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Affichage des articles du septembre 12, 2016

Un dialogue national toujours sous haute tensions entre les acteurs politique dela majorité, et ceux de l'opposition en République Démocratique du Congo, où on assiste à un climat politique très tendu, ce dernier temp : V. Kamerhe et l’Opposition suspendent leur participation au Dialogue. Coup de tonnerre, Vital Kamerhe et l’opposition viennent de suspendre le lundi 12 septembre leur participation au Dialogue. Raison évoquée: la séquence électorale telle que voulue par la majorité présidentielle. Commencer par les locales pour finir par la présidentielle, tel est le souhait du pouvoir. Pour l’opposition, cela équivaut à donner un mandat de facto au président Kabila. Selon un proche de Vital Kamerhe, l’Opposition ne rentrera dans la salle que lorsqu’elle aura la garantie que la séquence électorale sera inversée: priorité doit être accordée à la présidentielle car c’est elle qui cristallise la crise politique actuelle estime le député UNC Sam Bokolombe. !

L’opposant Vital Kamerhe accuse Kabila d’ouvrir la voie à une « nouvelle République ». Vital Kamerhe, l’un des opposants les plus en vue en République démocratique du Congo, a accusé dimanche le président Joseph Kabila de vouloir fonder une « nouvelle République » en changeant de système électoral à un peu plus d’une année de la fin de son mandat. M. Kabila « veut faire un coup d’État constitutionnel. En appelant à un nouveau système électoral il veut faire passer le pays dans une nouvelle République », a déclaré Vital Kamerhe, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC), troisième parti de l’opposition par le nombre d’élus à l’Assemblée nationale. Cette « nouvelle République » permettrait ainsi au président de briguer un nouveau mandat, ce que la Constitution actuelle lui interdit, selon M. Kamerhe. M. Kabila « doit choisir entre son égo et le peuple congolais », a ajouté l’ancien président de l’Assemblée nationale et ex-meilleur allié du président. Samedi, M. Kabila a anno...

Syrie: des rebelles rejettent l'accord de trêve russo-américain. Un groupe islamiste rebelle influent en Syrie, Ahrar al-Cham, a rejeté l'accord russo-américain de trêve qui doit entrer en vigueur lundi, estimant qu'il ne fera que "renforcer" le régime de Damas et "augmenter la souffrance" du peuple. Influent sur le terrain, Ahrar al-Cham est le premier groupe rebelle à réagir officiellement à l'accord annoncé cette semaine à Genève par les Américains et les Russes. La myriade de groupes rebelles, islamistes et non islamistes, de même que l'opposition politique, n'ont toutefois pas encore donné de réponse officielle. !

Une nouvelle trêve négociée par Moscou et Washington doit entrer en vigueur en Syrie lundi soir, après plusieurs jours de raids aériens et de bombardements, avec leur lot quotidien de victimes civiles, qui ont continué de plus belle. L'annonce de cette trêve vendredi, après des semaines de discussions entre les Etats-Unis et la Russie, parrains respectivement de l'opposition et du régime, intervient au moment où les insurgés sont en difficulté sur le terrain après avoir perdu la dernière bataille d'Alep. Cette énième tentative de stopper la violence est censée débuter lundi à 19H00 (16H00 GMT) et coïncidera avec l'Aïd el-Adha, la grande fête musulmane du sacrifice. Un premier accord russo-américain de "cessation des hostilités" entré en vigueur le 27 février a volé en éclats après des violations répétées des belligérants. En pratique, l'accord appelle à l'arrêt de toutes les attaques, y compris les raids de l'aviation - principal atout du régim...

Ancien premier vice- président de l'Assemblée nationale passé à l'opposition, Charles Mwando Nsimba, aujourd'hui président du G7, a accusé dimanche les autorités congolaises de l'avoir empêché d'atterrir à Kalemie où il se rendait « dans le cadre de vacances parlementaires ». « Le pouvoir fait tout pour que je n’aille pas à Kalemie », a expliqué, le 11 septembre à Jeune Afrique, Charles Mwando Nsimba, joint au téléphone à l’aéroport de Bukavu, capitale du Sud-Kivu, dans l’est de la RD Congo, où l’avion de la compagnie aérienne CAA qui devait le conduire dans son fief du sud-est du pays a finalement atterri. !

« Depuis Lubumbashi, les responsables de la CAA m’ont confié qu’ils subissaient des pressions pour ne pas m’embarquer, poursuit le leader du G7, ce groupe de sept partis frondeurs expulsés de la majorité au pouvoir pour s’être opposé à tout éventuel prolongement du mandat du président Joseph Kabila. Mais en absence d’un document officiel m’interdisant de me rendre à Kalemie, j’ai décidé de monter à bord. » Fin janvier, Charles Mwando Nsimba, ancien vice-président de l’Assemblée nationale et leader de l’Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef) s’était déjà plaint d’avoir été empêché de se rendre à Kalemie, chef-lieu de Tanganyika, dans l’ex- Katanga . « Persistance des intimidations » Du côté du Rassemblement de l’opposition, l’on dénonce « la persistance des intimidations et du rétrécissement de l’espace politique » en RD Congo. « Alors que des pourparlers à sens unique se tiennent à Kinshasa, les autorités continuent d’intimider les op...

Coups d’État constitutionnels et répression politique en Afrique subsaharienne Intervention lors de la conférence « La situation des droits de l'Homme, la démocratie et l'alternance politique en Afrique subsaharienne » au Parlement européen à Bruxelles ! À propos d'ONG HRW.

Je voudrais parler d’une tendance inquiétante qui existe dans la région des Grands Lacs et dans d’autres pays en Afrique ces dernières années : le coup d'État constitutionnel - le phénomène où les dirigeants africains refusent de se conformer aux limites de durée de mandat, ou à des résultats électoraux défavorables, et préfèrent simplement changer les lois et les constitutions qui se dressent sur leur chemin. Trop souvent, leurs manœuvres juridiques sont accompagnées de graves violations des droits humains ainsi que de répressions brutales contre les personnes qui s'y opposent. Les dirigeants les plus anciens d’Afrique sont d'excellents exemples de cette tendance. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de la Guinée équatoriale, José Eduardo dos Santos de l'Angola, et Robert Mugabe du Zimbabwe — tous au pouvoir depuis plus de 35 ans — ont modifié leurs constitutions dans le but de rester au pouvoir. Dans ces trois pays, il y n’y a que peu ou pas de presse libre, et les partis d...

Note 7 – Samsung ferait appel au fabricant de batteries d’Apple Technologie pour remplacer les batteries de son Galaxy Note 7, Samsung devrait recourir aux services du chinois ATL, par ailleurs fournisseur de batteries pour l’iPhone d’Apple. !

Samsung Electronics va changer de fournisseur principal pour les batteries équipant son Galaxy Note 7, son smartphone qui fait l’objet d’un rappel mondial en raison de cas de surchauffe et d’explosions. Et selon un média coréen, News1, c’est le sous-traitant chinois ATL qui assurera désormais la fourniturede cet équipement pour Samsung. Cet industriel était jusqu’à présent le fournisseur secondaire du fabricant de smartphones. Eteindre le Galaxy Note 7 ATL, par ailleurs le fournisseur principal de batteries pour l’iPhone d’Apple, avait produit 30% de ce composant pour équiper les premiers Note 7 de Samsung. Le groupe chinois remplacerait ainsi Samsung SDI. D’après News1, Samsung cherchait un 3e fournisseur, mais le coréen aurait dû y renoncer en raison des tests supplémentaires nécessaires et du processus global de validation. En fin de semaine dernière, Samsung a publié un message officiel en Coréerecommandant à ses clients de cesser tout usage du Galaxy Note 7 et d’attendre la...

Course à la Maison Blanche aux États-Unies : Hillary Clinton souffre d'une pneumonie. La candidate démocrate à la Maison Blanche Hillary Clinton, bientôt 69 ans, était sous pression lundi pour s'expliquer sur sa santé et le malaise qui a forcé son équipe à révéler qu'elle souffrait d'une pneumonie, après deux jours de secret. Chez elle à Chappaqua près de New York, elle a annulé tard dimanche le voyage qu'elle devait effectuer en Californie lundi et mardi pour lever des fonds et faire campagne. !

Après de longues heures de silence, son équipe a publié un communiqué du médecin personnel d'Hillary Clinton, Lisa Bardack, déclarant qu'elle était réhydratée, mais que la candidate était traitée par antibiotiques pour une pneumonie. La date de ce diagnostic: vendredi, soit deux jours auparavant. Donald Trump, 70 ans, accuse sa rivale, en tête des sondages, de manquer d'énergie et d'avoir besoin de constamment se reposer. Certains républicains insinuent qu'elle est malade. Des rumeurs démarrées par les quintes de toux fréquentes de la candidate, mises sur le compte d'allergies. Dimanche, journée de pause dans la campagne électorale, Donald Trump n'a pas commenté la santé de sa rivale. Le républicain pourrait préférer exploiter le faux pas d'Hillary Clinton qui a qualifié, vendredi soir lors d'une réception de levée de fonds, la moitié des électeurs de Trump de "panier de pitoyables", "racistes, sexistes, homophobes, xénophobes, isla...