autres planètes, surtout après la façon dont nous nous sommes comportés sur celui-ci ? Beaucoup de films et de livres ont tourné leur attention vers ces questions éthiques :.............

De nombreux écrivains et cinéastes ont tourné leur attention vers la question de savoir ce que cela signifie pour l'humanité d'être anéanti. Dans Nevil Shute acclamé par la critique On the Beach(1957), une marque de renom Nuclear Age science-fiction aux côtés de Pat Frank Alas, Babylone(1959), un nuage de rayonnement lentement dérive de l'hémisphère Nord à Melbourne après une guerre nucléaire. Les survivants, quant à eux, essaient de s'amuser avant que la fin inévitable arrive. Observe un caractère : Ce n'est pas la fin du monde du tout. Ce n'est que la fin pour nous. Le monde continuera de même, mais nous n'y serons pas. J'ose dire que tout ira bien sans nous. Le monde noyé deJG Ballard (1962) démystifie également la longévité de la race humaine, avec le caractère central accueillant graduellement la destruction de la civilisation tandis que le monde revient à son état sauvage et primitif. Le roman finitavec lui disparaître dans la nature : Il a qu

L'insécurité ce dernier temp, est loin de dire sont dernier mot, dans plusieurs villages dela la chefferie des Bashu, en territoire de BENI dans la province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo selon Jean Paul Paluku Ngahangondi un membre d'une ONG CRDH basé au Nord-Kivu, et en Ituri. La population, victime de cette situation se dit très toucher par cette situation mal saine. Des personnes non identifiés proment toujours la mort à certaines personnes par message ou voix téléphonique. Le cas le plus récent est celui d'un certain PALUKU CHANZIRE domicilier du village Lalako en groupement ISALE BULAMBO. Ce dernier est menancé par des inconnus lui prometant la mort pour des causes non connues. Information livrée par la société civile chefferie des BASHU qui condamne avec force cette recrudescence de l'insécurité dans cette partie du territoire de beni a dit MUMBERE WANGEVE Roger président de cette structure citoyenne. La force vive de cette chefferie appelle les autorités administrativesà prendre en mains la sécurisation de monsieur PALUKU SHANZIRE avant que les pires ne s'observent :..................

De l'autre coté, la société civile signale la présence d'un groupe d'homme suspecté d'etre des kidnappeurs. Ces hommes circulent à moto dans deux groupements entre autre ISALE-BULAMBO et BUNYUKA. Elle appelle ainsi la population à la vigilance et à la dénonciation de tout cas suspect pour que ce groupe des malfrat soit dementelé. Dépuis, l’est de la Rép dém du Congo (RDC) est ravagé, mais Butembo est épargnée. Les hommes d’affaires sont alors autant les obligés que les financiers d’Antipas Mbusa Nyamwisi, leader de la communauté nande et chef de milice soutenu par l’Ouganda. M. Mbusa Nyamwisi a été le chef de la diplomatie congolaise de Joseph Kabila, avant de se réfugier en Afrique du Sud. C’est aussi un vrai libéral : à l’époque où il administrait le territoire, plus de douanes, plus de taxes et beaucoup de profits. Les grands commerçants de Butembo sont alors pointés du doigt par l’ONU pour leur commerce d’or fourni par des groupes armés ainsi que pour le transport

Le nouveau mandat dela Monusco en cours de discussion au conseil de sécurité des Nations-Unies en New-York : « Pour atteindre cet objectif, nos forces armées poursuivront leur coopération avec la MONUSCO. Toutefois, au regard des résultats mitigés enregistrés dans cette coopération, mon Gouvernement juge nécessaire qu’une évaluation soit faite pour déterminer objectivement les failles dans l’application des engagements de manière à nous permettre d’aboutir à une amélioration de l’efficacité opérationnelle des forces » Parmi les groupes qui sèment la terreur en RDC, She Okitundu a pointé du doigt l’ADF, la LRA et les FDLR « ainsi que quelques groupes armés nationaux ». Pour les éradiquer, le ministre congolais des Affaires étrangères a donné la position de la RDC : « Il est impérieux de renforcer l’efficacité opérationnelle des forces onusiennes, en priorité la Brigade spéciale d’intervention pour qu’elle soit en mesure d’accomplir, comme il se doit, la mission pour laquelle elle a été mise en place, mission qu’elle avait si bien remplie au début de son mandat :...............

Le renforcement de l’efficacité doit s’accompagner de l’ajout, au besoin d’une deuxième unité de Brigade spéciale d’intervention ; de la dotation en moyens et équipements appropriés pour combattre d’une manière efficace les menaces asymétriques vécues sur le terrain ; d’une meilleure collaboration et partage d’informations avec les FARDC, notamment celles provenant des drones. » She Okitundu a cependant soutenu le renouvellement du mandat de cette mission onusienne tout en précisant qu’il faut au préalable une évaluation. Maman Sidikou, chef de la MONUSCO, a étalé ses craintes et ses espoirs dans une communication faite ce mardi 21 mars 2017 au Conseil de sécurité de l’ONU. « Aussi longtemps que le dialogue politique demeure dans une impasse, les tensions risquent de monter. En février, des séminaires et paroisses de l’Eglise catholique à Kananga, Kinshasa et Lubumbashi ont été attaqués, vraisemblablement à cause des frustrations accrues au sein de certains segments de la population