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Affichage des articles du avril 29, 2017

Pic Marguerite et le parc national des Monts Rwenzori offre en République Démocratique du Congo, et l'Ouganda, des vues spectaculaires de glaciers et de sommets enneigés à quelques kilomètres de l’équateur, où il jouxte le parc national des Virunga dans la République démocratique du Congo (RDC). Abritant le troisième sommet d’Afrique qui culmine à 5 109 m après le Kilimandjaro et le mont Kenya, le parc entretient une zone alpine beaucoup plus étendue que ces deux autres hauts reliefs, couvrant une superficie de 99 600 ha dont 70 % au-dessus de 2 500 mètres. Les Monts Rwenzori possèdent les sources les plus élevées et les plus permanentes du Nil, et constituent un bassin versant vital. La multitude de rapides, de magnifiques cascades et la végétation stratifiée confèrent au bien une beauté et un aspect exceptionnellement pittoresque. Les Rwenzori sont bien connus pour leur flore alpine unique qui comprend de nombreuses espèces endémiques du rift albertin dans les zones de plus haute altitude où se développent les bruyères géantes, le séneçon et les lobelias :

On y trouve notamment des bruyères géantes, des séneçons, des lobelias et autres espèces endémiques. Pour ce qui est de la faune, les Monts Rwenzori ont été déclarés ‘Zone importante pour la conservation des oiseaux’ avec 217 espèces d’oiseaux répertoriées à ce jour, nombre qui devrait augmenter d’autant que le parc bénéficie d’une surveillance accrue. La forêt montagnarde héberge aussi des espèces menacées comme l’éléphant de forêt d’Afrique, le chimpanzé oriental et le singe de L’Hoest. Le céphalophe à front noir ou ‘duiker’ rouge est une petite antilope de forêt menacée des Rwenzori, considérée comme une sous-espèce très localisée, voire distincte, semble se limiter au parc. Intégrité Les problèmes auxquels est confronté le parc sont : l’utilisation qu’en fait la communauté (collecte de bambou), le développement du tourisme, la croissance démographique et les pratiques agricoles. Même si on relève un faible empiètement agricole grâce à la délimitation précise des frontières du pa

" Vingt Neuf morts sont enrégistrées dernièrement, en térritoire de Masisi, après des violents combats qui se poursuivaient encore, vers Bweru et les villages voisins, du Nord-Kivu, ou les habitants ont vidés, plusieurs localités et villages ", a ajouté M. Tshishiku, qui appelle "les Forces armées de la RDC à mettre rapidement un terme à ces affrontements en vue de permettre aux populations de retourner dans leurs maisons". "Des combats entre deux sous-groupes des Maï-Maï Nyatura ont fait fuir la population. Au moins 29 personnes ont été tuées depuis mercredi dans des affrontements entre factions rivales d'une milice d'autodéfense pour le contrôle d'un village de l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a appris l'AFP vendredi de source officielle. "Depuis mercredi, deux tendances des Maï-Maï Nyatura s'affrontent pour prendre le contrôle du village de Bweru. Le bilan de ces combats ce vendredi est de 29 personnes tuées", a déclaré à l'AFP Dieudonné Tshishiku, administrateur du territoire de Masisi, situé dans le sud de la province du Nord-Kivu :

"Des combats entre deux sous-groupes des Maï-Maï Nyatura ont fait fuir la population. Parmi les 29 personnes tuées, il y a au moins 11 miliciens", a déclaré à l'AFP sous le couvert de l'anonymat un responsable d'ONG. "Il n'est pas exclu que des civils soient parmi les personnes tuées", a-t-il ajouté. Bweru, localité située à près de 100 kilomètres au sud-est de Goma, capitale du Nord-Kivu, et les villages voisins sont habités par une population estimée entre 5 et 10.000 personnes majoritairement hutu. Le groupement de Bashali Mokoto où ont eu lieu les combats est presqu’entièrement occupé par des groupes armés depuis plusieurs années. Les Hutu, rwandophones, sont considérés comme des étrangers par les communautés se considérant comme "autochtones", comme les Nande, les Hunde ou les Kobo, majoritaires dans la région du Nord-Kivu, d'où des rivalités ancestrales autour des terres et des richesses. Depuis plus d'un an, l'antagoni

Microsoft le géant d'entreprise américain de l'informatique en travers le monde, voit ses profits fortement augmenter grâce à ses investissements dans les services en ligne pour les entreprises et les particuliers. Microsoftrécolte les fruits de ses efforts. Le géant américain a présenté jeudi ses résultats pour son troisième trimestre, de janvier à mars 2017. Il y a engrangé un chiffre d'affaires de 22 milliards de dollars, en hausse de 7% par rapport à la même période l'année dernière. Ses profits se sont élevés à 4,8 milliards de dollars. Il s'agit d'une progression de 33% en un an. «Nos résultats reflètent la confiance que nos utilisateurs ont dans nos services dans le cloud», s'est félicité le PDG Satya Nadella dans un communiqué. «Nous contribuons à la transformation numérique de grandes multinationales comme des PME ou d'associations.» Microsoft affirme avoir atteint 15,2 milliards de dollars de revenus annualisés grâce à ces services :

Revenus récurrents Microsoft a également vu ses revenus dans le «cloud intelligent» augmenter de 11% en un an, atteignant 6,8 milliards de dollars. Cette croissance a été portée par les services d'hébergement et d'analyse de données proposées aux entreprises. Les revenus d'Azure, la plateforme cloud pour les professionnels de Microsoft, ont augmenté de 93% en un an. Leur montant exact n'est pas connu. Il est estimé à 4,4 milliards de dollars par les analystes d'Evercore ISI, cités par le site américain ZDNet. Le cloud répond à la demande des professionnels, qui cherchent à utiliser des logiciels ou à héberger leurs données sans devoir passer par une phase d'intégration fastidieuse ou gérer des serveurs. Il permet aussi de développer un modèle économique fondé sur des revenus récurrents, grâce à des services sur abonnement plutôt que des achats de logiciels à l'unité. Pour Microsoft, il s'agit aussi de compenser le ralentissement des revenus de ses act

Le martyrologue des tuerries dans la région de Beni-Lubero est loin de lever son joug, dans ces deux térritoire dela province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, avec des crimes grave contre l'humanité, dela par des miliciens qui troublent dans les villages, et localités, où la plus part des gens, ont abandonnés leurs maisons habitantions, craignant d'être victimes des massacres, d'inciviques fauteurs des carnages, présent dans cette partie du pay. Le climat est toujours à la panique, car nulle ne saurait prévoir ce qui peut lui arriver n’importe quand, n’importe où. C’est le règne de l’insécurité totale comme si l’autorité de l’Etat a carrément cessé d’exister. Au moins cinq personnes ont été blessées par la réaction de la MONUSCO, et l’un des blessés a succombé à ses blessures, en effet il a été tiré à bout portant. Ceci n’a fait qu’enflammer la tension parmi la population locale. C’est au rythme de cette même tension que Kayna qui devait accueillir l’enterrement de la victime a continué à vibrer également :

Le Préfet Kisondu de l’Institut Kivugha de Kayna a été fusillé le jeudi 27 avril 2017 dans les heures nocturne, à 20h00 à Katero, quartier Birere, dans la cité de Kirumba. La victime est de Kirumba, mais il oeuvre à Kayna. Voilà pourquoi les deux cités voisines ont été en alerte totale ce vendredi 28 avril 2017 pour protester contre cet acte ignoble et lâche. Etant donné que, la victime est de Kirumba, les jeunes de Kirumba ont barricadé la route de Katero, au quartier Kikimba à Kirumba, refusant le passage à quiconque, même à la MONUSCO. Pour s’en sortir, le contingent de la MONUSCO a dû tirer plusieurs coups de balle en vue de disperser les jeunes gens en furie. L'Est de la RDC est encore loin de recouvrer la paix tant souhaitée par la population. Les actions du gouvernement congolais ont tendance à couvrir seulement des conflits en lieu et place de les résoudre. Après le Nord du Territoire de Beni, le sud du Territoire de Lubero est aussi, depuis des années en proie aux tueries