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Affichage des articles du janvier 21, 2017

Les rébélles des Adf font parlé encore d'eux à Kainama ; Une alerte de la part de la société civile de Beni fait état d’une vaste opération de kidnapping menée par des présumés ADF à Kainama, le 17 janvier 2017. Alerte!! Kidnapping à Kainama. Les envahisseurs égorgeurs veulent s’y faire enrôler. De nombreux paysans qui se sont rendus dans leurs champs en ont été victimes. Quelques-uns ont pu s’échapper tandis que d’autres demeurent détenus en brousse jusqu’à présent. Les présumés ADF, qui sont responsables de cette salle besogne, laissent croire qu’ils multiplieront ces menaces jusqu’à ce qu’ils auront tous accédé à l’enrôlement en vue d’être finalement reconnus comme des congolais :

Face à cette situation d'insécurité grandissante de plus dans la région de Beni, la fois passé, l' ’administrateur souhaite que la population de son territoire soit libérée au plus vite de cette insécurité lui imposé par ces rebelles. Le numéro 1 du territoire de Beni l’a dit ce vendredi 24 juin à Oicha à la délégation de la MONUSCO conduite par le général Jean Baillaud, commandant second des forces de l’ONU en RDC. Amisi Kalonda a d’abord parlé d’une route impraticable et enclavée. Il a demandé au général Jean Baillaud de déployer les unités casques bleus le long de cet axe routier devenu aujourd’hui fermé au trafic à cause de l’insécurité. Le commandant second de la force de la MONUSCO a rassuré que les casques bleu restent déterminer à neutraliser l’ADF. Le général Jean Baillaud insiste sur la coordination des efforts entre la MONUSCO, les FARDC et la population. La mission de l’ONU en RDC et les FARDC travaillent ensemble pour aboutir à ces résultats concrets, a déclar

Mende parle d’avancées significatives, la CENCO espère clôturer les discussions aujourd’hui Contactées ce samedi matin par ACTUALITE.CD, les différentes prenantes aux discussions autour de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) annoncent des avancées dans les négociations sur les... :

Du côté du Rassemblement, on préfère être prudent. « Certes, il y a eu des avancées significatives, mais ce n’est pas devant la presse qu’on doit les révéler. Il faut attendre »,a dit un membre de ce regroupement réaffirmant au passage l’insistance de la MP de garder les ministères de souveraineté et la reconnaissance par le Rassemblement du pouvoir discrétionnaire de Joseph Kabila qui ne devrait pas se faire imposer un Premier ministre. Cependant à quelques heures de la plénière prévue à 13 heures au Centre interdiocésain, la CENCO espère que les discussions sur les arrangements pourront se clôturer aujourd’hui. Contactées ce samedi matin par ACTUALITE.CD, les différentes prenantes aux discussions autour de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) annoncent des avancées dans les négociations sur les arrangements particuliers qui doivent faciliter la mise en application de l’Accord du 31 décembre 2017. Sans en dire davantage, Lambert Mende parle des concessions ma

Jupiter Picture Sites pour la NASA Juno ; Où le vaisseau spatial Juno de la NASA devrait-il viser sa caméra lors de son prochain passage à proximité de Jupiter le 2 février?Vous pouvez maintenant jouer un rôle dans la décision.Pour la première fois, les membres du public peuvent voter pour participer à la sélection de toutes les photos à prendre de Jupiter lors d'un survol de Juno.Le vote commence le jeudi 19 janvier à 11 h (heure normale de l'Est) et se termine le 23 janvier à 9 h, heure normale de l'Est :

Juno est maintenant dans une orbite de 53 jours. Quand il passe près de Jupiter ("PeriJove" ou "PJ") nous allons prendre autant de photos que nous le pouvons. Le nombre de photos que nous prenons est limité par le nombre de stockage de données intégré que nous avons pour JunoCam, donc nous devons être sélectifs. Les images sont recueillies en allant du pôle nord de Jupiter au pôle sud, ce qui se produit en une brève portion de 2 heures de l'orbite. Sur n'importe quelle passe perijove donnée, nous ne serons capables de cibler que des cibles dans une étroite bande de territoire sur laquelle l'astronef vole ("groundtrack"). Nous vous invitons à participer à ce processus de sélection. Chaque perijove nous vous dira s'il existe des contraintes particulières, des occasions spéciales ou des objectifs uniques que nous essayons de rencontrer. Nous allons mettre de côté le volume des données pour 2 images polaires. Ensuite, n

États-Unis La cérémonie d'investiture du nouveau président, hier à Washington, a été marquée par la tonalité guerrière de ses propos et par de violentes échauffourées dans les rues de la capitale fédérale. Ceux qui espéraientque la cérémonie d'investiture aurait transformé le candidat Donald Trump en président de tous les Américains ont vite déchanté. Trump, qui a prêté serment hier à midi, heure de Washington, sur sa Bible et celle d'Abraham Lincoln, a tenu son premier discours de président des Etats-Unis avec les accents populistes qui ont fait sa marque de fabrique pendant la campagne :

L'assistance était pourtant oecuménique : sur les estrades du Capitole, siège du Parlement américain, étaient assis les anciens présidents, Barack Obama et son épouse Michelle bien sûr, Jimmy Carter, George W. Bush et Bill Clinton mais aussi Hillary Clinton, la rivale malheureuse de Trump, les leadeurs des partis républicain et démocrate et les plus hautes autorités religieuses du pays. Il n'empêche ! Il semblait hors de question pour Donald J. Trump d'oublier ceux qui l'avaient élu et les thèmes qui ont assuré sa victoire. « C'est le discours d'intronisation le plus radical que l'on n'ait jamais entendu. Donald Trump s'est exprimé comme un soldat au combat », soulignaient hier la plupart des commentateurs politiques. « A partir d'aujourd'hui, une nouvelle vision gouvernera cette terre, America First », a lancé dès le début de son discours le 45eprésident des Etats-Unis. L'Amérique d'abord, le slogan patriotique de la campagne du can

L'Amérique anti-Trump laisse éclater sa colère à Washington ; Poubelles et voitures incendiées, vitrines brisées et grenades lacrymogènes: les rues d'ordinaire très aseptisées du centre de Washington ont été le théâtre de scènes d'émeutes vendredi, lorsque plusieurs centaines de manifestants anti-Trump ont violemment affronté la police, en marge de l'investiture du président américain. Visages masqués par un foulard noir, encapuchonnés ou portant des masques à gaz, entre 500 et 1.000 personnes ont brisé des vitrines et caillassé la police en tenue anti-émeute sur K Street, une artère située à quelques encablures de la Maison Blanche :

Une fumée âcre prenait à la gorge en milieu d'après-midi sur ces deux pâtés de maison survolés par un hélicoptère de la police, jonchés de poubelles calcinées, de bris de verre, de boîtes à journaux métalliques et de cartouches. Une limousine noire figurait parmi les véhicules incendiés. Les quelque 200 policiers qui ont essuyé des jets de pierres et de briques ont tenté de les disperser en tirant plusieurs dizaines de grenades lacrymogènes. Poubelles et voitures incendiées, vitrines brisées et grenades lacrymogènes: les rues d'ordinaire très aseptisées du centre de Washington ont été le théâtre de scènes d'émeutes vendredi, lorsque plusieurs centaines de manifestants anti-Trump ont violemment affronté la police, en marge de l'investiture du président américain. Visages masqués par un foulard noir, encapuchonnés ou portant des masques à gaz, entre 500 et 1.000 personnes ont brisé des vitrines et caillassé la police en tenue anti-émeute sur K Street, une artère située

USA : le président américain Trump s'installe à la Maison Blanche et, signe son 1er décret ; Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, a signé vendredi un premier décret contre l'emblématique loi "Obamacare" de son prédécesseur, engageant la politique de rupture présentée plus tôt au monde dans un discours aux accents populistes et nationalistes. Arrivé à la Maison Blanche en fin d'après-midi, l'homme d'affaires républicain de 70 ans succède à la tête de la première puissance mondiale au démocrate Barack Obama, 55 ans, sous le regard inquiet des alliés des Etats-Unis :

Après la cérémonie, M. Trump a déjeuné au Capitole avec élus et dignitaires, notamment Bill et Hillary Clinton qu'il a fait longuement applaudir, assurant qu'il avait pour eux "beaucoup de respect". Tout au long de la campagne, il avait systématiquement affublé cette dernière du surnom de "crapule". - Plus de 200 interpellations - Puis, suivant scrupuleusement le protocole habituel, il a lentement remonté dans sa limousine blindée l'artère Pennsylvanie. Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, a signé vendredi un premier décret contre l'emblématique loi "Obamacare" de son prédécesseur, engageant la politique de rupture présentée plus tôt au monde dans un discours aux accents populistes et nationalistes. Arrivé à la Maison Blanche en fin d'après-midi, l'homme d'affaires républicain de 70 ans succède à la tête de la première puissance mondiale au démocrate Barack Obama, 55 ans, sous le regard inquiet des alliés des Etats

Le gouvernement Ougandais, annonce avoir arrêté 101 ex-combattants du M23. Après avoir nié les allégations congolaises selon lesquelles d’anciens rebelles du M23 s’étaient échappés d’Ouganda dans le but d’attaquer la RDC, le gouvernement ougandais a annoncé avoir arrêté des anciens combattants de la rébellion, alors qu’ils se dirigeaient vers notre pays. Après la cacophonie entre les deux parties, ougandais et congolais semblent enfin s’accorder sur une version commune : les ex-combattants du M23, cantonnés en Ouganda, sont décidés à rallier la RDC pour reprendre leur lutte :

Cet Officier supérieur des Fardc qui sortait des échanges avec le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, a avisé que la RDC et le Commandant suprême de son armée ne tolèrerons jamais que la quiétude de la population soit troublée par qui que ce soit et d’où qu’il vienne. Répondant à la presse au sortir des entretiens, le Général Olenga a affirmé être venu confirmer que ce que le Gouverneur Julien Paluku a dit au sujet de l’incursion, sur le sol congolais des Ex-M23, est une vérité corroborée également par les services des renseignements militaires. « Makenga, je lui demande de rentrer dans son pays », a ordonné le Chef de la maison militaire du Président Joseph Kabila qui, dans un ton fort, a avisé que « l’on peut plus accepter la déstabilisation du Congo »rappelant que les congolais ont les idées tournées non seulement vers l’organisation des élections et vaquer librement à ses occupations. La visite au Nord-Kivu du Général François Olenga intervient au moment où

Les discussions entre opposition et majorité doivent reprendre à 16h, ce vendredi. Elles trainent en longueur. Les différentes parties ne se sont toujours pas mis d'accord sur ce qu'elles appellent « l'arrangement particulier », sans lequel l'accord signé le 31 décembre dernier ne pourra pas être pleinement appliqué. Et les évêques s'impatientent. La patience des évêques aurait-elle des limites ? Le président de la Cenco a en tout cas donné jusque samedi inclus aux deux parties pour se mettre d'accord, sans dire toutefois ce qui pourrait se passer dans le cas contraire :

« Les parties prenantes à ce forum qui se déroule à Kinshasa la capital, nous ont dit qu’ils n’ont pas encore fini de discuter, et nous on a pas à dicter aux politiques. Nous reportons donc la plénière pour demain samedi à 13 heures, et nous leur demandons de tenir compte de la misère de la population, avec l’instabilité de notre économie »a dit Donatien N’shole au téléphone d’ACTUALITE.CD. « S'il y a de la bonne volonté, c'est tout à fait faisable. C'est une question de volonté », répétait jeudi le porte-parole de la Conférence épiscopale. Les différentes commissions, ont donc poursuivi le travail jeudi mais dans l'après-midi, les points d'achoppement semblaient toujours les mêmes : la composition du conseil national de suivi de l'accord, la répartition des postes au sein du futur gouvernement, et la procédure de désignation du Premier ministre. Sur ce dernier point par exemple, la majorité demande au Rassemblement de désigner cinq candidats parmi lesquels le

CAN 2017 : Le match entre la Côte d'Ivoire et la RD Congo, vendredi 20 janvier à Oyem, s'est soldé par un nul 2-2. Les Eléphants ont dû puiser dans leurs réserves pour venir à bout de Léopards qui avaient mieux débuté la rencontre. Retrouvez les plus belles images de cette confrontation spectaculaire :

La Côte d’Ivoire et la RD Congo toujours en attente d’une qualification ; Qui se souvient de l’histoire récente de la CAN ne peut avoir oublié le parcours difficile de la Côte d’Ivoire, il y a deux ans en Guinée Equatoriale. Un premier nul avec la Guinée après avoir été menée 0-1, suivi d’un deuxième avec le Mali après avoir attendu la toute fin de match pour égaliser. A Oyem, au Gabon, les Eléphants 2017 ont affiché « replay ». Un nul d’entrée avec le Togo, et un autre avec la RD Congo. Avec deux points la Côte d’Ivoire est encore en course pour les quarts de finale mais elle se retrouve à deux points de son adversaire du jour, la RD Congo, qui en compte quatre. 6 tirs au but, 3 cadrés, 3 buts. Efficacité peut-être mais pour deux équipes qui avaient adopté chacune un 4-3-3, trois attaquants de chaque côté congolais, Junior Kabananga- Dieumerci Mbokani-Firmin Mubele chez les Congolais, Willfried Zaha-Wilfried Bony-Max Alain Gradel, tout semblait indiquer que les deux